Thousands of people gathered near the Place de la Bastille in Paris on November 28, 2020 during a demonstration to protest against the "global security" draft law, which Article 24 would criminalise the publication of images of on-duty police officers with the intent of harming their "physical or psychological integrity". Dozens of rallies are planned on November 28 against a new French law that would restrict sharing images of police, only days after the country was shaken by footage showing officers beating and racially abusing a black man.
Prise de vue: Samedi 28 novembre 2020, à 16 h 24. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/200 sec, f/4, ISO 1000, Compensation: -1. Flash: non
Extrait : 152 mots. Plus de 130.000 personnes, selon le ministère de l’Intérieur, 500.000 selon les organisateurs, ont défilé samedi 28 novembre 2020 dans une centaine de villes de France contre le texte de loi “sécurité globale” et les violences policières, des affrontements parfois violents émaillant certaines manifestations notamment à Paris. Le ministère de l’Intérieur a dénombré 133.000 manifestants dont 46.000 à Paris contre 22.000 la semaine passée dans tout l’Hexagone. La coordination StopLoiSécuritéGlobale qui rassemble syndicats de journalistes, confédérations syndicales et associations a dénombré quant à elle 500.000 manifestants en France, dont 200.000 à Paris. “Floutage de gueule”, “Qui nous protègera des féroces de l’ordre ?”, “Baissez vos armes on baissera nos caméras”: les manifestants ont sorti les pancartes et fait fleurir les slogans contre un texte jugé attentatoire à “la liberté d’expression” et à “l’État de droit” par ses opposants.
Most trains do not operate as shown on the display panel in Paris Gare Saint-Lazare during a strike of Paris public transports operator RATP and public railways company SNCF employees against French government's plan to overhaul the country's retirement system, as part of a national general strike in Paris on December 5, 2019.
Prise de vue: Jeudi 5 décembre 2019, à 8 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 1250, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 186 mots. La grève du jeudi 5 décembre 2019 contre la réforme des retraites a été particulièrement suivie, avec 806.000 manifestants à travers toute la France, selon les chiffres officiels. L’appel à la mobilisation, initialement lancé dans les transports, à la SNCF et à la RATP, a été relayé ces dernières semaines par de nombreuses catégories professionnelles, du public et du privé. Parmi les mobilisations massives, les autorités ont compté au moins 33.000 personnes à Toulouse, 25.000 à Marseille, 20.000 à Lyon, Montpellier et Bordeaux. Le départ de la manifestation parisienne, prévu à 14 heures de la gare du Nord pour rallier la place de la Nation, a été retardé en raison du grand nombre de personnes rassemblées en tête de cortège. Malgré tout, des incidents ont éclaté peu avant 16 heures. Une remorque de chantier a été retournée et incendiée, et plusieurs vitrines brisées non loin de la place de la République, où des manifestants sont restés bloqués environ trois heures. Les forces de l’ordre y ont essuyé des jets de projectile auxquels elles ont répliqué par des tirs de lacrymogène. Source
Protesters walk along the Seine river during a rally against medias in the French capital Paris, on the 24th consecutive Saturday of demonstrations called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) anti-government movement on April 27, 2019. Demonstrators are expected to protest on French city streets again for a 24th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." France's finance minister promised on April 26, 2019, that some 15 million households would benefit from tax cuts announced by President Emmanuel Macron, but the move did little to calm tempers among "yellow vest" protesters.
Prise de vue: Samedi 27 avril 2019, à 12 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -2/3. Flash: non
C’est l’un des chiffres les plus bas depuis le début du mouvement social en novembre 2018. Pour leur 24e journée de mobilisation, organisée samedi 27 avril, 48 heures après les annonces d’Emmanuel Macron en réponse à la crise sociale et quatre jours avant le défilé du 1er-Mai, 23 600 « gilets jaunes » ont manifesté dans toute la France, dont 2 600 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Les « gilets jaunes » ont pour leur part comptabilisé « 60 132 manifestants minimum », selon un décompte provisoire. La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées. Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social. Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale. Source : www.francetvinfo.fr
Protestor dressed in black sets fire to scooters on a street during the 'Act XXIII' demonstration (the 23th consecutive national protest on a Saturday) near Place de la Republique in Paris, France on April 20, 2019.
Prise de vue: Samedi 20 avril 2019, à 13 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont tenu ce samedi 20 avril leur 23e journée de mobilisation avec un défilé à Paris en forme de nouvel « ultimatum » lancé à Emmanuel Macron. Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation. La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet. Source : www.lefigaro.fr.
