Headline: People take part in a demonstration against anti-Semitism on the Esplanade des Invalides in Paris, on November 12, 2023. Tens of thousands are expected to march Sunday in Paris against anti-Semitism amid bickering by political parties over who should take part and a surge in anti-Semitic incidents across France. Tensions have been rising in the French capital, home to large Jewish and Muslim communities, in the wake of the October 7 attack by Palestinian militant group Hamas on Israel, followed by a month of Israeli bombardment of the Gaza Strip. France has recorded nearly 1250 anti-Semitic acts since the attack. National Assembly speaker Yael Braun-Pivet and Gerard Larcher, the Senate speaker, called on November 7 for a "general mobilisation" at the march against the upsurge in anti-Semitism.
CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE. Diaporama automatique débrayable. Cliquez sur : = Pause = Lecture.
« Pour la République, contre l’antisémitisme » : plus de 182.000 personnes ont défilé dimanche 12 novembre 2023, à Paris et partout en France, pour dénoncer la recrudescence du nombre d’actes antisémites dans notre pays depuis l’attaque perpétrée le 7 octobre par le Hamas à l’encontre d’Israël. Dans ce contexte international très tendu, ces manifestations ont fait l’objet d’un dispositif de sécurité maximal, avec notamment plus de 3000 policiers et gendarmes mobilisés dans la capitale. Samedi, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, avait demandé aux préfets de « garantir une extrême sécurité » des marches, « encourageant » au passage les représentants de l’État à « participer personnellement » aux différentes mobilisations. À Paris, le cortège s’est élancé peu après 15 heures depuis le quartier de l’Assemblée nationale, en direction de celui du Sénat. Le carré de tête du cortège parisien, arrivé à destination vers 16 h 45, a rassemblé de nombreuses personnalités politiques parmi lesquelles Élisabeth Borne et plusieurs membres de son gouvernement, les présidents de l’Assemblée et du Sénat Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, initiateurs de cette « grande marche civique », les anciens présidents de la République François Hollande et Nicolas Sarkozy, des anciens premiers ministres, mais aussi des représentants des cultes comme le grand rabbin de France, Haïm Korsia, et l’évêque de Nanterre, Mgr Matthieu Rougé. Quelques mètres derrière ce carré de tête, des élus rassemblés par chapelle politique puis le reste du cortège, 105.000 personnes en tout selon la préfecture de police de Paris. La marche s’est, dans l’ensemble, déroulée dans le calme. La manifestation a notamment été ponctuée par des Marseillaise entonnées en tête de cortège, des salves d’applaudissements et des slogans comme « Non, non, non à l’antisémitisme ». Très peu de drapeaux français et pancartes étaient visibles. Une ambiance grave mais apaisée. Source.
Head of La France Insoumise (LFI) left-wing party Jean-Luc Melenchon (C) takes part in a march near the Gare du Nord, in Paris, on November 10, 2019, to protest against Islamophobia, at the call of several anti-racist activists and collectives.
Prise de vue: Dimanche 10 novembre 2019, à 13 h 56. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 25 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/7.1, ISO 3200, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 159 mots Après une semaine de polémique, la marche contre l’islamophobie a rassemblé 13 500 manifestants ce dimanche 10 novembre 2019 à Paris, selon le comptage du cabinet indépendant Occurrence pour un ensemble de médias et 10 500 selon la préfecture de police de Paris. Dès 13 h, près de 2 000 personnes s’étaient rassemblées sur le parvis de la gare du Nord. Parmi elles, Olivier Besancenot, la figure du NPA, et Madjid Messaoudene, élu de gauche de Saint-Denis, l’un des initiateurs du rassemblement. Selon plusieurs journalistes présents sur les lieux, Jean-Luc Mélenchon est arrivé dans le cortège peu après 13 h 30. Juste avant, le chef de file de La France insoumise avait appelé à ne pas « confondre quelques personnes avec la valeur de la cause qui est servie » et à ne pas « oublier l’événement fondateur » de cette manifestation, à savoir « la tentative de meurtres devant la mosquée de Bayonne » qui a fait deux blessés par balle fin octobre. Source.
