Protesters march from Nation towards Place de la Bastille during a rally against soaring living costs and climate inaction called by French left-wing coalition NUPES (New People's Ecologic and Social Union) in Paris on October 16, 2022.
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Des milliers de personnes ont défilé le dimanche 16 octobre 2022 après-midi à Paris, pour une « marche contre la vie chère et l’inaction climatique » organisée par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), avec le renfort d’associations et de certaines fédérations syndicales, espérant contribuer à l’ébullition sociale de l’automne. Ils étaient 140 000 manifestants selon les organisateurs, 30 000 selon les forces de l’ordre. Après des semaines de discussions, les principaux syndicats (CGT, FO, FSU…) avaient décidé de ne pas se joindre à la marche politique, par volonté d’indépendance et en raison de liens compliqués avec LFI depuis plusieurs années. Seules certaines fédérations comme la CGT-Commerce et la CGT-Energie Ile-de-France étaient de la partie.
Protesters clash with riot police officers during a demonstration in Paris, on January 11, 2020, as part of a nationwide multi-sector strike against the French government's pensions overhaul. The country has been hit by 37 days of crippling train and metro stoppages as unions battle the proposals, one of President Emmanuel Macron's signature reforms.
Prise de vue: Samedi 11 janvier 2020, à 15 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 210 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 3200, Compensation: -2/3. Flash: non
De nouvelles manifestations ont eu lieu en France ce samedi 11 janvier 2020. Selon le ministère de l’Intérieur, elles ont rassemblé 149 000 personnes alors qu’Edouard Philippe a annoncé le retrait provisoire de l’âge pivot dans la réforme. À Paris, le cortège s’est élancé peu après 14 heures de la place de la Nation en direction de celle de la République, cortège syndical en tête. Il avait été rejoint par plusieurs centaines de Gilets jaunes, partis en fin de matinée du pont François-Mitterrand, banderoles et couronnes de fleurs, en hommage au livreur, mort après avoir été interpellé par les forces de l’ordre, Cédric Chouviat. Peu après le lancement du cortège, dans lequel un black bloc avait pris place, de premiers incidents ont éclaté. Les manifestants, dont certains masqués ou cagoulés, ont brisé des vitrines sur le trajet et jeté des projectiles en direction des forces de l’ordre, qui ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène. Plusieurs magasins ont été saccagés sur le parcours. La situation était tendue sur la place où se terminait le cortège. Des heurts ont eu lieu entre les forces de l’ordre et les manifestants, dans le brouillard des gaz lacrymogènes. De petits incendies étaient visibles par-ci par là. Le nombre de blessés n’a pas été communiqué. Source.
Prise de vue: Samedi 16 novembre 2019, à 14 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 26 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 6400. Flash: non
Résumé : 248 mots. Le député de La France insoumise Alexis Corbière assure qu’il a été pris à partie en marge du « parcours déclaré » des Gilets jaunes à Bastille à Paris, samedi 16 novembre 2019, à l’occasion de « l’acte 53 » du mouvement. Dans une vidéo publiée avec son tweet, on peut voir le député très énervé reprocher aux policiers leur comportement. Selon lui, les CRS l’ont « d’abord bousculé », avant d’utiliser « du gaz lacrymo ». La vidéo, qui dure 23 secondes, s’arrête alors qu’un CRS demande à la personne en train de filmer de reculer. On ne voit pas les CRS s’en prendre à lui physiquement ou faire usage de gaz lacrymogène dans les images qui circulent (à l’exception de celles diffusées dans cet article – NDLR). Dans la foulée, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, lui a apporté son soutien à sa façon. « C’est cette milice qui provoque le désordre », a lancé sur Twitter l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Il va donc plus loin qu’Alexis Corbière en accusant les forces de l’ordre de l’avoir « frappé », alors que ce dernier n’en fait pas état dans son tweet initial. Samedi en fin d’après-midi, la préfecture de police n’avait pas répondu aux accusations d’Alexis Corbière et de Jean-Luc Mélenchon, alors que des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu tout l’après-midi place d’Italie à Paris. Source
Members of the "yellow vest" (gilets jaunes) movement block the traffic Porte de Champerret on Paris ring-road on November 16, 2019, to celebrate the first anniversary of the movement. French "yellow vest" protesters are planning a series of nationwide demonstrations this weekend in a bid to show the government they can still muster support on the first anniversary of their movement which began on November 17 last year with a giant Paris protest that drew almost 300,000 people.
