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Protesters wearing a yellow vest gather in front of "La Grande Arche de la Defense" (The Great Arc of the Defense), west of Paris, on April 6, 2019 during a demonstration by the 'Yellow Vests' (gilets jaunes) movement on the 21st consecutive Saturday. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 6 avril 2019, à 16 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 171 mots. Pour leur 21e samedi de mobilisation contre la politique sociale et fiscale du gouvernement, les « gilets jaunes » ont enregistré le 6 avril 2019 la plus faible mobilisation depuis le début du mouvement, selon le ministère de l’Intérieur, à deux jours du compte-rendu du grand débat national. À Paris, le principal cortège, parti de la place de la République, a rallié l’esplanade du quartier d’affaires de la Défense, à l’ouest. Les manifestants venus dénoncer « l’art de l’optimisation fiscale » se sont rassemblés sur les marches de la Grande arche avant de se disperser, dans le calme, en fin d’après-midi. « C’est la fin du système capitaliste. Il est mort. Nous le célébrons », a commenté sur place le chanteur Francis Lalanne, vêtu d’un gilet jaune. En chemin, quelques manifestants avaient brièvement tenté de descendre sur le périphérique, avant d’être rapidement repoussés par les forces de l’ordre à l’aide de tirs de gaz lacrymogène.
Yellow Vest protesters gather in front of the Sacre Coeur Basilica in Montmartre, in Paris on March 23, 2019, during an anti-government demonstration called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) movement. Demonstrators hit French city streets again on March 23, for a 19th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 23 mars 2019, à 15 h 31. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1000 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
En ce 19e samedi de mobilisation des gilets jaunes, des milliers de personnes ont défilé dans les rues de Paris entre Denfert-Rochereau et Montmartre, le 23 mars 2019. Les autorités ont compté 5.000 manifestants, partis en début d’après-midi pour arriver un peu avant 16 heures au pied de l’édifice. Deux heures après la fin de cette manifestation, un cortège est reparti vers le centre de Paris. Pour les disperser, les forces de l’ordre ont tiré des grenades lacrymogènes, près du quartier de la République. Il y a eu également des feux de poubelles et une devanture de banque vandalisée.
Youth take part in a demonstration against climate change on March 15, 2019 near the Pantheon in Paris. The worldwide youth protests were inspired by a Swedish teen activist who camped out in front of parliament in Stockholm last year to demand action from world leaders on global warming.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 13 h 28. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 146 mots. Quelque 29.000 personnes, selon la préfecture de police, 40.000 selon le collectif Youth for Climate, organisateur, ont participé dans le calme vendredi à Paris à la marche des jeunes pour le climat. La tête du cortège est arrivée vers 15 h aux Invalides, le point final où, une heure après, les marcheurs continuaient d’affluer, a constaté une journaliste de l’AFP. La foule partie du Panthéon, en passant par Montparnasse, était composée d’étudiants mais aussi de lycéens et de bien plus jeunes venus avec leurs parents. Dans le cortège on repérait des scouts, des membres de syndicats étudiants, un panneau « gilets jaunes Paris 20e ». Des slogans anti-capitalistes fusaient entre les désormais classiques: « Et un, et deux, et trois degrés, c’est un crime contre l’humanité » ou « Rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Autres participants annoncés, des étudiants de l’École Polytechnique. (Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet).
Protesters take part in an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (gilets jaunes) movement, in the streets of Paris, on March 2, 2019. "Yellow Vest" protesters take to the streets for the 16th consecutive Saturday.
Prise de vue: Samedi 2 mars 2019, à 13 h 30. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 mars 2019 en petit nombre pour leur acte 16, émaillé de quelques heurts en régions, en se donnant rendez-vous dans les prochaines semaines pour marquer la fin du débat national controversé et les quatre mois de ce mouvement social inédit. À 14 h, le ministère de l’Intérieur comptabilisait 5.600 manifestants dans toute la France, dont 1.320 à Paris. La semaine dernière à la même heure, 11.600 personnes avaient été recensées, dont 4.000 dans la capitale. Les chiffres officiels sont régulièrement contestés par les « gilets jaunes ». Selon la préfecture de police de Paris, 17 personnes avaient été interpellées en fin d’après-midi. Le défilé parisien de 12 km parti de l’Arc de Triomphe, auquel participaient les figures Éric Drouet et Maxime Nicolle, s’est déroulé sans incident et s’est dispersé vers 18 h. Le cortège était pour la première fois encadré par des « gilets jaunes » faisant la sécurité à moto. Source : la-croix.com, voir l'article sur newsimages.
