Thousands of people gathered near the Place de la Bastille in Paris on November 28, 2020 during a demonstration to protest against the "global security" draft law, which Article 24 would criminalise the publication of images of on-duty police officers with the intent of harming their "physical or psychological integrity". Dozens of rallies are planned on November 28 against a new French law that would restrict sharing images of police, only days after the country was shaken by footage showing officers beating and racially abusing a black man.
Prise de vue: Samedi 28 novembre 2020, à 16 h 24. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/200 sec, f/4, ISO 1000, Compensation: -1. Flash: non
Extrait : 152 mots. Plus de 130.000 personnes, selon le ministère de l’Intérieur, 500.000 selon les organisateurs, ont défilé samedi 28 novembre 2020 dans une centaine de villes de France contre le texte de loi “sécurité globale” et les violences policières, des affrontements parfois violents émaillant certaines manifestations notamment à Paris. Le ministère de l’Intérieur a dénombré 133.000 manifestants dont 46.000 à Paris contre 22.000 la semaine passée dans tout l’Hexagone. La coordination StopLoiSécuritéGlobale qui rassemble syndicats de journalistes, confédérations syndicales et associations a dénombré quant à elle 500.000 manifestants en France, dont 200.000 à Paris. “Floutage de gueule”, “Qui nous protègera des féroces de l’ordre ?”, “Baissez vos armes on baissera nos caméras”: les manifestants ont sorti les pancartes et fait fleurir les slogans contre un texte jugé attentatoire à “la liberté d’expression” et à “l’État de droit” par ses opposants.
People hold signs as they take part in a rally against antisemitism, at Republique square in Paris, on February 19, 2019. A flare-up of anti-Semitic acts culminated in a violent tirade against a prominent writer during "yellow vest" anti-government protests last weekend. 96 Jewish graves were also vandalised in the village of Quatzenheim, close to the border with Germany in the Alsace region on February 19, 2019, on the day of nationwide actions against a rise in anti-Semitic attacks.
Prise de vue: Mardi 19 février 2019, à 19 h 10. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 4000, Compensation: -5/3. Flash: non
Résumé : 323 mots. Des milliers de personnes ont commencé à affluer mardi 19 février 2019 au soir place de la République à Paris pour dire non à l’antisémitisme, à l’appel d’une cinquantaine de partis, associations, mouvements. Un périmètre de sécurité a été délimité par des barrières au centre de la place noire de monde, où les responsables politiques ont commencé à se presser vers 19 heures. Face à la recrudescence des actes antisémites, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, avait lancé la semaine dernière un appel d’abord signé par quatorze partis, rejoints depuis par de nombreuses autres organisations. La maire de Paris, Anne Hidalgo, le chef de file de Génération·s, Benoît Hamon, la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, des députés LREM et des représentants de la France insoumise ont notamment été aperçus. L’ancien président socialiste François Hollande, arrivé vers 19 h 30, a fait valoir que « l’antisémitisme, c’est un fléau, c’est une attaque contre la République ». « Nous devons ici, au-delà des sensibilités, des fonctions occupées, des responsabilités exercées, être là pour que les Français puissent être eux-mêmes là ». Le président de LR, Laurent Wauquiez, a pour sa part lancé : « Ça suffit les croix gammées, les insultes », dans une allusion à la profanation d’un cimetière juif mardi, en Alsace, et aux insultes proférées à l’encontre du philosophe Alain Finkielkraut samedi, en marge d’une manifestation de « Gilets jaunes ». « C’est un sursaut républicain mais cela ne peut pas suffire non plus. On a besoin d’actes, de vraies décisions. Avant de changer la loi, commençons déjà par l’appliquer ». « Derrière les actes antisémites, il y a la question de l’islamisme intégriste », a poursuivi Laurent Wauquiez. Ian Brossat, le chef de file du PCF pour les Européennes, est venu avec Lassana Bathily, le héros de l’Hyper Cacher parisien. Source ; https://www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
President of the Ile-de France regional council Valerie Pecresse (C, in red) visits the Salon des Entrepreneurs (Entrepreneurship fair) in Paris on February 6, 2019. Entrepreneurs' Fair Paris 2019 is a prominent and an international Fair related to different business services, one of the biggest entrepreneurship event in France. This event help the exhibitors to come together and showcase their most recent products and services along with increasing their visibility of the industry.