Prise de vue: Samedi 16 novembre 2019, à 10 h 22. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 3200. Flash: non
Résumé : 190 mots. Comme l’impressionnant dispositif policier le laissait présager, le premier anniversaire du mouvement des Gilets jaunes, le 16 novembre 2019, a été marqué par des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre, notamment à Paris. Selon l’AFP, plusieurs manifestants ont été blessés – dont un journaliste -, et des pompiers empêchés d’intervenir. Le centre commercial d’Italie 2, sur la place d'Italie, avait fermé dès les premiers incidents. Vers 13 h, ses portes d’entrée et les vitrines d’une résidence hôtelière voisine ont été attaquées à coup de pavés par plusieurs dizaines de personnes cagoulées et vêtues de noir. « Au vu des violences et des exactions », la préfecture de police a demandé l’annulation de la manifestation qui devait s’élancer de cette place à partir de 14 h. Plusieurs dizaines de personnes ont également brièvement bloqué la circulation sur le périphérique parisien au niveau de la Porte de Champerret. Épicentre de plusieurs samedis violents, les Champs-Élysées, cadenassés et interdits à toute manifestation, ont été épargnés. Au total, 28.000 personnes ont manifesté ce samedi dont 4.700 à Paris, selon le ministère de l’Intérieur. Source
A man is arrested by French policemen during an anti-government demonstration called by the "yellow vest" (gilets jaunes) movement, on September 21, 2019 in Paris. In order not to be arrested by the police, the protesters had chosen this time not to wear a yellow vest. The yellow vest protests, which often descended into violent clashes with the police, erupted last November, with demonstrators accusing French President of being aloof and unaware of the needs of ordinary French people.
Prise de vue: Samedi 21 septembre 2019, à 8 h 21. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 33 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 2500, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 196 mots. Pour leur 45e samedi de mobilisation, ce 21 septembre 2019, les « gilets jaunes » se sont donné rendez-vous à Paris, où se déroulait également la marche pour le climat. Un exercice de maintien de l’ordre compliqué pour les autorités, déployées au nombre de 7 500 dans la capitale. Un dispositif identique à celui mis en place le 1er mai dernier. À 18 heures, on décomptait 163 interpellations et 395 verbalisations, rapportaient plusieurs médias, dont franceinfo. 90 personnes ont été placées en garde à vue. Quelque 15 200 manifestants ont été décomptés dans la capitale. Les appels au rassemblement des « gilets jaunes » sur Paris pour cet acte 45 de la mobilisation se sont multipliés sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Une autre manifestation, contre la réforme des retraites et menée par Force ouvrière, s’est également élancée dans le 7e arrondissement. La situation s’est quelque peu tendue en début d’après-midi sur les Champs-Élysées, où une centaine de manifestants ont été dispersés par des gaz lacrymogènes. Comme craint par les forces de l’ordre, des black blocs se sont infiltrés dans les cortèges, notamment en tête de la marche pour le climat. Source : www.valeursactuelles
Protesters walk along the Seine river during a rally against medias in the French capital Paris, on the 24th consecutive Saturday of demonstrations called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) anti-government movement on April 27, 2019. Demonstrators are expected to protest on French city streets again for a 24th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." France's finance minister promised on April 26, 2019, that some 15 million households would benefit from tax cuts announced by President Emmanuel Macron, but the move did little to calm tempers among "yellow vest" protesters.
Prise de vue: Samedi 27 avril 2019, à 12 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -2/3. Flash: non
C’est l’un des chiffres les plus bas depuis le début du mouvement social en novembre 2018. Pour leur 24e journée de mobilisation, organisée samedi 27 avril, 48 heures après les annonces d’Emmanuel Macron en réponse à la crise sociale et quatre jours avant le défilé du 1er-Mai, 23 600 « gilets jaunes » ont manifesté dans toute la France, dont 2 600 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Les « gilets jaunes » ont pour leur part comptabilisé « 60 132 manifestants minimum », selon un décompte provisoire. La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées. Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social. Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale. Source : www.francetvinfo.fr
Protestor dressed in black sets fire to scooters on a street during the 'Act XXIII' demonstration (the 23th consecutive national protest on a Saturday) near Place de la Republique in Paris, France on April 20, 2019.