Youth take part in a demonstration against climate change on March 15, 2019 near the Pantheon in Paris. The worldwide youth protests were inspired by a Swedish teen activist who camped out in front of parliament in Stockholm last year to demand action from world leaders on global warming.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 13 h 28. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 146 mots. Quelque 29.000 personnes, selon la préfecture de police, 40.000 selon le collectif Youth for Climate, organisateur, ont participé dans le calme vendredi à Paris à la marche des jeunes pour le climat. La tête du cortège est arrivée vers 15 h aux Invalides, le point final où, une heure après, les marcheurs continuaient d’affluer, a constaté une journaliste de l’AFP. La foule partie du Panthéon, en passant par Montparnasse, était composée d’étudiants mais aussi de lycéens et de bien plus jeunes venus avec leurs parents. Dans le cortège on repérait des scouts, des membres de syndicats étudiants, un panneau « gilets jaunes Paris 20e ». Des slogans anti-capitalistes fusaient entre les désormais classiques: « Et un, et deux, et trois degrés, c’est un crime contre l’humanité » ou « Rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Autres participants annoncés, des étudiants de l’École Polytechnique. (Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet).
Greta Thunberg (C, with a white placard), the Swedish 16-year-old climate activist and the figurehead of the movement "Youth for Climate" takes part in a demonstration of students in front of the Paris Opera on February 21, 2019, to demand concrete measures to politicians to counter the global warming.
Prise de vue: Vendredi 22 février 2019, à 13 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, Program AE, 1/1000 sec, f/5.6, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 120 mots. Un millier de jeunes se sont rassemblés vendredi 22 février 2019 à Paris, autour de l’adolescente suédoise et égérie du climat Greta Thunberg, pour la deuxième journée d’une mobilisation française des jeunes pour le climat, jusqu’alors timide. Étaient présentes notamment les adolescentes belges Kyra Gantois et Anuna de Wever, visages du mouvement climat en Belgique, ou Ysee Parmentier, une collégienne venue du Tarn-et-Garonne. Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants ont défilé, portant des pancartes « le futur commence ici », « Sauve la Terre, mange un lobbyiste », « Water is coming » et scandant les slogans « on est plus chaud que le climat » ou « rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Source : https://www.lemonde.fr, lien à la fin de l'article complet.
Protesters march in the streets of Paris during the 13th "March for Life" (Marche pour la vie) against abortion and medically assisted reproduction on January 20, 2019. The protesters claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Dimanche 20 janvier 2019, 15:05:27. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 1600, Compensation: -1/3 Flash: non
RÉSUMÉ : 265 mots. Plusieurs milliers de personnes, 50 000 selon les organisateurs, 7 400 selon la police, dont beaucoup de jeunes, ont défilé à Paris pour la 13e « Marche pour la vie », le dimanche 20 janvier 2019. « Témoigner sans se lasser des valeurs inaliénables de la dignité humaine et de la vie », c’était le but de cette Marche pour la vie qui, avec une organisation rajeunie, est plus que jamais mobilisée en cette période de révision de la loi de bioéthique, de crise sociale et de convergence des détresses , ont précisé les organisateurs dans un communiqué. « Nous sommes cette année la Marche des exclus du grand débat, les sujets bioéthiques et sociétaux ayant été sciemment exclus du grand débat national organisé par le gouvernement ! » martèlent-ils encore dans cette déclaration. Convaincu de réunir « cette année beaucoup de monde », dans le « contexte » du mouvement des Gilets jaunes, Nicolas Sévillia, délégué général de la Marche, a expliqué qu’ « au-delà de la détresse sociale », c’est « aussi une souffrance immatérielle » qui s’exprime. La PMA pour toutes, « c’est l’arbre qui cache la forêt ». Des choses « beaucoup plus graves » figurent dans le projet de révision, a abondé Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Lejeune. Il fait ainsi référence au rapport parlementaire sur les questions bioéthiques paru cette semaine et qui a fait polémique. Viviane Lambert, qui contestera lundi lors d’une nouvelle audience à Châlons-en-Champagne la procédure d’arrêt des soins pour son fils Vincent, en état végétatif depuis dix ans, s’est déclarée « très impressionnée de voir tout ce monde pour défendre la vie ». Source : www.leparisien.fr, lien à la fin de l'article complet.