Prise de vue: Mercredi 6 février 2019, à 12 h 37. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 27 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/7.1, ISO 6400, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 182 mots. La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse était présente à l’ouverture de l’édition 2019 du Salon des entrepreneurs, au Palais des Congrès, porte Maillot, à Paris, le 6 février 2019. Elle vient d’exprimer quelques réserves après l’annonce par la ministre des Transports que le Charles de Gaulle Express, le projet de nouvelle ligne ferrée reliant l’aéroport Charles de Gaulle à la capitale, verrait bien le jour. Élisabeth Borne, la ministre des Transports, a assuré mercredi matin sur France Bleu Paris, que les travaux du CDG Express ne perturberaient pas le RER B. Des propos qui ne suffisent pas à rassurer totalement Valérie Pécresse, qui n’est pas convaincue de la capacité de SNCF Réseau de réaliser le projet CDG Express d’ici à 2024 sans dégrader les conditions de circulation des 1,6 millions de voyageurs de l’axe nord ». Le préfet de région, Michel Cadot, doit rendre un rapport fin mars ou début avril sur le planning des chantiers et des interruptions de trafic durant la période 2020-2023.
French Junior Minister for the Digital Sector attached to Finance Minister in charge of Public Action and Accounts Mounir Mahjoubi (C) visits the Salon des Entrepreneurs (Entrepreneurship fair) in Paris on February 6, 2019. Entrepreneurs' Fair Paris 2019 is a prominent and an international Fair related to different business services, one of the biggest entrepreneurship event in France. This event help the exhibitors to come together and showcase their most recent products and services along with increasing their visibility of the industry.
Prise de vue: Mercredi 6 février 2019, à 16 h 31. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/3.2, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 144 mots. Le secrétaire d’Etat chargé du numérique Mounir Mahjoubi a arpenté les stands de l’édition 2019 du Salon des entrepreneurs, au Palais des Congrès, porte Maillot, à Paris, le 6 février 2019. Alors que la désignation de Bilal Hassani pour représenter la France à l’Eurovision faisait le buzz, Mounir Mahjoubi, s’est indigné du « torrent d’insultes sur les réseaux sociaux » à l’égard du jeune chanteur androgyne. Le secrétaire d’État a donc décidé de réagir et a annoncé qu’il allait proposer une loi contre les contenus haineux en 2019. « Déjà plus de 1 500 tweets insultants, discriminants ou menaçants en raison de son orientation et/ou de son apparence », avait annoncé le collectif Urgence Homophobie, qui s’est associé à Stop Homophobie pour attaquer en justice « chaque personne qui a insulté, discriminé ou menacé » en ligne le jeune chanteur.
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Demonstration of sex workers Place de la République, in Paris, on September 22, 2018, in memory of Vanessa Campos, a Peruvian transgender woman and sex worker who was shot dead on the night of 16-17 August, 2018, in the Bois de Boulogne, a city park long known as a pick-up area for prostitutes. Her brutal murder sparked anger among sex workers and LGBT activists. Campaigners demanded greater protection for prostitutes and the repeal of a 2016 law which criminalised the purchase of sex in France, saying it forced prostitutes to work in more isolated locations to avoid police.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 100 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1,600 sec, f/2.8, ISO 320. Flash: non
Un hommage a été rendu le samedi 22 septembre 2018 place de la République, à Paris, à Vanesa Campos, 36 ans, tuée dans la nuit du 16 au 17 août dernier, en plein bois de Boulogne. Cette transgenre de 36 ans a été mortellement blessée au thorax, alors qu’elle tentait d’empêcher une dizaine de personnes de détrousser des victimes. Plus largement, les amis de la victime et associations ont manifesté pour dénoncer la « responsabilité politique » liée à l’adoption de la loi sur la prostitution en avril 2016. Selon eux, ce texte qui pénalise les clients oblige les professionnels du sexe à travailler de manière plus isolée et donc plus dangereuse.
