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Tag: "eurocamp"
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La Transat Bretagne-Martinique 🛈Sur Wikipédia. Cette transat en solitaire sur voiliers de Figaro-Bénéteau à lieu tous les 2 ans. part demain à 13 h. Au port de commerce, nous avons visité l'exposition sous chapiteau « Mer en vue ! », organisée par la Région pour accompagner les préparatifs de la course. Nous avons arpenté le ponton où sont amarrés les quinze voiliers participants.
Avant de quitter les lieux, nous avons eu droit à une brève prestation de quelques éléments d'un bagad, dont je livre une courte vidéo pour les amateurs de binious, tambours et bombardes.
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Le camping-car est une formidable machine à voyager dans les campagnes, dans les zones touristiques pas trop fréquentées ou hors-saison dans les autres. En revanche, il peine à trouver sa place dans les villes et le long des côtes très peuplées. Là, les panneaux lui interdisant l'accès à tout ce qui se trouve proche des centres d'intérêt pullulent. Les municipalités, qui n'ont toujours pas compris le bénéfice qu'elles peuvent tirer pour l'économie locale de la présence des camping-caristes sur leur territoire, rechignent à créer des aires de stationnement. Quand elles existent, ces aires sont souvent difficiles à trouver, en l'absence de panneaux de signalisation. Elles sont en général loin de tout et le nombre de places y est notablement insuffisant, compte tenu de l'augmentation importante du parc de ce type de véhicules.
Paradoxalement, le camping-car, symbole de liberté, devient un gros balourd, dans ces contrées inhospitalières. On en trouve un exemple frappant dans ma visite des côtes landaise et basque, à l'été 2009, et de la Côte d'Azur, à l'automne 2011.
À contre-courant 1 de la tendance actuelle, je reviens donc, non sans regret, à la caravane. J'en ai acheté une aujourd'hui à Brest 2. Avec elle, c'est sûr, je n'aurai pas la même facilité de mise en route et j'aurai la contrainte de séjourner sur les terrains de camping. J'ai veillé en revanche à ce qu'elle propose le même confort que celui auquel je m'étais habitué dans l'Eurocamp : chauffage, eau chaude, réservoir d'eau remplissable de l'extérieur, cabinet de toilette, WC, douche, antenne télé, éclairage d'auvent. En outre, j'ai fait installer un mover, dispositif permettant de déplacer l'habitation mobile sans effort à l'aide d'une télécommande.
Une fois dételée, la voiture pourra me transporter et surtout stationner n'importe où, comme à la maison. Ma famille parisienne n'aura plus la corvée de me ramener, tard le soir, au camping du Bois de Boulogne, même si elle l'a toujours fait de bonne grâce et sans barguigner.
1 La nouvelle orthographe préconise contrecourant en un seul mot. Mais moi, je trouve ça moche. Alors, je reste à contre-courant.
2 Cette caravane Sterckeman, modèle Evolution Comfort, a été volée dans mon jardin, dans la nuit du jeudi 15 décembre au vendredi 16 décembre 2016. La tentative de vol de sa remplaçante, une Sterckeman, modèle Romance, m'a conduit à faire installer un portail et à équiper Romance de plusieurs antivols.
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► 1/11. Castelsarrasin. Chez tati. Jeu 7/10/2011. 9 h 22.
C'est la fin du grand voyage d'automne entamé le jeudi 15 septembre.
Pendant ces trois semaines je me suis posé en Alsace, sur la Côte d'Azur et en région Midi-Pyrénées. J'ai quitté Castelsarrasin hier, après le repas de midi. Le matin j'ai fait quelques photos des lieux qui ont enchanté mes vacances jadis et où je me sens toujours aussi bien. J'ai immortalisé la scène quotidienne du retour des courses de tati. Et Roc'h a clos la séquence en grimpant dans son fourgon, avec l'air blasé de celui qui en a assez vu.