Members of the "Witch Bloc" feminist group demonstrate behind riot police as they came to disturb the pro-life movement 13th "March for Life" (Marche pour la vie) anti-abortion rally in Paris on January 20, 2019. Particpants in the march claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 16:38:09 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1//500 sec, f/8, ISO 16000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 207 mots. Face à la « marche pour la vie » qui cherche à « susciter une prise de conscience générale sur la question de l’avortement », organisée dimanche 20 janvier 2019 à Paris, les membres du Witch Bloc Paname comptaient bien faire entendre leur voix. Le collectif militant féministe et révolutionnaire – qui reprend la figure de la sorcière et s’inspire dans sa lutte du groupe W.I.T.C.H, né à Portland contre Donald Trump – s’est donc réuni le même jour, à la même heure, place du Trocadéro, lieu d’arrivée de la Marche pour la vie. Le but ? Défendre le droit à l’IVG, alors que la treizième édition de la Marche pour la vie entend cette année défendre particulièrement la clause de conscience des médecins. Cette disposition en vigueur permet aux praticiens de refuser de pratiquer une interruption volontaire de grossesse en raison de leurs convictions personnelles. Les membres du Witch Bloc – comme on a déjà pu le constater lors des manifestations contre la loi Travail – indiquent par ailleurs se réunir masquées, afin de conserver leur anonymat, et en non-mixité (ici entre femmes et personnes queer). Toutefois, toutes les personnes souhaitant se joindre au rassemblement d’une manière générale sont les bienvenues, précise l’organisation. Source : www.lci.fr, lien à la fin de l'article complet.
= Lancer la lecture automatique = Arrêter la lecture automatique = Ouvrir la galerie. Taille maximale des images en mettant en plus en grand écran (touche F11 sur la plupart des navigateurs) = Fermer la galerie. Puis retour à l'écran normal (touche F11 sur la plupart des navigateurs) = Ouvrir l'image en cours dans une nouvelle fenêtre Sur l'image en cours : ou clic sur la moité droite = Image suivante ou clic sur la moitié gauche = Image prédédente. Ces opérations arrêtent la lecture automatique si elle est active.
World Wide Fund for Nature (WWF) members holding signs and banners take part in a march against climate change, in front of the Paris Opera, on October 13, 2018.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/6.3, ISO 100, Compensation: -1. Flash: oui
Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi 13 octobre 2018 à Paris, Lyon, Lille, Marseille, Rennes, Bordeaux ou Strasbourg au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, prolongeant la mobilisation de septembre ayant suivi la démission de Nicolas Hulot. Au total, près de 80 mobilisations étaient prévues en France, y compris dans de plus petites villes comme Reims (500 personnes), Auch (une centaine), Tours ou Angers. Ils étaient 14.500 à Paris, selon le comptage du cabinet Occurence, contre 18.500 selon la préfecture le 8 septembre (50.000 selon les organisateurs). Lyon a connu la deuxième plus forte mobilisation avec 10.000 personnes selon la préfecture. Ailleurs, 3.200 personnes ont défilé à Lille, 2.500 à Bordeaux et 1.850 à Strasbourg (selon la police) sous un soleil radieux, alors que Météo-France recense des records de chaleur pour un mois d’octobre en France. Il y a un mois, la démission de Nicolas Hulot du ministère de la Transition écologique avait poussé de simples citoyens à appeler à une manifestation qui s’est avérée d’une ampleur inédite, avec 115.000 manifestants dans toute la France, selon les organisateurs. François de Rugy, qui a pris la succession de Nicolas Hulot au gouvernement, a salué dans un tweet « la mobilisation de chacun » qui « est une force pour agir ! »
The environmentalist, activist, journalist and photographer Yann Artus-Bertrand (C) takes part in march against climate change, in Paris, on October 13, 2018.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 170 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Apercu en tête du cortège lors de la marche contre le réchauffement climatique organisée à Paris le 13 octobre 2018, le photographe mondialement connu pour ses photos est aussi un fervent militant de la cause écologique. Il organise ce dimanche 14 octobre une vente aux enchères exceptionnelle qui servira à financer l’action de sa Fondation baptisée GoodPlanet. Des prix inédits sont à gagner comme une immersion dans les coulisses de The Voice avec Nikos Aliagas, une journée de préparation du journal de 20 heures de TF1 avec Gilles Bouleau, un concert de Calogero avec l’artiste, un déjeuner avec le photographe franco-brésilien Sebastião Salgado ou avec l’acteur français Clovis Cornillac, une journée aux côtés de la chanteuse Zazie… Tous les bénéfices de cette vente seront reversés à la Fondation et contribueront notamment au maintien de la gratuité au public du site du Domaine de Longchamp, où est implantée la Fondation. Ils permettront également le développement de nouveaux projets de sensibilisation à l’écologie et à la solidarité tels que la création d’une ruche à taille humaine ou encore l’ouverture d’un espace dédié à l’alimentation et l’agriculture durable.