Protesters take part in a Yellow vest (gilets jaunes) anti-government demonstration on February 16, 2019 in Paris. Demonstrators hit French city streets again on February 16, for a 14th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." The new day of protests marks three months of "yellow vest" protests as a poll now suggests that most of the country wants them to stop.
Prise de vue: Samedi 16 février 209, à 14 h 26. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/9, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 234 mots. Pour les trois mois du mouvement « gilets jaunes », 41.500 personnes ont défilé ce samedi 16 février 2019 dans les rues de Paris et de plusieurs autres villes de France. Dès la fin de matinée, sous un beau ciel bleu et un soleil resplendissant, on a vu de nombreux manifestants à Paris descendre l’avenue des Champs-Élysées depuis le rond-point de l’Étoile, en direction de l’Assemblée nationale. Ils ont déambulé ensuite boulevard Saint-Michel avant de rejoindre le secteur des Invalides. Le rassemblement, placé sous haute surveillance des forces de l’ordre, se déroulait dans une ambiance bon enfant, malgré des sifflets, des fumigènes et des chants hostiles. En marge du cortège, certains « gilets jaunes » ont copieusement insulté et sifflé le philosophe Alain Finkielkraut présent boulevard du Montparnasse. Quelques miliers de « gilets jaunes » se sont ensuite massés sur l’esplanade des Invalides où des tensions ont éclaté en tête du cortège arrêté par les forces de l’ordre. Sur place, les manifestants ont lancé de nombreux projectiles sur les forces de l’ordre. Les militants ont tenté de rejoindre le pont Alexandre III également bloqué. Après environ une heure d’affrontements, l’esplanade des Invalides a été évacuée et la circulation rétablie. La préfecture de police de Paris a indiqué que 23 personnes ont été interpellées. En fin de journée, les « gilets jaunes » ont pris la direction des Champs-Elysées. Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.
Jerome Rodrigues (C), one of the leading figures of the "yellow vest" (gilets jaunes) movement, takes part in a march on February 2, 2019 in Paris, called to pacifically protest against police violence toward participants of the last three months demonstrations in France, as yellow vest protesters take to the streets for the 12th consecutive saturday today. Rodrigues claimed he was hit by a rubber bullet during clashes at the Bastille square on January 26, but the French junior
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 10 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 195 mots. En pleine polémique sur les lanceurs de balles de défense , plusieurs dizaines de milliers de « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 février 2019 à travers la France pour dénoncer les violences policières, lors d’un acte 12 de nouveau marqué par des heurts principalement à Paris et Bordeaux. Au lendemain de la décision du Conseil d’État de maintenir l’usage des LBD dans les manifestations, une « grande marche des blessés » s’est élancée vers midi à Paris deux mois et demi après le début de ce mouvement de contestation inédit. Parties du XIIe arrondissement, plusieurs milliers de personnes ont d’abord rallié dans le calme la place de la République en milieu d’après-midi derrière un kaléidoscope de visages tuméfiés et des banderoles réclamant « l’interdiction » des grenades et des LBD. Le cortège, dédié aux victimes de violences policières, a réservé un accueil de rock star au « gilet jaune » Jérôme Rodrigues, gravement blessé à l’œil droit le 26 février. « Ce sont des blessures qui mutilent, qui détruisent des vies alors que nous sommes des pacifistes », a affirmé Antonio, un des organisateurs de la marche, lui-même blessé par une grenade GLI-F4.