Vers 19 h, je me suis arrêté sur l'aire des camping-cars de Mauléon (Deux-Sèvres), bien connue de mes lecteurs les plus assidus. La jeunesse mauléonaise s'entrainait ferme sur le terrain de foot contigu. J'étais aux premières loges. Aujourd'hui, le chien et moi-même avons retrouvé « notre » Kéradennec.
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Vidéo, 17 secondes. Hyères. La Capte. La plage.
Au revoir Cagnes et mes souvenirs d'adolescence. Cap sur Castelsarrasin par le chemin des écoliers avec un léger détour sur la côte varoise.
Je me suis arrêté à Hyères aujourd'hui (trop facile !), pour retrouver des souvenirs de vacances en culotte courte. C'est ici, plus précisément à La Capte, que la famille lyonnaise plantait la tente dans les années cinquante. Le coin a bien changé. Le vaste camping ombragé avec accès direct à la belle plage de sable a disparu. Des maisons le remplacent. Reste l'odeur de la pinède. Je me sens un peu comme Proust avec sa madeleine. Déjeuner en bord de mer au restaurant Tahiti Plage « Chez Loulou ».
J'ai dans l'idée d'aller dire bonjour à mon ami Guy Blanchard, qui habite à 35 km d'ici. Je m'aperçois que je n'ai ni son adresse, ni son numéro de téléphone… À Six-Fours-les-Plages, une charmante postière me donne ces renseignements, sans qu'il soit nécessaire de recourir à la force. Hélas, quand j'appelle, j'apprends que mon camarade de l'école primaire et du cours complémentaire est hospitalisé pour un problème de hanche. Lecteur assidu de son blog Les mots du jour de Guy, j'aurais été informé si j'avais pu emporter mon internet mobile. Tant pis pour cette fois. Tel le général américain MacArthur aux Philippines, je fais cette promesse solennelle : « Je reviendrai ! »
Jeu 29.09.11
Réveil au camping Domaine de la Bastide, à Nîmes. Pas pu voir la télé hier soir, des arbres me masquant le satellite. Décidé de me repasser le DVD « Des Hommes et des Dieux ». Endormi devant, comme d'hab. Qu'est-ce qu'ils lui trouvent ?
Autre petit détour, arrivé à Montauban, vers la grotte de Bruniquel. Son actuel propriétaire m'avait gentiment proposé de la visiter lors d'un prochain passage (son commentaire). Comme un idiot, je n'ai pas pensé à lui envoyer un mail avant mon départ de Bretagne. Et je rappelle que je n'ai pas internet, cette fois-ci. Il n'y a personne. Je file, mais tel le général américain MacArthur, etc, etc.
Ven 30.09.11
Hier, l'Eurocamp a retrouvé sa place dans le jardin de tati. Aujourd'hui, j'ai installé la parabole dans le carré des tomates. Le ciel est dégagé à 19.2° Est. Dieu soit loué, bien que l'expression soit excessive, j'ai la télé pour la première fois à Castelsarrasin. J'en userai peu, privilégiant les soirées en famille.
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1/4. Cagnes-sur-mer. Camping La Rivière. 08:39.
La journée d'aujourd'hui m'en rappelle une autre, sur la côte basque cette fois (voir l'article). C'était en août 2009. Et bien, en septembre 2011, sur la Côte d'Azur, les camping-cars et fourgons aménagés ne sont pas davantage à la fête. J'ai fait Cagnes-Nice-Monaco et retour sans quitter le volant des mains et par voie de conséquence anatomique sans mettre pied à terre. À la faveur d'un des nombreux bouchons rencontrés, j'ai quand même pu prendre une photo de la Promenade des Anglais, depuis mon poste de pilotage, en me disant qu'ils avaient bien de la chance, les Anglais, de pouvoir se promener. Autre désagrément : j'avais choisi l'option sans autoroute, ignorant qu'elle me ferait passer par Eze, ce village qui me donnait déjà le vertige vu d'en bas du temps où, ne confiant pas nos itinéraires à des GPS stupides, on longeait la côte tout simplement !
