France's President Emmanuel Macron (C) visits the 59th edition of the Agriculture fair in Paris on February 25, 2023. The 2023 edition of the International Agriculture Fair takes place in Paris from February 25 till March 5, 2023.
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Le président de la République inaugurait ce 25 février l’édition 2023 du Salon annuel de l’agriculture. Interpellé par des militants écologistes, accablé par de nombreux reproches et hué par la foule, la journée d’Emmanuel Macron s’est déroulée sous haute tension. Présent pour l’inauguration de l’édition 2023 du Salon de l’agriculture, Emmanuel Macron a été interpellé à de multiples reprises sur les sujets qui font l’actualité : réforme des retraites, écologie, précarité énergétique, sécheresse… Le chef d’Etat a dû répondre aux nombreux reproches qui lui ont été adressés. Plusieurs militants ont interpellé le chef de l’Etat sur la question de l’inaction climatique. L’un d’entre eux, portant un t-shirt floqué de la mention “A quoi tu sers”, a fustigé Emmanuel Macron quant à son rôle dans ce combat contre le dérèglement climatique. Source.
Supporters react after the victory of French President and La Republique en Marche (LREM) party candidate for re-election Emmanuel Macron in France's presidential election, at the foot of the Eiffel Tower at the Champ de Mars, in Paris, on April 24, 2022.
Extrait, 143 mots. En 2017, pour fêter sa victoire, Emmanuel Macron avait choisi un lieu inédit et solennel, le Louvre, où la mise en scène de son arrivée constitua, à rebours de sa campagne, le premier acte d’une présidence verticale et jupitérienne. Le 24 avril 2022, le président réélu – une première sous la Ve République hors cohabitation – a choisi de retrouver ses soutiens sur le Champs de Mars, avec la Tour Eiffel en toile de fond, afin de délivrer un très attendu discours de victoire.
À l’annonce des résultats sur un écran géant à 20 heures, la foule qui brandissait des drapeaux tricolores et européens, a laissé éclater sa joie, plusieurs ministres tout sourire, dont Barbara Pompili, Elisabeth Borne, Eric Dupond-Moretti et Jean-Yves Le Drian, se laissant même aller à quelques pas de danse…
France's Prime Minister Jean Castex (C) and France's Agriculture Minister Julien Denormandie (CR) meet cattle farmers at the 58th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition centre in Paris, on February 26, 2022. The International Agricultural Show is the must-attend event for all those involved in the agricultural world.
Extrait : 168 mots. Le président de la République, Emmanuel Macron, accaparé par l’invasion russe en Ukraine, est tout de même venu inaugurer le samedi 26 février le Salon international de l’agriculture. Le président, qui n’est pas encore officiellement candidat, tenait à être aux côtés des agriculteurs pour leur adresser trois messages : il a remercié le monde agricole, « qui a tenu pendant la pandémie du Covid-19 »; il a ensuite vanté la souveraineté alimentaire, « l’ambition que nous devons avoir pour notre agriculture », ainsi que la loi EGalim. Avant de partir, il a prévenu des conséquences de la guerre en Ukraine pour le pays. « Ce que nous sommes en train de vivre ne sera pas sans conséquence pour le monde agricole ». (…) Emmanuel Macron a ensuite coupé le traditionnel ruban sous le regard de Neige, la vache égérie de l’événement. Puis le premier ministre, Jean Castex, a pris le relais, à partir de 9 heures, pour faire le tour du salon. suite => Source.
The cenotaph of Josephine Baker, covered with the French flag, followed by a female aviator of the Air Force and Space carrying the cushion on which are placed the five decorations of the American-born French dancer and singer who fought in the French Resistance and later battled racism, enters to the French Pantheon through the Great Door in Paris, during a ceremony that celebrates a life “placed under the sign of the quest of freedom and justice” on November 30, 2021. The icon of the Roaring Twenties, born in 1906 in the United States before adopting French nationality, will be only the sixth woman out of 80 illustrious figures to receive the honor of being welcomed into the Pantheon, a grandiose neoclassical building in the heart of Paris, whose pediment proclaims “To the great men, the grateful fatherland”.