Plain clothes riot policemen tussle with a yellow vest protestor during an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (Gilets Jaunes) movement in Paris on February 2, 2019. France's "yellow vest" movement demonstrated against alleged police violence in rallies across the country, as nearly 60 lawyers denounced the treatment of protesters in the courts. The latest marches came a day after France's top court threw out a bid to ban weapons that shoot 40-millimeter rubber projectiles blamed for a number of serious injuries.
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 15 h 30. Appareil:Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 211 mots. Des échauffourées ont éclaté entre forces de l’ordre et « gilets jaunes » le 2 février 2019 à Paris, à la fin de la manifestation partie de la place Daumesnil. Trente trois manifestants ont été interpellés dans la capitale, selon la Préfecture de police, dont 21 personnes étaient à ce stade en garde à vue, a indiqué le parquet de Paris. L’un d’eux a été évacué par les pompiers après avoir été atteint au visage par un tir de lanceur de balles de défense. Louis Boyard, le président du syndicat lycéen UNL, a également affirmé sur Twitter avoir été victime d’un tir de LBD au pied. « Tout le pied semble cassé », écrit-il. « Si moins d’incidents sont à déplorer, je condamne fermement les dégradations et violences qui ont été commises », a tweeté en soirée Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur. Saisi d’une demande d’interdiction du LBD, le Conseil d’État avait estimé vendredi que le risque de violences rendait « nécessaire de permettre aux forces de l’ordre » de pouvoir y recourir. M. Castaner avait alors reconnu que cette arme – utilisée plus de 9.200 fois depuis le début de la contestation – pouvait « blesser » mais en a défendu l’utilisation « face aux émeutiers ».
Pensioners hold a banner during a rally on January 31, 2019, in Paris, as part of a nation-wide day of demonstrations to protest against cuts in their pensions due to government reforms.
Prise de vue: Jeudi 31 janvier2019, à 14 h 59. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 155 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4.5, ISO 200, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 255 mots. Le froid hivernal n’a pas découragé les retraités, bien au contraire. Ce jeudi 31 janvier 2019, nos aînés sont à nouveau descendus dans la rue pour une sixième journée d’action depuis septembre 2017 afin de défendre leur pouvoir d’achat. À l’appel de neuf syndicats et associations, les retraités se sont mobilisé partout en France pour réclamer en outre l’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités et une revalorisation de leurs pensions à la hauteur de l’inflation. À Paris, des milliers de retraités ont manifesté pacifiquement au départ de la place d’Italie et en direction du ministère des Finances à Bercy. Dans le cortège, les représentants syndicaux appelant à la démission du président Macron, et les retraités qui se présentent comme les grands oubliés de la politique des mesures fiscales du gouvernement. Comme la majorité des retraités présents place d’Italie à Paris, Agnès dénonce la politique fiscale du gouvernement, qu’elle qualifie de « cercle infernal » : « On prend à Paul pour donner à Jean. Mais au final, aucun citoyen n’est gagnant », s’exclame-t-elle. Dans le cortège, seuls quelques retraités gilets jaunes. « Cela fait neuf ans que je suis à la retraite, avant je pouvais mettre de côté quelques économies alors que maintenant j’ai même quelques restrictions sur mes dépenses alimentaires », s’inquiète Jacques, ancien salarié dans la restauration. Pour Yves, retraité depuis près de cinq ans, c’est le « droit à la retraite qui est remis en cause lentement, mais sûrement ».
Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.
People walk in a street of Paris on January 19, 2019 during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement in a row of nationwide protest for the tenth consecutive saturday against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 11:55:57. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 150 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800 sec, f/6.3, ISO 800, Compensation: -1/3. Flash: non
« Injustice fiscale, colère sociale » : des milliers de « gilets jaunes » manifestaient samedi 19 janvier 2019 pour leur dixième journée d’action, une mobilisation en léger recul et sans heurts majeurs, quelques jours après le lancement par Emmanuel Macron d’un « débat national » censé canaliser cette colère inédite. Le ministère de l’intérieur a recensé 84 000 manifestants en France en fin de journée, comme samedi dernier. Des chiffres qui sont habituellement critiqués par les « gilets jaunes », qui communiquent eux-mêmes leur comptage via plusieurs pages Facebook.