Les ruelles encombrées de voitures et de policiers des hauteurs de Monaco m'ont décidé à prendre, pour un retour illico presto, l'option avec autoroute. Mon bonjour au couple princier en son palais, aperçu de loin, sera pour une autre fois.
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01/36. Musée Fernand Léger. Au premier plan, « L'Étendoir de Marcel », par Noël Dolla (né en 1945)
À Biot, le Musée Léger 🛈Sur fr.wikipedia.org
Le musée national Fernand-Léger ou musée Fernand-Léger est un musée national situé à Biot dans les Alpes-Maritimes et consacré à l'œuvre du célèbre artiste français du XXe siècle Fernand Léger. Le musée possède la plus importante collection d'œuvres de l'artiste. a pris du poids (pardon !) depuis ma première visite, en 1960 ou 1961. Il était alors tout neuf. Autrefois musée privé, il est devenu national en 1969 et il a doublé sa surface en 1990. Ce qui lui permet, hélas, de faire de la place à des expositions temporaires d'art contemporain. Art auquel je suis plutôt hermétique. Ainsi, les œuvres de l'expo « La peinture autrement » me laissent de marbre. Tout comme les installations dans le jardin…
L'étendoir de Marcel 🛈Sur routedeslivres.blogspot.com
Drôle d'étendage devant le musée Léger de Biot : des dizaines, des centaines de "marcel" - je mets un "s" à marcel ou je n'en mets pas ? ), noirs ou blancs, soigneusement accrochés sur des fils avec des pinces à linge, prétendu hommage à Marcel Duchamp par Noël Dolla, me pose une fois encore la question de la limite entre art et fumisterie.
Bernar Venet 🛈Sur fxgpariscaraibe.com
Les explications de Bernar Venet sur son art auraient plutôt tendance à me conforter dans mon rejet. Lui aussi s'est attaqué à Versailles. Interview et portrait par FXG (François-Xavier Guillerm), correspondant permanent à Paris des éditions antillaises du groupe Hersant Media (GHM). (bien Bernar sans d), avec son tas de charbon, me laisse tout aussi froid. Pour moi, ces « artistes » sont d'abord des beaux parleurs. Si je fais abstraction de leurs discours sur leurs œuvres, je me retrouve devant un étendage de marcels et un tas de charbon.
Le musée Renoir 🛈Sur cagnes-tourisme.com
Cent ans, c'était hier… En 1908, l'un des grands maîtres de l'Impressionnisme écrivait une page de l'histoire de Cagnes en choisissant d'y élire domicile de manière définitive., à Cagnes-sur-mer, est installé dans la maison que le peintre a occupée pendant les onze dernières années de sa vie. J'ai aimé les toiles originales du maître (une douzaine) mais j'ai un peu zappé les sculptures (une vingtaine, parait-il). Il va falloir que j'y revienne. J'ai surtout apprécié l'ambiance de ce lieu, pas m'as-tu-vu pour un sou. Meubles et objets semblent être restés en l'état et on a l'impression que le propriétaire est juste sorti faire quelques courses. Quant au magnifique jardin des Collettes, planté d'oliviers séculaires, il dégage un tel sentiment de sérénité que j'aurais pu y rester des heures.
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01/12. Camping La Marjorie (Lons-le-Saunier)
Hier vendredi, j'ai quitté Pfastatt, après un séjour d'une semaine chez ma belle-maman. Merci à toute ma famille alsacienne pour son accueil toujours aussi chaleureux.
