Bernard Pivot ironise sur Greta Thunberg et se met les féministes à dos
▼▲ Caption (légende en anglais)
French journalist and President of the jury of the Prix Goncourt Bernard Pivot arrives at the Drouant restaurant in Paris ahead of the announcement of the winner of the France's literary prize, the Prix Goncourt, on November 4, 2019.
Prise de vue: Lundi 4 novembre 2019, à 10 h 38. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 205 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 200, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 251 mots. Bernard Pivot aurait sans doute mieux fait de tourner plusieurs fois son index avant de tweeter sur Greta Thunberg, 16 ans, la fameuse militante suédoise qui mène une croisade très médiatique contre le réchauffement climatique.
Inspiré par son récent discours à l’ONU, où l’adolescente a fait la leçon aux nations qui continuent de polluer la planète, Bernard Pivot a ironisé sur le caractère bien tranché de la passionaria du climat en se rappelant avec nostalgie la réputation sympathique et avenante des jeunes Suédoises de son enfance.
« Dans ma génération, les garçons recherchaient les petites Suédoises, qui avaient la réputation d’être moins coincées que les petites Françaises. J’imagine notre étonnement, notre trouille, si nous avions approché une Greta Thunberg… »
Qu’a-t-il dit là ! Il n’en fallait pas plus pour réveiller les militants de tout poil, qui ont trouvé la remarque plus que déplacée vis-à-vis d’une jeune fille, autiste de surcroît. De vives réactions ont fusé de toutes parts à la fois pour dénoncer le caractère sexiste de la remarque et pour défendre bec et ongles le combat de la jeune Suédoise. « Vous parlez d’une mineure », souligne ainsi Julien Bayou, le porte-parole d’Europe Écologie-Les Verts. « Supprime », lui intime la militante féministe Caroline de Haas.
Et, plus rarement, dans le lot, des followers qui viennent à la rescousse du journaliste : « Soutien total à Bernard contre les parangons de la bien-pensance dictatoriale à l’égard de cette gamine tristement manipulée… ». Source.
Inspiré par son récent discours à l’ONU, où l’adolescente a fait la leçon aux nations qui continuent de polluer la planète, Bernard Pivot a ironisé sur le caractère bien tranché de la passionaria du climat en se rappelant avec nostalgie la réputation sympathique et avenante des jeunes Suédoises de son enfance.
« Dans ma génération, les garçons recherchaient les petites Suédoises, qui avaient la réputation d’être moins coincées que les petites Françaises. J’imagine notre étonnement, notre trouille, si nous avions approché une Greta Thunberg… »
Qu’a-t-il dit là ! Il n’en fallait pas plus pour réveiller les militants de tout poil, qui ont trouvé la remarque plus que déplacée vis-à-vis d’une jeune fille, autiste de surcroît. De vives réactions ont fusé de toutes parts à la fois pour dénoncer le caractère sexiste de la remarque et pour défendre bec et ongles le combat de la jeune Suédoise. « Vous parlez d’une mineure », souligne ainsi Julien Bayou, le porte-parole d’Europe Écologie-Les Verts. « Supprime », lui intime la militante féministe Caroline de Haas.
Et, plus rarement, dans le lot, des followers qui viennent à la rescousse du journaliste : « Soutien total à Bernard contre les parangons de la bien-pensance dictatoriale à l’égard de cette gamine tristement manipulée… ». Source.
Created by stoupak • Last edit by jeff on Novembre 8th, 2019
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