French anti-riot police officers face protesters as yellow vests (Gilets jaunes) gather on the Place de la Republique during the 'Act 22’ demonstration (the 22nd consecutive Saturday national protest) in Paris, France on April 13, 2019. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 13 avril 2019, à 15 h 06. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 250 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 160, Compensation: -1. Flash: non
Les Gilets jaunes se sont rassemblés partout en France ce samedi 13 avril pour leur 22e journée de mobilisation. Les Gilets jaunes craignaient un effet vacances sur la mobilisation. Il n’en a rien été. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, ils étaient 31 000 partout en France ce samedi dont 5 000 à Paris. Un chiffre en hausse par rapport à la semaine dernière où 22 300 personnes s’étaient rassemblées. De leurs côtés, les Gilets jaunes, qui contestent les chiffres officiels, estiment le nombre de participants à « 80 504 », selon la page Facebook de comptage, et évoquent « un petit regain de mobilisation » avant la date « exceptionnelle » du 20 avril.
A pensioner speaks with the press during a rally on April 11, 2019, in Paris, at the call of trade unions on the occasion of a nation-wide day of demonstrations to protest against cuts in their pensions due to government reforms.
Prise de vue: Jeudi 11 avril 2019, à 13 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/7.1, ISO 100, Compensation: -1. Flash: oui
Résumé : 144 mots. Les retraités battent le pavé. Venus protester contre le « vol » de leur pension ou « par solidarité », ils ne sont pas satisfaits de l’attention affichée du gouvernement pour les « retraités modestes ». Cette nouvelle journée de mobilisation des seniors, la septième depuis l’élection d’Emmanuel Macron, était organisée par neuf syndicats et associations de retraités remontés contre l’exécutif, « sourdingue », selon eux, à leurs revendications. À Paris, environ 2 700 personnes, selon la police, ont défilé sous le soleil. Les pensions n’ont augmenté que de 0,3 % en janvier, et « c’est honteux », a estimé Juan Velo, 71 ans, un retraité de l’industrie qui touche 2 500 euros par mois après 42 ans de travail. « Non seulement ils nous volent, mais en plus ils se moquent de nous ! » s’est exclamé le septuagénaire, qui se dit « Gilet jaune tous les samedis ». Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Protesters wearing a yellow vest gather in front of "La Grande Arche de la Defense" (The Great Arc of the Defense), west of Paris, on April 6, 2019 during a demonstration by the 'Yellow Vests' (gilets jaunes) movement on the 21st consecutive Saturday. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 6 avril 2019, à 16 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 171 mots. Pour leur 21e samedi de mobilisation contre la politique sociale et fiscale du gouvernement, les « gilets jaunes » ont enregistré le 6 avril 2019 la plus faible mobilisation depuis le début du mouvement, selon le ministère de l’Intérieur, à deux jours du compte-rendu du grand débat national. À Paris, le principal cortège, parti de la place de la République, a rallié l’esplanade du quartier d’affaires de la Défense, à l’ouest. Les manifestants venus dénoncer « l’art de l’optimisation fiscale » se sont rassemblés sur les marches de la Grande arche avant de se disperser, dans le calme, en fin d’après-midi. « C’est la fin du système capitaliste. Il est mort. Nous le célébrons », a commenté sur place le chanteur Francis Lalanne, vêtu d’un gilet jaune. En chemin, quelques manifestants avaient brièvement tenté de descendre sur le périphérique, avant d’être rapidement repoussés par les forces de l’ordre à l’aide de tirs de gaz lacrymogène.
Yellow Vest protesters gather in front of the Sacre Coeur Basilica in Montmartre, in Paris on March 23, 2019, during an anti-government demonstration called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) movement. Demonstrators hit French city streets again on March 23, for a 19th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 23 mars 2019, à 15 h 31. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1000 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
En ce 19e samedi de mobilisation des gilets jaunes, des milliers de personnes ont défilé dans les rues de Paris entre Denfert-Rochereau et Montmartre, le 23 mars 2019. Les autorités ont compté 5.000 manifestants, partis en début d’après-midi pour arriver un peu avant 16 heures au pied de l’édifice. Deux heures après la fin de cette manifestation, un cortège est reparti vers le centre de Paris. Pour les disperser, les forces de l’ordre ont tiré des grenades lacrymogènes, près du quartier de la République. Il y a eu également des feux de poubelles et une devanture de banque vandalisée.
Protesters take part in an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (gilets jaunes) movement, in the streets of Paris, on March 2, 2019. "Yellow Vest" protesters take to the streets for the 16th consecutive Saturday.