À la sortie de l'autoroute pour l'étape de Besançon, mon GPS m'a présenté un écran noir, le cordon qui l'alimentait en 12 volts étant tombé en panne sans prévenir. De sorte qu'il m'a été impossible de retrouver la maison de Michèle. Nous nous sommes contactés par téléphone et mon amie a tenté en vain de jouer les tours de contrôle. Peu doué dans les manœuvres d'atterrissage, j'allais abandonner l'affaire quand Michèle, qui ne l'entendait pas ainsi, est venue me retrouver sur un parking d'une commune voisine pour me convoyer à bon port. J'arrive en général ici pour me faire inviter à déjeuner. Ainsi fut fait. Et ce fut encore pour moi un bon moment.
Ce matin, réveil au camping La Marjorie de Lons-le-Saunier. Cherché quatre croissants commandés hier soir.
Sur les coups de midi, j'ai fait halte à Seyssel, au fond du département de l'Ain, côté montagnes. J'avais envie de revoir l'hôtel où notre petite équipe de vendeurs au porte à porte de Beamscopes (lentilles de Fresnel japonaises pour agrandir l'image des téléviseurs) avait séjourné en 1966. La patronne nous avait choyés comme ses enfants. L'établissement est maintenant fermé. J'apprends par une conversation saisie dans la rue qu'il a été racheté par la mairie qui n'a pas encore décidé de son sort.
A Yenne (Savoie) j'ai retrouvé presque inchangée l'aire de pique-nique au bord du Rhône que la famille lyonnaise a fréquentée à plusieurs reprises dans les années 50. Nous y avions même une fois dressé la tente pour une nuit ou deux. Ils avaient trouvé cet endroit hors des sentiers battus, à une centaine de kilomètres de Lyon, en se rendant chez la nourrice de mon cousin Bernard, en surplomb du lac du Bourget.
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Quand Roger Donnadieu (un ancien, comme moi, de l'école de la rue Tissot et du cours complémentaire de Serin à Lyon) m'annonce qu'il vient à Guidel-Plages pour le congrès de la Fédération Nationale des aphasiques, je me prépare aussitôt à descendre dans le Morbihan : des retrouvailles après plus d'un demi-siècle, cela ne se refuse pas. Lundi donc, vers 18 h 30, je pose l'Eurocamp, le chien et moi-même dans le camping Pen er Malo, où j'ai mes habitudes pour y avoir séjourné deux fois. Et hier mardi, vers 11 h 30, Roger et Rose, son épouse, m'accueillent dans la maison qu'ils louent au club de vacances Belambra, où doit se tenir le congrès, du 12 au 15 mai.
Polar et orchestre
Sans entrer dans les détails, faute de temps, on se raconte nos vies personnelles et professionnelles. Un drame d'entreprise dont Roger a été témoin lui a inspiré un roman policier, Le Cloporte, édité par le site thebookedition.com. On évoque l'orchestre amateur Les Muzikos. J'en ai déjà parlé dans le compte rendu de ma visite à Noël Larmaraud. Roger avait succédé à ce dernier au piano de la mythique formation locale dont je suivais assidument les répétitions dans la salle de la fanfare, au-dessus de l'école maternelle de la rue Tissot.
Bruits de couloir
Au chapitre des potins, Rose, qui a fréquenté l'école primaire de filles installée dans le même bâtiment que le cours complémentaire de garçons, à Serin, m'apprend que sa directrice avait une liaison avec le directeur dudit cours. Je n'en avais rien su ! En revanche, mon professeur de français ne cachait pas son idylle adultérine avec une de ses collègues. Il demandait même aux élèves rêveurs, ceux qui s'installent près des fenêtres, de l'avertir quand elle sortait !
L'aphasie
En plus d'être agréables, les retrouvailles sont souvent instructives. Je le constate une fois encore en découvrant l'aphasie, dont j'ignorais tout, sauf le nom. Rose Donnadieu préside l'association d'aide aux aphasiques de la région lyonnaise, le bien nommé RELAIS (Rencontre, Expression, Langage, Activités, Information, Soutien).