Students protest against a project of selection for the admission in French universities, on April 10, 2018 in front of the Sorbonne university in Paris. The growing student protest movement has irked Macron’s government, which is also grappling with strikes by rail staff in the first major test to his pro-business resolve to reshape the French economy and loosen labour rules in the state sector.
Une dizaine de sites touchés par la mobilisation contre la réforme des règles d’accès à la fac, quatre universités entièrement bloquées, la manifestation de ce mardi 10 avril 2018 dans le quartier de la Sorbonne intervenait dans un contexte tendu. Destiné à protester contre la loi promulguée le 8 mars 2018 qui demande pour la première fois aux universités de classer les candidatures des bacheliers, le rassemblement a réuni plusieurs centaines d’étudiants mais également des enseignants et des cheminots.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mardi 14 novembre 2017, à 18 h 39. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/200 s, f/3.2, ISO 12800, Compensation: -1, flash: non. Objectif, focale: EF 24mm f/1.4L II USM, 24 mm.
EXTRAIT Trois associations de femmes appelaient à manifester le 14 novembre 2017 devant le ministère de la Justice, place Vendôme, à Paris, pour faire changer la loi à propos du consentement des mineurs à des actes sexuels. Intitulée : « Pédocriminel acquitté: tou.te.s place Vendôme pour manifester ! », cette manifestation était annoncée par le Collectif féministe contre le viol, le Collectif
droits des femmes et Osez le féminisme. En droit français, rien n’interdit de considérer que des enfants peuvent consentir à des relations sexuelles avec des adultes. Mais plusieurs décisions de justice récentes remettent la question de l’absence de présomption de non-consentement au cœur des débats…
A woman holds placards reading « The violence after the violence», « Sarah, 11 years old, raped» and « Disgusting patriarchal society» as she takes part in a demonstration in front of the French Justice Ministry, in Paris, on November 14, 2017 called by different feminists associations to protest against the acquittal for rape of a man who had sex with an 11 year old. Two court decisions involving 11-year-old girls have recently highlighted the shortcomings of French law that the government intends to tackle in 2018.
À quelques heures du premier tour des élections présidentielles, la guerre des affiches de campagne bat son plein dans la capitale, où les surfaces disponibles sont rares et suscitent une forte concurrence entre les différents partis. On les trouve donc sur les panneaux d’affichage public où elles sont parfaitement autorisées, mais surtout sur des espaces interdits à l’affichage publicitaire tels des pans de mur privés, des réverbères, des tableaux électriques, le mobilier urbain. À l’heure où la campagne est de plus en plus virtuelle, l’affichage des partis ne sert plus vraiment à informer. « C’est davantage une manière pour les militants de marquer leur territoire et d’indiquer à leurs adversaires leur puissance », estime la députée Catherine Troallic (PS). La loi interdit tout affichage à caractère électoral en dehors des panneaux, et les contrevenants s’exposent à des amendes. Le passage des militants de François Asselineau, placardant les voies de Charleville-Mézières tous azimuts, déclenche l’indignation de Salah Chaouchi, le Monsieur Propre de la ville. « Ce n’est pas parce qu’on est candidat qu’il faut souiller notre ville ! » Coût de l’amende pour le candidat Asselineau : 905 €.
« Nous appliquons le principe pollueur-payeur, sans distinction entre les partis» , précise l’élu. Même principe à Lille (Nord), où la mairie socialiste a décidé de faire payer les partis des candidats placardés sur ces affiches sauvages. A Montpellier, on croule aussi sous l’affichage sauvage ! « 8 000 affiches électorales ont déjà été retirées. Et 320 tags à caractère politique », explique-t-on à Montpellier Métropole. La capitale n’est pas épargnée par les candidats en mal de visibilité. Cependant, ils n’y sont pas poursuivis. Par « respect pour la vitalité démocratique », dit-on à la Ville. Paris appelle les partis à ne pas recouvrir le mobilier urbain, ni les palissades des chantiers, mais « ne peut pas être derrière chaque colleur ». Les services de la voirie sont davantage préoccupés par les marques qui polluent les rues. Un « fléau » pour certains quartiers, où les enseignes placardent les murs et taguent les trottoirs. Cet affichage sauvage équivaut à de vraies campagnes de publicité, effectuées à très bas coût pour les entreprises. Le budget annuel de nettoyage pour la capitale est de 145 000 € pour retirer ces campagnes éphémères, affichage politique compris.
