R comme Rosso, expatrié de Saint-Laurent-du-Var en terre toulousaine, rend sur facebook un bel hommage à Guy Blanchard, sous forme de unes modifiées. Notre ami aurait sans doute particulièrement aimé celles de Var-matin, grand pourvoyeur de ses Mots du Jour, et de Charlie-Hebdo, qu'il appréciait. Le dos tourné de celle de La Croix fait penser à son point de vue sur la religion, bien traduit dans sa Bible au premier degré. Quant à la légende sous sa photo dans le Houston Chronicle, elle exprime ce que nous espérons tous : « Don't know where, don't know when, but we'll meet again » (Je ne sais pas où, je ne sais pas quand, mais nous nous reverrons).
jfsaby.com perd son plus grand contributeur. Avec 2 550 articles depuis le 1er janvier 2009, Guy était la locomotive de notre site, lui apportant une large part de son lectorat quotidien.
Et moi, je perds un ami. Nous nous étions côtoyés dans l'école primaire de garçons de la rue Tissot, dans le quartier de Vaise à Lyon. Puis, de l'autre côté de la Saône, dans le Cours complémentaire de Serin. Tout comme ses condisciples de l'École Technique Berliet, je l'ai retrouvé, cinquante ans plus tard, grâce aussi au site internet copainsdavant.
Nous nous sommes rencontrés en Bretagne, le 22 juillet 2010, au bord du lac de Guerlédan, à mi-chemin entre son point de chute dans la presqu'île de Rhuys et mon domicile dans le Finistère nord. Grosse émotion.
Puis, le 26 juillet 2013, j'ai eu le plaisir de recevoir la visite sur mes terres de Guy et de Cathy.
Enfin, je garde un souvenir ému de cette journée d'août 2014 où mes amis varois de Six-Fours m'ont fait connaître le magnifique village du Castellet, où ils avaient vécu de nombreuses années.
Ayant pris connaissance, dès la fin 2008, des savoureux « Mots du Jour » de Guy, envoyés par mail à un cercle restreint de parents et d'amis, je lui ai proposé de les reproduire sur internet sous forme de blog. Il n'aurait rien d'autre à faire pour cela que de m'inclure dans sa liste de destinataires. Ainsi fut fait. La mise en page de ses mails était suffisamment aboutie et inventive pour que je la restitue fidèlement. Et cela occupait nombre de mes matinées.
« Non, on ne trouve pas que des reportages sur l'arrivée des premières fraises au marché ou sur ces privilégiés de retraités qui font rien qu'à se balader en camping-car ou se dorer la couenne en croisière… Il y a aussi de graves sujets de société au J.T de Jean-Pierre Pernaut ! » m'écrit dans un mail mon confrère blogueur Guy, dont j'ai parfois moqué l'intérêt pour le 13 H de TF1. Ainsi m'arrive du Var la révélation de l'existence dans ma commune du Finistère d'un médecin de campagne comme on n'en fait plus. À 80 ans, le Dr Alain Kerneis ne pense pas à la retraite. Il ne comprend pas la réticence des jeunes à s'installer en milieu rural. Depuis plus de 50 ans, il pratique un « métier de curé », une médecine à l'écoute des patients et qui prend son temps. Rafraichissant !
Dans l'extrait, le journal de Jean-Pierre Pernaut, en vacances, est présenté par Jacques Legros.
« Tes blagues bretonnes venues d’Alsace m’ont fait ressortir ce Diaporama de mes vieilles archives… », m'écrit de son Var d'adoption mon ami Guy Blanchard. Les autres provinces seraient-elle jalouses ? Les dictons du dernier chapitre, « Breton de Base », sont salés. Normal pour une région cernée par la mer.
Mon amie Edwige m'envoie par mail des photos prises par son mari Lucien lors d'un défilé et d'une exposition de voitures anciennes à Villefranche-sur-Saône. Merci à eux de me rafraichir la mémoire sur une marque que j'avais oubliée. Les automobiles Vermorel, majoritaires dans la manifestation, dont certains modèles ont été qualifiés de « Rolls française », n'ont pas été fabriquées en aussi grand nombre (7.500 environ) que les Citroën, Renault ou Peugeot. Leur usine caladoise a fermé en 1930 et il ne devait plus beaucoup en circuler à l'époque de mon enfance. Je ne me souviens pas – mais je n'ai pas très bonne mémoire – en avoir vu passer dans la rue Marietton où j'observais le dimanche soir, depuis le second étage de notre immeuble, le défilé ininterrompu des retours de week-end ou de vacances. Cette rue assez modeste était alors la voie lyonnaise principale entre Paris et la Côte d'Azur.