Devant le Fort-Bloqué
Après un excellent repas au Vallon du Bas Pouldu, à Guidel-Plages, nous allons faire un tour devant le Fort-Bloqué, à Ploemeur, le temps de quelques photos. Et puis, parce qu'une si bonne compagnie ne se quitte pas aisément, nous retournons bavarder devant un café chez Roger et Rose, en attendant l'apéritif au bar et le dîner au restaurant du Belambra. On se sépare peu avant 22 h en se promettant de se revoir bientôt à Lyon.
Aujourd'hui, dans les Monts d'Arrée, sur le chemin du retour à Kéradennec, je me remémore cette belle rencontre d'hier ainsi que celles avec Jean-François Prieur et Chantal, Noël et Monique Larmaraud en août 2009. Grâce à la hauteur de vue que permet le franchissement des sommets (383 m au Roc'h Tredudon !), j'arrive à la conclusion que mes copains d'avant et leurs compagnes valent assurément le détour.
► La page d'accueil de Roger sur copainsdavant
► La page de son roman policier sur thebookedition.com
► Le site des aphasiques de la région lyonnaise (en dérangement ou supprimé)
► Les vœux de Rose dans leur revue
► L'article de wikipedia sur l'aphasie
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Mon frère Jean-Michel et Laurence m'ont invité à une soirée beaujolais nouveau qui s'est tenue à leur domicile parisien le samedi 20 novembre 2010. J'en ai profité pour passer quelques jours dans la capitale.
Nous avons quitté Kéradennec, Roc'h et moi, le mercredi 17 novembre à 12 h 02 et nous avons posé notre Eurocamp au camping du Bois de Boulogne vers 19 h.
Jeu 18.11.2010. De La-Tour-Maubourg à la Porte-Maillot
Voir son site : cliquez., le chef de bureau, accessibles sur internet, sont aussi de haut niveau. Je pars à 16 h 45. Je descends à pied le boulevard de La Tour-Maubourg, traverse le pont des Invalides, fais le tour complet du Grand-Palais, aperçois la file d’attente devant l’entrée de l’exposition Monnet. Je découvre que pour visiter cette expo, il faut chercher et imprimer un billet (payant) sur un site internet ou acheter un billet dans quelques points de vente, que ça m’étonnerait que je tombe pile poil dessus. Une heure de visite est précisée sur le billet. Si vous faîtes partie de la fournée de 17 h 30, pas question d’entrer à 18 h. Je passe mon chemin. Je n’aime pas voir l’art en prison et soumis à des horaires de parloir. Ensuite, je remonte les Champs-Elysées jusqu’à George V. Au passage, je visite le Virgin Mégastore et la FNAC. Arrivé à la Porte Maillot, comme d’hab je manque la bonne sortie du métro, proche du départ du bus 244 et me retrouve dans le square du terre-plein central, assez sinistre la nuit. J’y croise quelques lapins. Arrivée à l’Eurocamp vers 19 h 25.
Ven 19.11.2010. Longue marche et courses avec Marie
Au magasin Vinalliance, rue Didot, nous achetons quelques boissons à consommer avec modération. Nous rentrons, après une balade pédestre de 8 km. Je retrouve Ettore et Alexandra. Nous dînons et Marie me ramène au camping. Je suis dans l'Eurocamp à 23 h 05.
Sam 20.11.2010. Résidence pieds dans l'eau et magasin pour toutous
Lever vers 10 h 30. Promenade du chien. Photos de ma résidence pieds dans l’eau (quand je pense au prix d’une maison en bord de Seine !). Achat de trois croissants et une baguette au Super Market du camping (4x1,20=4,80 €). Petit-déjeuner.