Prise de vue: Samedi 2 mars 2019, à 13 h 30. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 mars 2019 en petit nombre pour leur acte 16, émaillé de quelques heurts en régions, en se donnant rendez-vous dans les prochaines semaines pour marquer la fin du débat national controversé et les quatre mois de ce mouvement social inédit. À 14 h, le ministère de l’Intérieur comptabilisait 5.600 manifestants dans toute la France, dont 1.320 à Paris. La semaine dernière à la même heure, 11.600 personnes avaient été recensées, dont 4.000 dans la capitale. Les chiffres officiels sont régulièrement contestés par les « gilets jaunes ». Selon la préfecture de police de Paris, 17 personnes avaient été interpellées en fin d’après-midi. Le défilé parisien de 12 km parti de l’Arc de Triomphe, auquel participaient les figures Éric Drouet et Maxime Nicolle, s’est déroulé sans incident et s’est dispersé vers 18 h. Le cortège était pour la première fois encadré par des « gilets jaunes » faisant la sécurité à moto. Source : la-croix.com, voir l'article sur newsimages.
Demonstrators walk in the rue de Rivoli during a 'Day of strikes' called by the France's General Confederation of Labour (CGT) French worker's union in the French capital Paris on February 5, 2019.
Prise de vue: Mardi 5 février 2019, à 15 h 48. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 245 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 260 mots. Quelque 30.000 personnes, dont de nombreux « gilets jaunes », ont manifesté mardi à Paris pour l’augmentation du pouvoir d’achat et la justice fiscale à l’appel notamment de la CGT, selon le comptage de ce syndicat, la préfecture de police dénombrant de son côté 18.000 manifestants. Le cabinet Occurrence, mandaté par un collectif de médias dont l’AFP, a pour sa part comptabilisé 14.000 participants à ce défilé entre l’Hôtel-de-ville et la Concorde. Lors de sa dernière mobilisation dans la capitale, le 14 décembre, la CGT avait dénombré 15.000 manifestants dans la capitale. « Aujourd’hui c’est un succès qui en appelle d’autres », s’est réjoui le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, voyant dans la fermeture de la Tour Eiffel, dont les salariés ont répondu à l’appel à la grève du syndicat, le symbole « d’une journée de réussite ». « À part la couleur des gilets je ne vois pas beaucoup de différences », a ajouté le responsable syndical. En novembre pourtant, il avait refusé tout lien avec le mouvement des « gilets jaunes » à cause de son discours anti-fiscal et des risques de récupération par l’extrême droite. Il a révisé son discours lorsque les revendications des « gilets jaunes » se sont élargies à la hausse du Smic, la « justice fiscale » ou davantage de services publics. À côté de la CGT, appelaient également à manifester Solidaires, le NPA, le PCF, la France insoumise, Attac, des organisations de jeunesse comme l’Unef, l’UNL ou la Jeunesse ouvrière.
Source : www.europe1.fr, le lien à la fin de l'article complet.
A police vehicle sprays water cannon at protesters during an anti-government demonstration in Paris on January 26, 2019 called by the Yellow Vests "Gilets Jaunes" movement. 'Yellow vest' anti-government protesters have taken to the streets in France for the 11th consecutive Saturday on January 26, despite recent divisions in their ranks, and with a displayed tenacity facing an executive which is regaining popularity ten days after the opening of the "great national debate", the French president's bid to prove he will take on board the fierce criticism of "yellow vest" protesters who have upended his reform agenda.
Prise de vue: Samedi 26 janvier 2019, à 16 h 10. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/5, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
Ce samedi 26 janvier 2019, lors de l’acte 11 du mouvement des gilets jaunes, la mobilisation a été en baisse par rapport à la semaine passée. Au total, le ministère de l’Intérieur a recensé 69 000 manifestants partout en France, et 4 000 à Paris. La « Nuit jaune », voulue par Éric Drouet et déclaré en préfecture n’a finalement pas eu lieu. Après plusieurs heurts place de la République, les forces de l’ordre ont évacué les gilets jaunes, malgré l’autorisation de manifester jusqu’à 22 heures. Dans Paris, cinq manifestations différentes ont été déclarées. Autre fait marquant : Jérôme Rodrigues, un proche d’Éric Drouet, a été blessé à l’œil alors qu’il était sur la place de la Bastille. L’IGPN a été saisie pour en déterminer les causes.