Ils étaient plusieurs milliers en marche dans Paris « pour la justice et la dignité » ce dimanche 19 mars 2017. Leur objectif : dénoncer les violences policières, à cinq semaines de la présidentielle et un mois et demi après le déclenchement de l’affaire Théo, du nom de ce jeune homme dont l’interpellation brutale a provoqué d’importantes manifestations en février. C’était la deuxième fois, après octobre 2015, que cette marche, à l’initiative de familles de victimes, était organisée dans la capitale. Mais au lendemain de l’agression de militaires à l’aéroport d’Orly,
un important dispositif de sécurité a été mis en place. Parti de la place de la Nation à 14 h, le cortège s’est rendu place de la République, pour assister à un concert de 18 h à minuit. À l’arrière du cortège, plusieurs centaines de personnes portant capuches, cache-nez et lunettes noires ont tiré des fumigènes de façon sporadique. Quelques vitrines d’établissements bancaires ont été cassées, tandis que des projectiles, dont des cocktails molotov, ont été lancés sur des représentants des forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des grenades lacrymogènes.
People take part in a demonstration called by the families of the victims of alleged police brutality, LDH, the Mrap, CGT and FSU against police brutality, discrimination and racism in Paris on March 19, 2017.
Le 18 mars à 14 heures, la France insoumise, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon, a lancé à Paris une marche pour la VIe République place de la Bastille, avec pour destination la place de la République. D’après les organisateurs de l’événement, quelque 130 000 personnes ont rejoint la manifestation de l’ex-leader du Front de gauche. Thème phare du programme de Jean-Luc Mélenchon, la VIe République qu’il se propose d’instaurer aurait pour effet d’abolir
« la monarchie présidentielle ». Dans son programme, le candidat explique : « Je voudrais être le dernier président de la Ve République et rentrer chez moi sitôt qu’une Assemblée constituante [aura été élue] ». Ce rassemblement a lieu presque cinq ans jour pour jour après la manifestation organisée au même endroit en 2012 lors de laquelle Jean-Luc Mélenchon, déjà candidat à la présidentielle, était parvenu à réunir 120 000 personnes.
French presidential election candidate for the far-left coalition La France insoumise Jean-Luc Melenchon (R) arrives to delivers speech after he took part in the Marche pour la VI Republique (March for the 6th Republic) called by the far-left coalition La France insoumise on March 18, 2017 in Paris.
Quelque 300 personnes ont participé dimanche à Villejuif (Val-de-Marne) à une marche silencieuse en hommage à Aurélie Châtelain, professeur de fitness de 32 ans, tuée il y a près d’un an lors d’un attentat avorté contre une église catholique de la commune. Comme lors de la première marche blanche, organisée une semaine après le drame, le cortège est parti de l’église Saint-Cyr-Sainte-Julitte, la plus grande de la ville et l’une des cibles potentielles de l’attaque. Avant le départ, une cérémonie de recueillement, présidée par l’évêque de Créteil, Mgr Michel Santier, y a été organisée en présence des représentants des communautés juive, musulmane et copte de la ville. Les participants ont ensuite pris la direction du lieu où la jeune mère de famille a été tuée, près de l’institut de cancérologie Gustave-Roussy, et une stèle a été dévoilée. Parmi eux, les parents d’Aurélie, dont la mère serrait contre elle un portrait, et le maire de Caudry, ville du Nord où habitait la victime, ainsi que plusieurs conseillers municipaux, défilant derrière une banderole: « Hier tu dansais parmi nous… Aujourd’hui tu danses parmi les anges ». Le 19 avril au matin, Aurélie Châtelain avait été retrouvée morte, tuée par balle, sur le siège passager de son véhicule. Peu après, un étudiant franco-algérien connu des services de renseignements comme islamiste radical, Sid Ahmed Ghlam, 24 ans, était arrêté à Paris après avoir lui-même appelé les secours: il venait de se blesser avec une arme à feu. La famille d’Aurélie Châtelain, décorée le 18 mars, à titre posthume, de la Légion d’honneur, a reçu en fin d’après-midi la décoration des mains du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.