J'étais, dans ces temps reculés où les voitures avaient du caractère, capable de reconnaitre au premier coup d'œil la plupart des marques et modèles, il est vrai moins nombreux. C'est loin d'être le cas aujourd'hui.
Mon ami Guy Blanchard, auteur des Mots du jour de Guy (onglet Blanchard en haut de cette page), connait mon amour des véhicules anciens, Il m'envoie de temps en temps des diaporamas sur le sujet. Voici le dernier arrivé. Ces superbes affiches d'autrefois, quand la publicité s'appelait encore la réclame, concernent les voitures et les deux-roues (j'ai grandi dans un magasin de cycles, vélomoteurs et motos) et aussi les boissons (j'aime bien boire !) et d'autres choses qui se vendent… L'envoi est en pièce jointe d'un mail : « Quelques vieilleries intéressantes qui ne peuvent pas trop faire de Mots du Jour mais qui peuvent peut-être trouver une place sur le blog ? Ou simplement pour ta collec de vieilles autos… ». Voilà, c'est fait ! Merci Guy.
En cette période sombre pour notre site, dont la reprise complète suite à une intervention malveillante me cause quelques tracas, je vous livre cette blague. Elle m'a été transmise par Michèle (Mamou pour les lecteurs de son blog) et réveillera bien des souvenirs de galères aux utilisateurs de l'informatique. Comme elle, j'ai ri tout seul devant mon ordi.
Nestor, 71 ans, débute en informatique…
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Nestor : Chou
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Nestor : chou-fleur
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Nestor : 1 chou-fleur
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Nestor : 50foutuschoux-fleurs
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Nestor: 50FouTusChoux-fleursdemerde!
Windows 10 : Désolé, le mot de passe ne peut pas contenir de signe de ponctuation.
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Mes lecteurs savent combien j’apprécie la Maison du Peuple de Morlaix, en particulier sa salle des fêtes d'un autre âge dont je suis tombé amoureux. Aujourd'hui ont été réceptionnés les travaux de consolidation de cette salle des fêtes qui lui permettront d'attendre sa rénovation.
Du beau monde à l'expo Par la même occasion la CGT locale, propriétaire des lieux, a procédé au vernissage de l'exposition « La CGT, 120 ans en Finistère, hier, aujourd’hui, demain » (ouverte jusqu'à mercredi), devant un public de choix. À part moi, on remarquait en effet la présence de Claude Bonnard, du Théâtre de la Corniche, Annie Loneux, conseillère déléguée de Morlaix communauté, Guy Tandé, président du Comité de la Maison du Peuple, Anne-Marie et Alain Quesseveur, membres très actifs de ce comité et de deux jolies journalistes des quotidiens locaux, Le Télégramme et Ouest-France. Problème d'images Un mot sur mes déboires de photographe. Avant de me rendre à Morlaix, j'ai sorti de mon sac le caméscope Panasonic en vue de recharger sa batterie. J'ai constaté qu'il avait subi un choc sévère et qu'il était fichu. Je vais regretter cet appareil qui m’accompagnait en permanence car il produisait des photos et des vidéos de qualité, grâce notamment à son excellente optique Leica. Lorsque j'ai voulu photographier le vernissage de l'exposition, l'écran de mon Fujifilm XE1 m'a appris que la carte-mémoire était absente. Damned ! Elle était restée dans l'ordinateur. Il ne me restait plus que le caméscope JVC 3D qui fait aussi des photos en 2D mais de qualité médiocre en basse lumière. Je n'ai vu autant de grain sur des images qu'au temps de l'analogique, quand on gonflait trop la sensibilité ISO de la pellicule ou quand on ratait le développement. J'aurais mieux fait d'utiliser mon smartphone. Pas eu le réflexe. Question d'âge !