Prise de vue: Samedi 20 avril 2019, à 13 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont tenu ce samedi 20 avril leur 23e journée de mobilisation avec un défilé à Paris en forme de nouvel « ultimatum » lancé à Emmanuel Macron. Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation. La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet. Source : www.lefigaro.fr.
French anti-riot police officers face protesters as yellow vests (Gilets jaunes) gather on the Place de la Republique during the 'Act 22’ demonstration (the 22nd consecutive Saturday national protest) in Paris, France on April 13, 2019. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 13 avril 2019, à 15 h 06. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 250 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 160, Compensation: -1. Flash: non
Les Gilets jaunes se sont rassemblés partout en France ce samedi 13 avril pour leur 22e journée de mobilisation. Les Gilets jaunes craignaient un effet vacances sur la mobilisation. Il n’en a rien été. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, ils étaient 31 000 partout en France ce samedi dont 5 000 à Paris. Un chiffre en hausse par rapport à la semaine dernière où 22 300 personnes s’étaient rassemblées. De leurs côtés, les Gilets jaunes, qui contestent les chiffres officiels, estiment le nombre de participants à « 80 504 », selon la page Facebook de comptage, et évoquent « un petit regain de mobilisation » avant la date « exceptionnelle » du 20 avril.
Protesters wearing a yellow vest gather in front of "La Grande Arche de la Defense" (The Great Arc of the Defense), west of Paris, on April 6, 2019 during a demonstration by the 'Yellow Vests' (gilets jaunes) movement on the 21st consecutive Saturday. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 6 avril 2019, à 16 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 171 mots. Pour leur 21e samedi de mobilisation contre la politique sociale et fiscale du gouvernement, les « gilets jaunes » ont enregistré le 6 avril 2019 la plus faible mobilisation depuis le début du mouvement, selon le ministère de l’Intérieur, à deux jours du compte-rendu du grand débat national. À Paris, le principal cortège, parti de la place de la République, a rallié l’esplanade du quartier d’affaires de la Défense, à l’ouest. Les manifestants venus dénoncer « l’art de l’optimisation fiscale » se sont rassemblés sur les marches de la Grande arche avant de se disperser, dans le calme, en fin d’après-midi. « C’est la fin du système capitaliste. Il est mort. Nous le célébrons », a commenté sur place le chanteur Francis Lalanne, vêtu d’un gilet jaune. En chemin, quelques manifestants avaient brièvement tenté de descendre sur le périphérique, avant d’être rapidement repoussés par les forces de l’ordre à l’aide de tirs de gaz lacrymogène.
Yellow Vest protesters gather in front of the Sacre Coeur Basilica in Montmartre, in Paris on March 23, 2019, during an anti-government demonstration called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) movement. Demonstrators hit French city streets again on March 23, for a 19th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 23 mars 2019, à 15 h 31. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1000 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
En ce 19e samedi de mobilisation des gilets jaunes, des milliers de personnes ont défilé dans les rues de Paris entre Denfert-Rochereau et Montmartre, le 23 mars 2019. Les autorités ont compté 5.000 manifestants, partis en début d’après-midi pour arriver un peu avant 16 heures au pied de l’édifice. Deux heures après la fin de cette manifestation, un cortège est reparti vers le centre de Paris. Pour les disperser, les forces de l’ordre ont tiré des grenades lacrymogènes, près du quartier de la République. Il y a eu également des feux de poubelles et une devanture de banque vandalisée.
French Junior Minister for Economy and Finance Agnes Pannier-Runacher (C) visits the stores near the Champs Elysées avenue to meet merchants whom activities or stores have been damaged during the "Yellow vests" protest of March 16, in Paris on March 20, 2019. On the shop-window, a graffiti against President Macron.