People wearing a yellow vest gather in front the Hotel national voice over Invalides in Paris on January 19, 2019 during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement in a row of nationwide protest for the tenth consecutive saturday against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 111h55m57. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 160, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 207 mots. A Paris, pour la première fois depuis le début du mouvement social il y a deux mois, la manifestation, qui a rassemblé 7 000 personnes le samedi 19 janvier 2019, s’est déroulée de manière classique, suivant un parcours pré-établi et sans débordements. Le défilé est parti de l’esplanade des Invalides vers midi. La manifestation a rallié la place d’Italie, dans l’est de Paris, avant de revenir aux Invalides. Un aller-retour de 15 kilomètres le long de la rive gauche, qui abrite de nombreux ministères et lieux de pouvoirs, et avait jusqu’ici échappé aux grands rassemblements. La traversée s’est effectuée dans le calme, mais une fois le cortège disloqué, les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène et de canon à eau contre les manifestants qui jetaient des bouteilles et pavés, dans le 7e arrondissement parisien. Les organisateurs avaient invité les participants à apporter «&;nbspune fleur ou une bougie en hommage » aux personnes tuées ou blessées « pour [leur] cause » depuis le début du mouvement le 17 novembre. Dix personnes sont mortes, pour la plupart lors d’accidents à des barrages, et plus de 2 000 ont été blessées, du côté des manifestants comme des forces de l’ordre.
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The face of a demonstrator is injured during a rally called by several French workers unions on October 9, 2018 in Paris as part of a nationwide day of demonstrations against French President Emmanuel Macron’s policies.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 210 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/5.6, ISO 800. Flash: non
Alors que lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, des heurts ont opposé les forces de l’ordre à une centaine de « black-blocs » positionnés en tête du cortège qui défilait à Paris entre Montparnasse et la place d’Italie. Des mouvements ayant entrainé notamment un blessé parmi les manifestants.
A man wearing a mask holds a placard which translates as "Roundup contains 40% of glyphosate, what is the remaining 60 % ? » during a gathering on September 12, 2018, in Paris for the inclusion of the prohibition of glyphosate in the law in France. The French parliament’s lower house, the National Assembly, has rejected moves to impose a deadline for phasing out the controversial chemical, which has been linked to cancer.
Des manifestants se sont donné rendez-vous Place Denfer-Rochereau, à Paris, le 12 septembre 2018 pour appeler le gouvernement à hâter l’inscription de l’interdiction du glyphosate dans la loi mais aussi appeler plus généralement à une réduction de l’utilisation des pesticides en général au nom de la biodiversité et des insectes pollinisateurs ainsi qu’exiger un meilleur soutien de l’agriculture biologique. Le cortège s’est ensuite déplacé jusqu’au ministère de la Transition Écologique et Solidaire où il devait être reçu par un conseiller du Ministre.
Riot police officers stand in front of a broken shop window and writings reading in French "legitimate or not, our anger in your face" during clashes on the sidelines of a demonstration on April 19, 2018 in Paris, as part of a multi branch day of protest called by French unions CGT and Solidaires against French President's policies amid a rail strike and spreading student sit-ins.
Le cortège du défilé du 19 avril 2018 s’est élancé à Paris vers 14 h 30 pour se diriger vers la place d’Italie. Mais vers 15 h 30, de premiers incidents, opposant de petits groupes aux CRS à hauteur de Port Royal, ont émaillé le défilé. Les forces de l’ordre ont dû faire usage de gaz lacrymogène pour disperser les fauteurs de troubles, obligeant pendant ce temps le cortège officiel à stopper sa progression par ailleurs plutôt bon enfant. Des vitrines ont été brisées ou taguées. Vers 16 h 30, de nouveaux débordements ont émaillé la manifestation. Là encore, des vitrines ont été brisées. Des casseurs s’en sont pris à l’entrée du très chic hôtel Marriott aux cris de « Anti-Anti-Anticapitalistes ».
French workers union CGT general secretary Philippe Martinez (center) takes part in a demonstration on April 19, 2018 in Paris, as part of a multi branch day of protest called by French unions CGT and Solidaires against French President’s reforms amid a rail strike and spreading student sit-ins in Paris, France on April 19, 2018.