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L'Union locale CGT de Morlaix sait recevoir dans sa Maison du Peuple lors des Journées du patrimoine. Cette année, elle a déniché dans les recoins de ses nombreux bâtiments une collection impressionnante de banderoles, affiches, photos ayant accompagné les manifestations et les actions revendicatives du syndicat dans la région tout au long de son histoire. On les admire dans une salle et autour de la cour intérieure. Dans une autre salle, on retrouve les panneaux de l'exposition sur les immigrés espagnols dans le Finistère et en particulier dans le pays de Morlaix entre 1936 et 1940. Côté cour, trois comédiens du Théâtre de la Corniche qui, comme moi, aiment beaucoup l'endroit nous offrent un brillant récital de chansons sociales. Le spectacle est malicieusement intitulé « Le Juste Cri ». Le programme est établi par les spectateurs invités à faire tourner « La Roue de l'Infortune » sur laquelle chaque numéro correspond à un thème. Arrivée d'une longue tournée en ville (Manufacture des Tabacs, Grand'rue, maison à Pondalès, Mairie…), la chorale morlaisienne A Cappello prend la relève. Son interprétation de « Poor Man Lazarus » est dans le ton : le gospel évoque la parabole du mauvais riche et du pauvre Lazare.
La deuxième tranche des travaux à la Maison du Peuple inclut une consolidation de l'amour de vieille salle des fêtes pour laquelle – les lecteurs de ce blog le savent – j'ai eu un coup de cœur. La rénovation sera pour plus tard. La souscription semble fermée.
Évangile selon saint-Luc, chapitre 16, versets 19 à 31 : « Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie. Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d'ulcères, et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche ; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères. Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d'Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli. Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, tandis qu'il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. Il s'écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu'il trempe le bout de son doigt dans l'eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre cruellement dans cette flamme. Abraham répondit : Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne ; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres. D'ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d'ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire. Le riche dit : Je te prie donc, père Abraham, d'envoyer Lazare dans la maison de mon père ; car j'ai cinq frères. C'est pour qu'il leur atteste ces choses, afin qu'ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments. Abraham répondit : Ils ont Moïse et les prophètes ; qu'ils les écoutent. Et il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu'un des morts va vers eux, ils se repentiront. Et Abraham lui dit : S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts ressusciterait ». Traduction d'après la Bible par Louis Segond.
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Décision avait été prise, mardi dernier chez Antonio et Laurette, de se retrouver au marché de Morlaix.
Maison à pondalez. En allant de la place des Otages à la place Allende, nous avons fait un arrêt dans la Grand Rue (petite, piétonne et médiévale), le temps d'une visite par Crik, Denise et moi, de la maison à pondalez (XVIe siècle), sur proposition de Laurette et Antonio qui nous ont attendus sagement. Les maisons à pondalez (à pont d'allée) ne se trouvent nulle part ailleurs dans le monde. La maison dite « de la reine Anne » en est un autre exemple.
Au marché et au bistrot. Place Allende, Denise et Crik ont acheté des huîtres. Et comme toute bonne sortie au marché, celle-ci s'est terminée par une station à la terrasse d'un café. Le Café de l'Aurore porte bien son nom. Autrefois, il ouvrait très tôt. C'est ici que se terminaient, vers 6 h du matin, nos longues virées nocturnes de jeunes journalistes.
À Carantec. Nous voilà au bord de la plage du Kelenn, à Carantec, à la terrasse du Paradisio Plage, pour le déjeuner puis devant les cabines de plage pour une séance photo. On se quitte à regret. Nous devons rentrer, car les chiens sont seuls à la maison depuis le matin. Et aussi parce que nous avons des huîtres à ouvrir. Attention les mains !
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L'étape de Six-Fours-les-Plages a été très agréable. Camping Les Playes accueillant, bon emplacement, quoique trop arboré (captation TV par satellite impossible), mais surtout réalisation d'un vieux rêve : la visite de la fabrique des Mots du jour de Guy Blanchard, mon copain d'école primaire et secondaire. La machine-outil est un ordinateur actionné par un cerveau humain plein de neurones. Le tout est niché dans une jolie villa, à deux pas de la plage.