Interior Minister Bernard Cazeneuve attends a homage to slained dancer Aurelie Chatelain on April 10, 2016 in Villejuif, Paris’ suburb. Aurelie Chatelain, an unemployed dance enthusiast, was found dead on April 19, 2015 in Villejuif near Paris, by passers-by as smoke poured out of her car from an overheating laptop. A 24-year-old Franco-Algerian IT student, known to intelligence services for wanting to fight in Syria alongside jihadists, and for allegedly planning a church attack in France was charged with murder after his DNA was found in her car.
Dix ans après les émeutes en banlieue, plusieurs milliers de personnes ont participé, le samedi 31 octobre 2015, à une « Marche de la dignité » dans les rues de Paris, dénonçant violences policières, racisme et humiliations. Une foule compacte, avec au premier rang des femmes, a commencé à défiler en début d’après-midi derrière une banderole « Marche de la dignité contre le racisme » en scandant « justice, réparations, unité ». Les manifestants, certains arrivés en bus de province, sont partis du quartier populaire de Barbès, dans le nord de la capitale, à l’initiative de la Marche des femmes pour la dignité (Mafed), collectif de femmes soutenues par la militante américaine des droits civiques Angela Davis et des dizaines de personnalités et d’associations luttant contre les discriminations.
Women hold banners saying Black lives matter, Gentrification = Colonization from the inside during a demonstration in Paris on October 31, 2015 to denunciate racism and police violence, ten years after the french riots.
Une marche des différents collectifs d’expulsés, de réfugiés et de sans-logis a été organisée par l’association Droit au logement (DAL) le dimanche 20 septembre 2015 depuis le métro La Chapelle, dans le 18e arrondissement de Paris. Avant de rejoindre la place de la République, le cortège est passé devant l’église Saint-Bernard, dont l’accès était barré par les forces de l’ordre.
Paris: Protestors march to denunciate the situation of the refugees, of people who are expelled in France and of the homeless, on September 20, 2015 in Paris. The march was organized by the Right to Housing (DAL).
Près d’un millier de personnes ont participé samedi 25 avril 2015 à Villejuif (Val-de-Marne) à une marche silencieuse en hommage à Aurélie Châtelain, tuée le dimanche précédent dans cette cité par Sid Ahmed Ghlam, soupçonné d’être un djihadiste qui projetait aussi un attentat contre au moins une église locale. Le cortège est parti de l’église Saint-Cyr-Sainte-Julitte, l’une des cibles potentielles de l’attentat, en fin d’après-midi, juste après une cérémonie d’hommage à la jeune femme, en présence du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.
People take part in a silent march on April 23, 2015, in Villejuif, near Paris, in honor of Aurélie Châtelain. The girl was killed by Sid Ahmed Ghlam, suspected of being a jihadist who also planned an attack against at least a local church.
Une marée humaine de près de 1,5 million de personnes et une cinquantaine de chefs d’Etat et de gouvernement le dimanche 11 janvier 2015 après-midi : une marche immense et inédite d’hommage aux 17 personnes tuées par trois djihadistes français. Dirigeants du monde entier, personnalités, partis, syndicats, groupes religieux juifs, chrétiens, musulmans, associations mais surtout simples citoyens constituent cette foule monstre. La place de la République, lieu de départ de la manifestation, était noire de monde au début de la marche qui a débuté vers 15 h, sous très forte surveillance policière. Des quatre coins de Paris convergeaient des dizaines de milliers de personnes, avec des métros complètement saturés et des bus à l’arrêt.
Des milliers de manifestants s’étaient amassés dans un vaste périmètre autour de la place, avec de nombreuses pancartes « Je suis Charlie ». « Charlie, Liberté ! », scandait la foule, où flottaient de nombreux drapeaux français vendus à la sauvette, mais aussi d’autres étrangers.
Des proches des membres de la rédaction du magazine Charlie Hebdo tués dans un attentat le 7 janvier 2015 ont défilé en tête de la marche républicaine organisée à Paris le 11 janvier 2015, entre les places de la République et de la Nation. Parmi eux se trouvait notamment l’urgentiste et chroniqueur à Charlie Hebdo, Patrick Pelloux.