La CGT voulait faire de ce 19 avril 2018 la journée de toutes les contestations. La CGT a appelé les différents secteurs à se réunir contre le gouvernement, comme les infirmiers ou les salariés de Carrefour, actuellement en pleine restructuration. Des étudiants ont également rejoint le cortège pour protester contre ce qu’ils considèrent être de la sélection à l’université. Quant aux retraités, c’est la mise en place d’un régime unique pour tout le monde qui les inquiète. Au total, 15 300 personnes protestaient aujourd’hui à Paris. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, espère une plus vaste mobilisation à l’avenir. Mais les syndicats sont déjà divisés pour le 1er mai. Force ouvrière et CFDT indiquent ce jeudi qu’ils ne seront pas au côté de la CGT pour la fête du Travail. Le front syndical reste à construire.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mercredi 20 décembre 2017, à 10 h 51. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/250 s, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 123 mots Plusieurs centaines de salariés de différentes enseignes ont manifesté mercredi 20 décembre 2017 à Paris pour demander le « retrait des ordonnances Macron » à l’appel de la CGT Commerce et services, qui juge la réforme du Code du travail « néfaste » pour des secteurs déjà « précaires ». Au son des sifflets et dans la fumée colorée de nombreux fumigènes, le cortège d’environ 300 à 400 manifestants s’est ébranlé en
fin de matinée de la place de l’Opéra en direction du ministère du Travail, où une délégation devait être reçue.
Castorama, Vivarte, Carrefour, Auchan, Conforama, Seris sécurité, Leroy-Merlin, Sodexo, Amazon : les représentants de différentes entreprises, venus d’un peu partout en France, ont défilé pour exprimer aussi leurs craintes sur l’emploi…
French General Confederation of Labour (CGT) unionists hold smoke canisters as they gather in front of Paris' Opera Garnier on December 20, 2017, to protest against French President's executive orders on Labour law and violence in the workplace.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Samedi 9 décembre 2017, à 12 h 23. Appareil: Canon EOS-1D Mark III, 1/1600 s, f/8, ISO 1000, flash: non. Objectif, focale: EF 400mm f/4 DO IS II USM +1.4x, 560 mm.
EXTRAIT Le cortège funéraire de Johnny Hallyday est arrivé samedi 9 décembre 2017 un peu avant midi place de l’Etoile à Paris, et a descendu les Champs-Élysées, salué par une foule de fans et suivi d’une escouade de motards venus dire adieu à la star.
Le cortège, applaudi sur son parcours par des milliers de personnes amassées, s’est rendu ensuite à l’église de la Madeleine…
The hearse transporting the coffin of late French singer Johnny Hallyday during a 'popular homage' drives down the Champs-Elysees avenue on December 9, 2017 in Paris. French music icon Johnny Hallyday died on December 6, 2017 aged 74 after a battle with lung cancer, plunging the country into mourning for a national treasure whose soft rock lit up the lives of three generations.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Jeudi 16 novembre 2017, à 16 h 59. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/4, ISO 12800, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III, 110 mm.
EXTRAIT Jeunes, déçus de la politique, activistes, nostalgiques : depuis le printemps 2016, ils se retrouvent dans le « cortège de tête » pour défiler hors du cadre des syndicats qu’ils jugent dépassés, mais ne sont aujourd’hui pas épargnés par les interrogations face à une mobilisation qui s’essouffle. Apparu au printemps 2016 à l’initiative des lycéens qui, après
leurs blocus matinaux, s’emparaient – avec l’accord tacite des syndicats – de la tête des manifestations contre la loi El Khomri, ce « cortège de tête » réunit, à Paris, Rennes, Nantes ou Toulouse, plusieurs milliers de personnes contestant un « système » allant de la loi travail aux violences policières…
Demonstrator of ultra-left writes on a wall 'Macron, lackey of capital' during a demonstration as part of a nationwide protest day against the government's economic and social reforms, on November 16, 2017 in Paris.