Après, je ne sais plus. Je retrouve trace d’une activité à 18 h 16, quand j’entre dans La Niche, une annexe du BHV, seul endroit où je trouve des recharges pour mon Bon Ton (distributeur de sacs à déjections canines), bien connu de mes fidèles lecteurs (voir le Mer 27.06.07). Il y a foule dans le magasin. Des humains certes, mais aussi des toutous fort urbains. Bichonnés, enrubannés, portant parfois manteau, ils sont manifestement des habitués du shopping. Pas comme mon rustique Roc’h, épagneul breton de son état. Je m’amuse de les voir attirer l’attention de leur maître ou maîtresse, de la patte ou du regard, comme pour dire : « Je veux ça. S’te plaît ! ».
Ensuite je fais ma visite habituelle du BHV (le grand). Cette fois, je me contente du seul étage multimédia. Ils ont du beau matériel photo, mais leur rayon informatique laisse à désirer. Pensez-donc, ils n’ont même pas d’iPad !
Il est temps de prendre le métro. Le bistrot Saby ouvre à 20 h 30 et je ne voudrais pas rater mon entrée.
Sam 20.11 2010 (suite). Soirée beaujolais chez Laurence et Jean-Michel
A part cela, je ne pense pas avoir perturbé la fête. Une fête organisée par Laurence qui a lancé près de soixante invitations, mon frère se déclarant simple employé dans l’affaire. Des groupes se forment selon affinités ou vécu commun. Ne connaissant personne, je me tiens à l’écart. Je me contente de déguster les mets et boissons généreusement distribués. C’est alors que je découvre un couple venu de ma bonne ville de Lyon. Nous sympathisons autour de ce thème. Ils ont vécu à Paris autrefois – d’où leur présence ici aujourd’hui – avant d’émigrer dans la capitale des Gaules, qu’ils aiment beaucoup et qu’ils paraissent bien connaître, traboules comprises. Peu à l’aise, tout comme moi, dans les mondanités, le monsieur me propose un tour de pâté de maisons. Nous voilà tous les deux, cheminant et bavardant fort agréablement devant la belle mairie du XVe. Dans les interminables repas de Bresse, on désigne cette balade digestive par l’expression « faire le coup du milieu ». Au retour, nous fondons sur les desserts. Après le départ des couche-tôt, il devient possible de prendre des photos. Pour ce qui est de la vidéo, la lumière ambiante est un peu faible, et je n’ai pas ma mini-torche. D’où une qualité médiocre, due aussi au fait que je n’ai toujours pas trouvé les bons paramétrages dans le logiciel de montage pour la sortie en vidéo flash (flv 🛈Format osolète qui n'est plus lisible par les navigateurs, d'où la necessité de convertir les vidéos., format osolète).
Au final, j’ai passé un excellent moment. La réouverture du bistrot Saby fait partie du top-ten des bonnes idées de l’année.
J’ai l’impression que le chauffeur de taxi qui me ramène au camping ne prend pas le chemin le plus court. Mais je peux me tromper ! Quand je monte dans l’Eurocamp, il est presque 1 h 30. Roc’h m’interroge d’un regard réprobateur : « T’étais où ? ».
Dim 21.11.2010. Retour vers les années théâtre et anniversaire de Giulia
Arrivée chez Marie et Ettore vers 19 h 30. Je retrouve Tony et Laura, respectivement frère et belle-sœur d’Ettore et je fais la connaissance de leurs deux filles, Giulia et Syria. Ils habitent à Rome et sont de passage à Paris pour quelques jours. Dîner convivial clos par le gâteau d’anniversaire de Giulia, 10 ans aujourd’hui. Ensuite, Marie me ramène en voiture au camping. Laura et Tony sont du voyage.
