Musée Malartre. Au paradis des voitures anciennes
© Photo Jeff SABY. Photos d'origine perdues. Données manquantes. Prise de vue: Vendredi 1er juin 2012, à 15 h 55. Appareil: Camescope Panasonic HDC-SD700. Objectif: fixe, Leica Dicomar, zoom x12, ouverture maxi : 1.2. Flash: non
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On connait ma tendresse pour les voitures anciennes. J'ai plusieurs fois relaté dans ce blog des manifestations qui les montraient en action. Tout aussi intéressante est leur présentation statique dans les musées. Je connaissais celui, très renommé, des frères Schlumpf à Mulhouse mais, bizarrement, je n'avais jamais mis les pieds au Musée Malartre, à Rochetaillée, près de Lyon, ma ville natale. Il recèle, lui aussi, des trésors.
Dans le château se font admirer les modèles les plus anciens, parfois uniques au monde. Dans le bâtiment moderne, le Hall Gordini contient en majorité des voitures conçues à partir des années 30.
Remarqué l'étonnant prototype Wimille de 1948, du nom du pilote automobile français qui s'est tué aux essais à Buenos-Aires en 1949, ce qui a mis un terme à l'existence de cette nouvelle marque de voitures de sport. Le Hall Louis-Pradel expose des tramways, le fameux train bleu de Lyon-Neuville, des voitures de courses et les automobiles de gens célèbres. Parmi ces dernières, la Mercedes d'Hitler, qui a fait la réputation du musée, côtoie l'Hispano-Suiza du général de Gaulle ! La Packard Carribean d'Edith Piaf voisine avec la Renault Vivastella des frères Lumière et avec la Lorraine-Dietrich du film « Borsalino ».
N'en ayant jamais revu nulle part, j'espérais trouver dans ce temple de la voiture ancienne quelques modèles de Berliet, marque de la région et accessoirement première automobile que j'ai connue et fréquentée dans mon enfance (elle appartenait à mon grand-père). Hélas, il n'y en a point. C'est ma seule déception, qui n'a cependant pas gâché le plaisir d'une visite que je recommande vivement à tous les amoureux des beaux châssis.
Dans le château se font admirer les modèles les plus anciens, parfois uniques au monde. Dans le bâtiment moderne, le Hall Gordini contient en majorité des voitures conçues à partir des années 30.
Remarqué l'étonnant prototype Wimille de 1948, du nom du pilote automobile français qui s'est tué aux essais à Buenos-Aires en 1949, ce qui a mis un terme à l'existence de cette nouvelle marque de voitures de sport. Le Hall Louis-Pradel expose des tramways, le fameux train bleu de Lyon-Neuville, des voitures de courses et les automobiles de gens célèbres. Parmi ces dernières, la Mercedes d'Hitler, qui a fait la réputation du musée, côtoie l'Hispano-Suiza du général de Gaulle ! La Packard Carribean d'Edith Piaf voisine avec la Renault Vivastella des frères Lumière et avec la Lorraine-Dietrich du film « Borsalino ».
N'en ayant jamais revu nulle part, j'espérais trouver dans ce temple de la voiture ancienne quelques modèles de Berliet, marque de la région et accessoirement première automobile que j'ai connue et fréquentée dans mon enfance (elle appartenait à mon grand-père). Hélas, il n'y en a point. C'est ma seule déception, qui n'a cependant pas gâché le plaisir d'une visite que je recommande vivement à tous les amoureux des beaux châssis.
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