Depuis une quinzaine de jours, le champ contigu à notre terrain sur deux côtés, celui-là même qui avait reçu un fort troupeau de vaches en mars dernier, est habité en journée par trois nouveaux locataires : deux juments et un poulain. Je dois dire que les observer est un enchantement. Ils forment une famille très unie. Cela les aide peut-être à supporter un temps pourri, comme dans la chanson de Brassens « Le petit cheval », où les averses l'emportent largement sur les éclaircies.