Lun 22.11.2010. Les tribulations d'un provincial à Paris
Il m’a fallu près de trois heures pour faire le trajet depuis le Camping du Bois de Boulogne, soit une heure de plus qu’un Paris‑Lyon en TGV. Départ de l’Eurocamp à 11 h 34. Bus 244, comme d’habitude, jusqu’à la Porte-Maillot. Je prends la ligne 1 du métro, avec le projet d’attraper la correspondance avec le RER A2 à Charles-de-Gaulle-Étoile. Dans la rame, un haut-parleur diffuse l’information suivante : « En raison d’un colis suspect, les RER ne s’arrêtent plus à Charles-de-Gaulle-Étoile ». Pas grave, je prendrai la correspondance à la station Gare‑de‑Lyon. Entre Hôtel-de-Ville et Saint-Paul, la rame s’immobilise. Nouveau message : « En raison d’un incident technique à Château-de-Vincennes, la circulation est perturbée sur la ligne 1 ». Après un redémarrage, nous nous arrêtons à Saint‑Paul, les portes s’ouvrent et le précédent message est répété. Puis, plus rien ! Au bout de dix minutes, je décide de rejoindre la Gare de Lyon à pied (1,8 km). Dans la station de métro, je me perds un peu avant de trouver les quais du RER, mal signalés. C’est alors que je commets une erreur de provincial à Paris. J’utilise mon ticket de métro en cours, persuadé qu’il y a correspondance entre métro et RER. Et ça marche ! Arrivé à Nogent-sur-Marne, aux tourniquets de sortie, mon ticket est refusé. Personne aux guichets alentour pour me renseigner. J’observe, amusé, les nombreux usagers qui passent à quatre pattes sous les tourniquets pour entrer, sans s’embêter avec les contraintes des titres de transport. Au bout d’un moment, je sors en suivant leur exemple.
Après un nouveau refus de ticket de métro au départ du voyage de retour, une employée me fait découvrir le pot-aux-roses. Tant qu’on reste dans les limites de Paris, le ticket ordinaire (1,20 € en carnet de dix) suffit. Mais à Nogent-sur-Marne on est en zone 3. Il faut prendre un ticket à 2,35 €.
J’ai oublié l’existence des zones de transport d’Ile-de-France. Les zones qu’il y a chez nous, en Bretagne, ce sont les zones maritimes, littorales, agricoles, montagneuses (384 m au Roc’h Trevezel) ou boisées !
Lun 22.11.2010 (suite). Soirée italienne chez Marie et Ettore
Je retrouve les invités romains d’hier plus mon neveu Julien, sa copine Isabelle et ma nièce Alexandra. Avec mes hôtes, cela fait neuf personnes sur dix qui parlent et comprennent l’italien. La dixième, c’est moi. Mais j’aime tellement la musicalité de cette langue, la bonne humeur qu’elle véhicule (peut-on sérieusement s’engueuler en italien ?) que je ne résiste pas au plaisir de faire une vidéo. En me la repassant en boucle, je finis par comprendre de quoi il est question. Mieux que la méthode Assimil !
En fin de soirée, Marie, ma petite sœur, me ramène à mon campement.
Comme hier, Laura et Tony ont pris place dans la voiture. Ils n’ont plus la motivation de la découverte et ils ont sans doute eu une journée fatigante. C’est pourquoi je tiens leur volonté de nous accompagner pour une marque de sympathie à mon égard.
Il est vrai que mon séjour parisien prend fin. Demain matin, cap sur la Bretagne !
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Je rentre de mon voyage annuel à Castelsarrasin. Ce fut une semaine paisible et agréable. Les lecteurs assidus de mon blog savent combien j'aime cette ville, ses habitants en général et les gens de ma famille en particulier. Ma plus grande sortie a été pour Moissac, à 7 km ! J'ai revu son célèbre cloître et je me suis attardé dans son abbatiale.
À Castel, je n'ai pas manqué le marché du jeudi et la visite du port de plaisance.