Prise de vue: Mercredi 20 mars 2019, à 10 h 34. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 29 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/6.3, ISO 1000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 198 mots. La secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances Agnès Pannier-Runacher a rencontré le mercredi 20 mars 2018 les commerçants des Champs-Élysées qui ont vécu les dégradations de samedi lors de la mobilisation des « gilets jaunes ». « J’ai pas mal d’employés qui ont un peu peur de venir, du coup je ferme tous les après-midis », confie une gérante de boulangerie à la secrétaire d’État. « Si on ferme l’après-midi, vu qu’on n’a plus les touristes, on a 1 500 euros en moins par semaine ». « On est fermé depuis lundi et on ne peut pas rouvrir », confie un garagiste. Il emmène Agnès Pannier-Runacher se rendre compte sur pièces. Il faut passer par derrière, traverser les caves de l’immeuble, du verre brisé jonche le sol. « Vous savez que vous pouvez bénéficier de chômage technique et d’un certain nombre de mesures ? », interroge la secrétaire d’État. « Il va falloir travailler sur l’animation du quartier, sur la réhabilitation de son image, redonner envie aux gens de venir le samedi sur les Champs-Élysées ». Source : www.francetvinfo.fr, lien à la fin de l'article complet.
French Finance and Economy Minister Bruno Le Maire (C) meets with representatives of professional organizations about the economic impact of the “yellow vests” movement on March 18, 2019 at Bercy [French Economy and Finance Ministry] in Paris. The French government is under pressure following the latest Saturday protest, when the police appeared overrun as protesters swarmed the Champs-Élysées area, vandalising and later setting fire to Fouquet's brasserie, a favourite hangout of the rich and famous for the past century – as well as luxury handbag store Longchamp. The French Finance Ministry estimates that the impact of the Yellow Vest protests overall could slice 0.2 percent off France's economic growth.
Prise de vue: Lundi 18 mars 2019, à 16 h 49. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 31 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 148 mots. Pour tenter de chiffrer le bilan économique des manifestations du mouvement des « Gilets jaunes » et trouver des solutions pour soulager les commerçants touchés par les dégradations, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire tenait lundi 18 mars 2019 à Bercy une réunion avec des organisations patronales, des représentants de commerçants et des assureurs. Poussés à bout par la répétition des manifestations parisiennes tous les samedis, les commerçants demandent désormais au gouvernement des mesures pour compenser la baisse de leur chiffre d’affaires et les dégradations des magasins. Après un mois de décembre compliqué, qui avait déjà conduit le gouvernement à leur apporter des mesures de soutien, les commerçants parisiens, notamment ceux des Champs-Élysées, pensaient sans doute que le plus dur était derrière eux. Mais samedi, des manifestants radicalisés, auxquels se sont mêlés des « black blocs », s’en sont violemment pris aux magasins de la célèbre avenue. (Source : www.europe1.fr, lien à la fin de l'article complet).
Protesters take part in an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (gilets jaunes) movement, in the streets of Paris, on March 2, 2019. "Yellow Vest" protesters take to the streets for the 16th consecutive Saturday.
Prise de vue: Samedi 2 mars 2019, à 13 h 30. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 mars 2019 en petit nombre pour leur acte 16, émaillé de quelques heurts en régions, en se donnant rendez-vous dans les prochaines semaines pour marquer la fin du débat national controversé et les quatre mois de ce mouvement social inédit. À 14 h, le ministère de l’Intérieur comptabilisait 5.600 manifestants dans toute la France, dont 1.320 à Paris. La semaine dernière à la même heure, 11.600 personnes avaient été recensées, dont 4.000 dans la capitale. Les chiffres officiels sont régulièrement contestés par les « gilets jaunes ». Selon la préfecture de police de Paris, 17 personnes avaient été interpellées en fin d’après-midi. Le défilé parisien de 12 km parti de l’Arc de Triomphe, auquel participaient les figures Éric Drouet et Maxime Nicolle, s’est déroulé sans incident et s’est dispersé vers 18 h. Le cortège était pour la première fois encadré par des « gilets jaunes » faisant la sécurité à moto. Source : la-croix.com, voir l'article sur newsimages.