Campaign posters are seen torn and covered up in the streets of Paris, France on April 22, 2017, the eve of the first round of the election.
Plusieurs dizaines de milliers d’opposants à la loi travail ont de nouveau manifesté samedi 9 avril 2016 dans les grandes de villes de France. Les défilés à Paris, Nantes et Rennes ont été émaillés d’incidents. À Paris, plusieurs milliers de personnes ont défilé l’après-midi de la place de la République à celle de la Nation, sous un ciel menaçant et dans une ambiance bon enfant malgré des incidents en fin de parcours, place de la Nation, opposant dans un face à face manifestants cagoulés et forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des gaz lacrymogènes et de nombreuses charges.
Masked protesters stand together during a demo on April 9, 2016 in Paris, against the French government's proposed labour law reforms.
Plusieurs dizaines de milliers d’opposants à la loi travail ont de nouveau manifesté samedi 9 avril 2019 en France, mais les défilés, organisés pour la première fois un week-end et pendant les vacances scolaires, émaillés d’incidents, ont nettement moins mobilisé que le 31 mars. L’intersyndicale (CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef, UNL, Fidl) avait appelé à plus de 200 manifestations et rassemblements partout en France contre ce projet qu’ils jugent trop libéral. Il s’agissait de la sixième journée d’action depuis le 9 mars, la troisième réunissant jeunes et travailleurs, mais aussi des retraités et des familles. Mais la « mobilisation importante » attendue était loin d’égaler celle de la précédente journée unitaire qui avait rassemblé le 31 mars entre 390.000 et 1,2 million de manifestants.
Demonstration against the law El Khomri. Young demonstrators raise their fists during a protest on April 9, 2016 in Paris, against the French government's proposed labour law reforms.
C’est à l’Equinoxe, dans le XVe arrondissement de Paris que La Manif pour tous avait choisi d’organiser son dernier meeting de campagne, samedi 28 novembre 2015. Sous le hashtag #QPPR, (Questions pour un président de région), les candidats à la présidence de la région étaient invités à expliquer leurs positions sur la famille. Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France, DLF), Valérie Pécresse (Les Républicains) et Wallerand de Saint-Just (Front national) ont répondu présents pour la région Ile-de-France, les autres candidats ayant décliné l’invitation. Face à ses adversaires du Front national et de Debout la France, Valérie Pécresse a pu faire valoir son expérience : quatre années au ministère de l’Enseignement supérieur et de nombreux engagements sur le thème du harcèlement, du mariage forcé ou de la maltraitance des enfants ont fait d’elle une candidate crédible pour défendre les droits de l’enfant. « Ma politique régionale sera une politique familiale », a-t-elle déclaré avant de présenter les principales mesures de son programme à destination des jeunes : égalité des subventions dans l’enseignement public et l’enseignement privé, « lycée sans drogue », renforcement du système d’orientation, facilités d’accès au stage en entreprise, gratuité du code de la route, rétablissement de la bourse au mérite. Et, par-dessus tout, son cheval de bataille: la lutte contre le gaspillage des financements octroyés aux associations n’ayant pas vocation à agir directement sur la région. Pas de subventions, donc, pour les organismes luttant pour « l’indifférenciation des sexes » et promouvant la théorie du genre. L’argument saura convaincre l’assemblée.
Ile-de-France opposition chief candidate Valérie Pécresse gives a speech during a political meeting with Manif pour tous group on November 28, 2015 in Paris.
Une centaine de maires ruraux ont fait part de leur opposition à la réforme territoriale en participant à un rassemblement devant le Conseil constitutionnel, samedi 18 avril 2015. Parmi leurs doléances figurait notamment une disposition phare de la loi NOTRe, qui impose aux communes de se regrouper en intercommunalités d’au moins 20.000 habitants. Durant ce rassemblement est intervenue Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique.