Lun 11.10.2010. Kéradennec-Castelsarrasin d'une traite
Voyage sans encombre. À la sortie du péage de Castelsarrasin, une patrouille des douanes arrête tout le monde. « D’où venez-vous et où allez-vous », me demande une accorte (mais indiscrète) douanière. Je suis tenté de répondre : « de Colombie ». Mais je pense qu’elle pourrait mal le prendre. « Je viens de Bretagne et je vais ici, où j’ai de la famille ». « Allez-y » me dit-elle. Ils ne sont donc pas à la recherche de trafiquants de chouchen.
Mar 12.10.2010. Sous les platanes (restants) de la Promenade
Mer 13.10.2010. Panne de gaz et incursion dans le moyen-âge
À Moissac, j'ai visité l'abbatiale Saint-Pierre, que je ne connaissais pas et le cloître, que j'avais vu il y a une petite cinquantaine d'années. Et puis j'ai promené Roc'h le long du Tarn.
► Abbaye Saint-Pierre de Moissac 🛈Sur wikipédia
L'abbaye Saint-Pierre de Moissac est une ancienne abbaye des VIIe – XVe siècles. Depuis 1998 elle est inscrite par l'UNESCO au patrimoine mondial de l'humanité au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.
Jeu 14.10.2010. L'incontournable marché de Castel
De novembre à avril, un marché au gras réputé dans la région Midi-Pyrénées se tient aussi le jeudi sous la halle occitane. En cette mi-octobre, volaillers et clients étaient encore rares.
► Jeu 09.10.2008. Du marché de Castel à l'ex-ferme de Montauban 🛈Sur jfsaby.com/blogs/
Le marché du jeudi est une institution à Castel. Dans ma jeunesse, il continuait l’après-midi. Mémé (Germaine, seconde épouse de mon grand-père) y tenait un stand de fruits et légumes et Serge…
Sam 16.10.2010. Castelsarrasin. Flânerie au port de plaisance
Le Marius de Marcel Pagnol, devant le Vieux port de Marseille, rêvait des îles Sous-le-Vent.
Et moi, je rêve de voyages lointains sur le Canal du Midi à bord de ces merveilleuses résidences flottantes.
► Castelsarrasin. Le port canal à guichet fermé 🛈Sur ladepeche.fr
Publié le 09/02/2010 à 15:36. Les places sont rares sur le port-canal de Castelsarrasin. 52 bateaux y sont en ce moment installés, le port-canal affiche donc complet. Depuis sa création en 1998, il suscite toujours un engouement de la part des plaisanciers qui y accostent…
Dim 17.10.2010. Castel 2010 : dernière journée
Angélique a rejoint Toulouse aussitôt après. Fabien gagnera Valence d’Agen demain matin. Nous passerons, Roc’h et moi, la journée sur le chemin du retour. 810 km à avaler.
Au revoir tati et merci pour ton accueil.
Lun 18.10.2010. Castel 2010 : le retour
« D'où venez-vous ? Où allez-vous ? », auxquelles je réponds du mieux que je peux : « Je viens de Castelsarrasin, dans le Tarn-et-Garonne et je rentre chez moi ».
Air soupçonneux : « Vous n'êtes pas allé en Espagne ? Vous ne ramenez pas de tabac et d'alcool ? »
Air surpris de la question : « Non, non ».
Air bon enfant : « Allez-y ! ».
Ils ne sont donc pas à la recherche de trafiquants de cassoulet.
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Ma famille chazéenne, mon chien et moi avons séjourné au camping de La Grée-Penvins, dans la presqu’île de Rhuys (Morbihan) du 31 juillet au 14 août.
Sam 31.07.10. Cap sur la presqu’île de Rhuys
Top départ des vacances dans la presqu’île de Rhuys. L’Eurocamp et la C4 quittent Kéradennec à 10 h 30 pour le camping de La Grée-Penvins. Arrivée à Penvins vers 13 h. Nous déjeunons à La Pergola. Cuisine sophistiquée, aux mélanges un peu déroutants. Sortie de table à 15 h 35. Le mobilhome est disponible à partir de 15 h 30. On est dans les temps.