Éric Drouet appelle à « un soulèvement sans précédent »
RÉSUMÉ : 217 mots. « La France en colère » déclare « l’état d’urgence du peuple ». Dans un communiqué publié ce samedi 26 janvier 2019 en fin de journée, le groupe créé par Éric Drouet, l’une des figures des gilets jaunes, réagit à la blessure d’une autre figure médiatique du mouvement, Jérôme Rodrigues, touché à l’œil plus tôt dans la journée, au moment même où il était en train de filmer le cortège parisien de « l’acte XI » en direct sur son compte Facebook. « Il ne peut donc pas s’agir d’une erreur », affirme le communiqué. Munition d’un lanceur de balles de défense, éclat de grenade ou autre projectile, l’origine de sa blessure était inconnue en fin de journée, a de son côté indiqué la préfecture de police de Paris. Le communiqué du groupe sous-entend par ailleurs que le ministre de l’Intérieur aurait laissé faire les casseurs pour ternir l’image du mouvement : « Monsieur Castaner, prenez vos responsabilités, nous ne jouons pas. Les Black block étaient présents et avaient annoncé leur présence ce samedi, vous les avez laissé prendre la tête de plusieurs cortèges en attendant naïvement qu’ils passent à l’action. L’inaction des pouvoirs publics est inacceptable ». Le groupe d’Éric Drouet appelle enfin à un regain de mobilisation « par tous les moyens utiles et nécessaire ».
Source : www.huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
LBD : le ministère n’oblige pas vraiment les policiers à filmer leurs tirs
RÉSUMÉ : 253 mots. Pour calmer l’émoi suscité par les blessures infligées à des manifestants, depuis le début du mouvement des gilets jaunes, par les lanceurs de balles de défense (LBD), le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a annoncé mardi 22 janvier 2019, devant la commission des lois de l’Assemblée nationale, que les forces de l’ordre enregistreraient désormais leurs tirs en vidéo. Et ce, dès « l’acte 11 » de la mobilisation prévu le samedi suivant. Sauf que RTL révèlait mercredi 23 janvier que le télégramme du ministère de l’Intérieur adressé en ce sens aux policiers leur explique que ces enregistrements… n’ont pas de valeur absolument contraignante. « Je mets comme seul réserve un moment de réaction où ils seraient bousculés, à terre, etc., où évidemment je ne leur en voudrais pas d’utiliser une arme de défense pour garantir leur propre défense », a précisé le patron de Beauvau. Seulement, le télégramme envoyé aux pandores, semble aller plus loin que cette objection puisque les consignes du ministère spécifient qu'« en aucun cas, l’absence d’enregistrement ne peut constituer un motif invalidant le recours aux lanceurs de balles de défense ». Le ministre de l’Intérieur a dénombré quatre pertes de vision – 15 selon Libération –, indiquant des tirs à la tête, contraires aux consignes d’emploi des LBD. Le 15 janvier, le directeur général de la police nationale, Eric Morvan, rappelait ainsi à ses troupes que « le tireur ne doit viser exclusivement que le torse ainsi que les membres supérieurs ou inférieurs ».
Source : www.marianne.net, lien à la fin de l'article complet.
Maxime Nicolle (C), one of the eight representatives of the yellow vest (Gilet jaune) protestor movement, reads a letter to the President Macron during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement for the eighth week in a row of nationwide protest against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice" in front of the Town Hall of Paris on January 5, 2019.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/7.1, ISO 2000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 125 mots. « Comprenez-vous que vous appelez à une véritable lutte des classes néfaste à l’unité et à la cohésion de la France ?! », s’est insurgé le 5 janvier Maxime Nicolle en s’adressant à Emmanuel Macron, sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris, pour l’acte 8 de la mobilisation des Gilets jaunes. « Les propos que vous tenez à l’ensemble du peuple de France sont de véritables appels à la révolte citoyenne voire à la guerre civile pour ceux qui n’ont plus rien », avertit-il par ailleurs, faisant certainement référence aux allocutions du président des 10 et 31 décembre. Peu avant, un autre Gilet jaune s’était emparé du mégaphone avant d’affirmer que le président était « bien en panique ».