A hundred of rural mayors have expressed their opposition to the territorial reform by participating in a rally in front of the Constitutional Council, Saturday, April 18, 2015, with the presence of the Minister of Decentralization and Public Service
Sur le site de Michel Stoupak : l’article, sur demotix : l’album.
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Après des mois de « guérilla », l’heure de la grande confrontation a enfin sonné pour les opposants au projet de loi santé. Médecins, chirurgiens, pharmaciens, infirmiers, dentistes, étudiants en médecine, internes… Plusieurs dizaines de syndicats professionnels et d’organisations étudiantes médicales ont appelé à une manifestation, dimanche 15 mars 2015, à Paris, pour exprimer leur refus du texte de loi porté par la ministre de la santé, Marisol Touraine, deux jours avant son examen en commission des affaires sociales, à l’Assemblée nationale.
Thousands of medical professionals and students took to the streets in Paris on March 15, 2015 to protest against the government’s proposed health reforms. Debate relates to doing away with the current system of patients paying money upfronts.
C’est une loi de transition énergétique vidée de sa substance qui devrait être votée le mardi 3 mars 2015 au Sénat. Après dix jours de débat houleux dans une haute assemblée très conservatrice, les principales promesses du texte emblématique du quinquennat de François Hollande ont disparu. En particulier sur la question de la part du nucléaire. Fini l’objectif de réduction de la part du nucléaire de 75 à 50 % en 2025, l’échéance a disparu du texte. Les sénateurs ont même relevé le plafond fixé par l’Assemblée. Il imposait de fermer des réacteurs dès que l’EPR de Flamanville entrerait en service. Pour les sénateurs conservateurs, pas question non plus de consommer 20 % d’énergie en moins en 2030. Cela ne va pas avec le retour de la croissance qu’ils espèrent. De quoi mobiliser Force Ouvrière et la CGT Energie, qui s’étaient donné rendez-vous devant le Sénat, quelques heures avant le vote.
French trade unions FO and CGT in front of the Senate, in Paris, March 3, 2015. The French Senate is set to debate a bill that aims to cut the country's reliance on nuclear energy by 50 per cent before 2025, and drastically reduce greenhouse gas.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet.
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L’association « Résistance républicaine » a célébré l’anniversaire de la loi du 9 décembre 1905 en défilant entre la place Denfert-Rochereau et la place d’Italie, à Paris, le 8 décembre 2013. L’occasion pour l’association de confirmer son attachement à la laïcité et à la liberté de pratique religieuse uniquement en privé, tout en défendant les valeurs chrétiennes et en dénonçant sans ménagement l’islam radical. Conduits par Christine Tasin, présidente de l’association, les manifestants ont traversé les rues des 13e et 14e arrondissement derrière des banderoles sur lesquelles étaient inscrits « Pas touche à nos fêtes chrétiennes » et « De Jeanne d’Arc à Marianne ». Un programme de nature à attirer les foudres de certains habitants riverains qui ont ouvertement manifesté leur désaccord ainsi que d’un passant venu s’interposer aux manifestants et qui a été interpellé par les forces de l’ordre.
Environ 300 prostituées, dont beaucoup portaient un masque blanc ou rouge, ont manifesté le samedi 26 octobre 2013 place de Clichy, à Paris, contre une proposition de loi déposée par le groupe socialiste à l’Assemblée qui vise à sanctionner les clients. « On est putes, on est fières, le PS c’est la guerre », ont-elles répliqué. D’autres slogans et pancartes visaient la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, qui s’est déclarée favorable à des sanctions contre les clients de prostituées. Le texte prévoit la création d’une amende de 1.500 euros sanctionnant le recours à la prostitution, doublée en cas de récidive. « Vouloir abolir la prostitution, c’est vouloir abolir les putes. La pénalisation des clients est une mesure délétère » qui « mettra leur santé, leur sécurité et leur vie en danger », assurait un tract distribué par le Strass, le Syndicat du travail sexuel.