Un village médiéval. Quand vint l'heure de se préoccuper de la nourriture terrestre, Guy et Cathy proposèrent de chercher un restaurant au Castellet, à 20 km de Six-Fours. Le Combo-qui-me-fait-tant-rêver étant en mode bivouac (2 places et un lit), nous avons pris ma voiture. Je ne connaissais du Castellet que son circuit automobile. J’ignorais que c'est aussi un très beau village médiéval, à portée de vue de la Méditerranée, en haut d'une colline de plus de 250 mètres, où mes guides du jour ont habité de nombreuses années. Cathy exerçait ici le métier d'institutrice, ce qui laisse des traces dans la mémoire d'une population. Après quelques rencontres pendant notre promenade, j'ai compris qu'ils ne se trouvaient pas en terre inconnue.
Photo compromettante.Près d'un restaurant que nous n'avons pas choisi, les propos un tantinet suffisants d'un serveur adressés à une cliente assise à la terrasse nous ayant déplu, une affiche a donné l'idée à Guy de me photographier de telle sorte, profondeur de champ aidant, qu'on puisse me supposer une aventure au Castellet. Nous nous sommes finalement attablés à La Souco (La Souche en occitan).
Le restaurant de Dédé. Cuisine traditionnelle livrée sur une terrasse abritée du soleil qui occupe une grande partie de la place. Mes invités ont connu l'ancien gérant de l'établissement, André Vilchez, dit Dédé La Souco, décédé en février. Une grande photo entretient son souvenir et Marie-Laure qui tient boutique dans le village (Les Poèmes de Marie-Laure) a rédigé un hommage émouvant.
Soirée drag queens. Ce soir au camping Les Playes, il y a fiesta. Présenté sur une scène mobile, un spectacle de transformisme orienté drag queens clôture une journée bien remplie !
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Vendredi 1er août. Les vacances 2014 ont connu un démarrage difficile. Je n'ai pas réussi à brancher le fil électrique de la caravane à la prise de la voiture. J'ai dû faire appel à un technicien du garage Renault de Morlaix. D'où un départ retardé. Et l'arrivée à destination reportée au lendemain.
J'ai retrouvé l'agréable camping d'Anse, « Les Portes du Beaujolais ». À part mes visites régulières à mon oncle et ma tante de Chazay et ma virée à Lyon, le jeudi 7, cette semaine dans ma région d'origine a été marquée par mes retrouvailles avec une amie d'enfance. Le mardi 5, Edwige et son mari Lucien m'ont invité à dîner chez eux, à Villefranche-sur-Saône. Au cours de cette excellente soirée nous nous sommes remémorés, elle et moi, notre vie rue Marietton, à Lyon, où « mon » magasin de cycles n'était séparé de « sa » triperie que par une allée d'immeuble. Au départ du camping d'Anse, ce vendredi matin 8 août, j'ai oublié de débrancher le fil électrique qui reliait la caravane à la borne d'alimentation. Une Hollandaise m'a couru après avec de grands gestes pour me signaler la chose. Le fil en question gisait derrière l'attelage. La première phase des vacances d'été 2014 se termine aussi mal qu'elle a commencé.
Luttenbach. Camping chez le Baron Je suis arrivé au Camping Les Amis de la Nature, à Luttenbach, dans la vallée de Munster, vers 16 h. L'établissement occupe en grande partie le parc de l'ancienne propriété du Baron de Coubertin, jadis Papeterie royale.
Quand un employé vient pour procéder au branchement de l'électricité, je constate que ma rallonge est foutue. Son embout de raccordement a été arraché. Il est resté sur la borne du camping d'Anse. Je fonce chez les Briconautes, à Munster. Il n'y a pas de rallonge toute faite. Je trouve une rallonge ordinaire et deux adaptateurs qui permettent, l'un le branchement à la caravane, l'autre le branchement aux prises européennes. Et la lumière fut !
Mon ami Jean-François Prieur, ancien du lycée de Vincennes, m'adresse ce lien vers une vidéo youtube le jour de mes 70 ans. Heureusement que son mail, envoyé par le biais de sa liste de diffusion, ne m'était pas spécialement destiné ! Ce surprenant court-métrage de 7 mn 9 s, un peu trash par endroits, ne manque pas de qualités. Préférez la version grand écran.