(Source : francais.rt.com, lien dans l'article complet)
Demonstrators wearing a yellow vest walk by a burning trash container during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement for the eighth week in a row of nationwide protest against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice" on January 5, 2019 in Paris.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 135 mots. L’acte 8 des gilets jaunes marque une hausse de la mobilisation. 50 000 manifestants ont été recensés à travers le pays, contre 32 000 la semaine dernière au pic de la mobilisation. Après une matinée plutôt pacifiste, des heurts ont éclaté un peu partout en France et notamment à Paris, où la préfecture de police a recensé 3 500 gilets jaunes. Des incidents ont ensuite éclaté sur une passerelle reliant les deux rives de la Seine au niveau du Jardin des Tuileries. Des scooters et une voiture ont aussi été incendiés sur le boulevard Saint-Germain où des barricades de fortune ont été érigées. Autre évènement marquant du jour : Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement a dû être évacué de son bureau après l’intrusion de plusieurs individus au sein de ses locaux. (Source : linternaute.com, lien dans l'article complet)
Protesters are blocked by the anti-riot police in the Avenue des Champs Elysées with the Arc de Triomphe on the background during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement, to protest against the rising costs of living they blame on high taxes, in Paris, on December 29, 2018. The yellow vests (gilets jaunes) movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against President's policies and top-down style of governing.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/4, ISO 4000, Compensation: -1/3. Flash: non
EXTRAIT : 215 mots Après un « acte VI » qui a peu mobilisé et au milieu des fêtes de fin d’année, le septième week-end de mobilisation des gilets jaunes a démarré timidement ce samedi 29 décembre 2018 alors que des rassemblements étaient organisés à Paris, Marseille, Lyon, Metz, Rouen, Nantes, Toulouse ou encore Bordeaux. Environ 12.000 gilets jaunes ont été recensés, selon les informations de LCI. La préfecture de police de Paris a dénombré 800 manifestants dans la capitale, à 18 heures. Le mouvement, qui dure depuis un mois et demi, a largement décru ces dernières semaines. (…) Mais pour une grande partie du mouvement, cette baisse est due aux fêtes avant une reprise très forte en janvier. À Paris, des centaines de gilets jaunes se sont rassemblés à la mi-journée devant le siège de BFMTV pour dénoncer le traitement de leur mouvement par la chaîne d’information en continu. Certains manifestants ont lancé des projectiles. Ils se sont ensuite dirigés vers le siège de France télévisions. Les tensions se sont poursuivies l’après-midi dans le XVe arrondissement. Comme dans d’autres villes, les gilets jaunes avaient choisi de ne pas dévoiler à l’avance leur action pour surprendre les forces de l’ordre notamment. (…) En fin de journée, des tensions étaient signalées place du Trocadéro. (source : www.huffingtonpost.fr)
French policemen demonstrate on the Champs Elysées avenue on December 20, 2018 in Paris to the call of MPC (Mouvement of Angry Policemen) for the improvement of their working conditions. After more than one month monitoring Yellow Vest protests, French police officers who were already feeling overworked, say they have had enough. After several hours of negotiations between France's Interior Minister Christophe Castaner and France's three main police unions, an agreement was finally reached regarding officers' salaries. The French government has agreed to hike police wages and pay the 23 million hours in overtime they are owed after officers held talks with ministers after a day of protest to fight for better pay and working conditions.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: 135mm f/2L USM; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/100 sec, f/2, ISO 6400, Compensation: -5/3. Flash: non
EXTRAIT : 283 mots Alors que plusieurs syndicats de police ont déjà appelé les forces de l’ordre à une mobilisation nationale pour exprimer leur colère, le mouvement baptisé « les gyros bleus » prévoyait, lui, un rassemblement le jeudi 20 décembre 2018 à Paris. Le rendez-vous était donné à 21 h 30 devant le commissariat de police situé place Clemenceau, dans le 8e arrondissement de la capitale. Objectif : se faire entendre auprès du gouvernement et dénoncer le manque de reconnaissance des membres des forces de l’ordre, leur faible pouvoir d’achat et leurs « conditions de travail catastrophiques ». L’idée du rassemblement du 20 décembre est partie d’une page Facebook intitulée « le gyro bleu ». Apparue début décembre, celle-ci a été mystérieusement supprimée depuis du réseau social. Entre temps, une page « les gyros bleus » a été ouverte. Dans les faits, les policiers n’ont pas le droit de se mettre en grève. Ils sont autorisés à manifester et à s’exprimer, mais de façon très encadrée. Ils doivent suivre les mêmes règles que tout le monde : déclarer la manifestation auprès de la préfecture et préciser la date, l’heure, le parcours… Des impératifs ignorés par les « gyros bleus » à l’origine de l’appel du 20 décembre. D’autant que les sanctions sont parfois tranchées de manière opaque, jugent certains syndicats. Et il n’y a pas que les sanctions. (…) Après avoir fait parler d’eux, en 2016, avec des manifestations non autorisées de policiers, les responsables de l’association Mobilisation des policiers en colère ont ainsi été entendus à plusieurs reprises par l’IGPN, la police des polices. Guillaume Lebeau, par exemple, a été auditionné à trois reprises. Source.