People hold signs as they take part in a rally against antisemitism, at Republique square in Paris, on February 19, 2019. A flare-up of anti-Semitic acts culminated in a violent tirade against a prominent writer during "yellow vest" anti-government protests last weekend. 96 Jewish graves were also vandalised in the village of Quatzenheim, close to the border with Germany in the Alsace region on February 19, 2019, on the day of nationwide actions against a rise in anti-Semitic attacks.
Prise de vue: Mardi 19 février 2019, à 19 h 10. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 4000, Compensation: -5/3. Flash: non
Résumé : 323 mots. Des milliers de personnes ont commencé à affluer mardi 19 février 2019 au soir place de la République à Paris pour dire non à l’antisémitisme, à l’appel d’une cinquantaine de partis, associations, mouvements. Un périmètre de sécurité a été délimité par des barrières au centre de la place noire de monde, où les responsables politiques ont commencé à se presser vers 19 heures. Face à la recrudescence des actes antisémites, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, avait lancé la semaine dernière un appel d’abord signé par quatorze partis, rejoints depuis par de nombreuses autres organisations. La maire de Paris, Anne Hidalgo, le chef de file de Génération·s, Benoît Hamon, la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, des députés LREM et des représentants de la France insoumise ont notamment été aperçus. L’ancien président socialiste François Hollande, arrivé vers 19 h 30, a fait valoir que « l’antisémitisme, c’est un fléau, c’est une attaque contre la République ». « Nous devons ici, au-delà des sensibilités, des fonctions occupées, des responsabilités exercées, être là pour que les Français puissent être eux-mêmes là ». Le président de LR, Laurent Wauquiez, a pour sa part lancé : « Ça suffit les croix gammées, les insultes », dans une allusion à la profanation d’un cimetière juif mardi, en Alsace, et aux insultes proférées à l’encontre du philosophe Alain Finkielkraut samedi, en marge d’une manifestation de « Gilets jaunes ». « C’est un sursaut républicain mais cela ne peut pas suffire non plus. On a besoin d’actes, de vraies décisions. Avant de changer la loi, commençons déjà par l’appliquer ». « Derrière les actes antisémites, il y a la question de l’islamisme intégriste », a poursuivi Laurent Wauquiez. Ian Brossat, le chef de file du PCF pour les Européennes, est venu avec Lassana Bathily, le héros de l’Hyper Cacher parisien. Source ; https://www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Protesters take part in a Yellow vest (gilets jaunes) anti-government demonstration on February 16, 2019 in Paris. Demonstrators hit French city streets again on February 16, for a 14th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." The new day of protests marks three months of "yellow vest" protests as a poll now suggests that most of the country wants them to stop.
Prise de vue: Samedi 16 février 209, à 14 h 26. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/9, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 234 mots. Pour les trois mois du mouvement « gilets jaunes », 41.500 personnes ont défilé ce samedi 16 février 2019 dans les rues de Paris et de plusieurs autres villes de France. Dès la fin de matinée, sous un beau ciel bleu et un soleil resplendissant, on a vu de nombreux manifestants à Paris descendre l’avenue des Champs-Élysées depuis le rond-point de l’Étoile, en direction de l’Assemblée nationale. Ils ont déambulé ensuite boulevard Saint-Michel avant de rejoindre le secteur des Invalides. Le rassemblement, placé sous haute surveillance des forces de l’ordre, se déroulait dans une ambiance bon enfant, malgré des sifflets, des fumigènes et des chants hostiles. En marge du cortège, certains « gilets jaunes » ont copieusement insulté et sifflé le philosophe Alain Finkielkraut présent boulevard du Montparnasse. Quelques miliers de « gilets jaunes » se sont ensuite massés sur l’esplanade des Invalides où des tensions ont éclaté en tête du cortège arrêté par les forces de l’ordre. Sur place, les manifestants ont lancé de nombreux projectiles sur les forces de l’ordre. Les militants ont tenté de rejoindre le pont Alexandre III également bloqué. Après environ une heure d’affrontements, l’esplanade des Invalides a été évacuée et la circulation rétablie. La préfecture de police de Paris a indiqué que 23 personnes ont été interpellées. En fin de journée, les « gilets jaunes » ont pris la direction des Champs-Elysées. Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.