Prise de vue: Mardi 30 novembre 2021, à 17 h 51. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/400 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -2. Flash: non
La Franco-Américaine Joséphine Baker est devenue mardi 30 novembre 2021 la première femme noire à entrer au Panthéon, « temple laïc de la République française », lors d’une cérémonie présidée par le président Emmanuel Macron qui célébrera une vie « placée sous le signe de la quête de liberté et de justice ». Le cénotaphe de Joséphine Baker, porté par des militaires de l’Armée de l’air, dont elle était devenue sous-lieutenant, est entré dans le Panthéon vers 18 h 30. Le cercueil, qui ne contient pas sa dépouille, restée dans le caveau familial, a d’abord remonté la rue Soufflot sur un immense tapis rouge, devant 8000 spectateurs selon l’Élysée.
French President Emmanuel Macron (C) visits the 57th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition center in Paris, France, on February 22, 2020.
Prise de vue: Samedi 22 février 2020, à 9 h 39. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 150 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitese, 1/125 sec, f/4, ISO 125, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 199 mots. L’enjeu était de taille pour Emmanuel Macron, à quelques semaines d’un scrutin décisif pour la majorité : à Paris, samedi 22 février, le président a inauguré le 57e Salon international de l’agriculture, au lendemain de l’échec de négociations européennes cruciales pour les agriculteurs. À peine arrivé sur place, vers 8 h 15, le chef de l’État avait été interpellé par des représentants de la FNSEA, syndicat agricole majoritaire, et des Jeunes Agriculteurs, qui lui ont dit attendre « des messages forts ». Peu après, lors de sa déambulation, Emmanuel Macron a déclaré : « Rien ne doit justifier des actions contre nos paysans, rien. Et je serai intraitable sur le sujet ». Un agriculteur l’a remercié de n’avoir « rien lâché hier soir » : Emmanuel Macron est revenu vendredi de Bruxelles, où se négociait le budget de l’Union européenne pour la période 2021-2027, sans accord sur le maintien de l’enveloppe de la politique agricole commune, dont il a fait sa priorité. « Nous n’avons pas sacrifié la politique agricole commune et je l’ai dit très clairement : ce n’est pas la PAC qui peut payer pour le Brexit », avait déclaré Emmanuel Macron à son départ du sommet. Source.
Protesters walk along the Seine river during a rally against medias in the French capital Paris, on the 24th consecutive Saturday of demonstrations called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) anti-government movement on April 27, 2019. Demonstrators are expected to protest on French city streets again for a 24th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." France's finance minister promised on April 26, 2019, that some 15 million households would benefit from tax cuts announced by President Emmanuel Macron, but the move did little to calm tempers among "yellow vest" protesters.
Prise de vue: Samedi 27 avril 2019, à 12 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -2/3. Flash: non
C’est l’un des chiffres les plus bas depuis le début du mouvement social en novembre 2018. Pour leur 24e journée de mobilisation, organisée samedi 27 avril, 48 heures après les annonces d’Emmanuel Macron en réponse à la crise sociale et quatre jours avant le défilé du 1er-Mai, 23 600 « gilets jaunes » ont manifesté dans toute la France, dont 2 600 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Les « gilets jaunes » ont pour leur part comptabilisé « 60 132 manifestants minimum », selon un décompte provisoire. La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées. Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social. Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale. Source : www.francetvinfo.fr
French Prime Minister Édouard Philippe (3L), flanked by co-presidents of the Coordination Council of Armenian organisations of France (CCAF), Mourad Franck Papazian (R) and Ara Toranian (L) and Mayor of Paris Anne Hidalgo (2L), attends a ceremony to commemorate the anniversary of the Armenian genocide, on April 24, 2019, Place du Canada in Paris. Troops from the Ottoman Empire -- which preceded modern-day Turkey -- were responsible for massacres and forced deportations of Armenians from 1915, but Turkey has always denied that the killings amounted to genocide. France was the first major European country to recognise the massacres as genocide in 2001 and French President Emmanuel Macron announced the national day of remembrance in February this year, saying that his country "knows how to look history in the face."
Prise de vue: Mercredi 24 avril 2019, à 18 h. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 222 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 400, Compensation: +1. Flash: non
Le premier ministre, Édouard Philippe, a défendu ce mercredi 24 avril 2019 la décision de la France de faire du 24 avril la journée de commémoration annuelle du génocide arménien de 1915, un sujet à la source de tensions diplomatiques avec la Turquie qui conteste le terme de « génocide ». « Plus d’un siècle après, regarder l’horreur en face est un préalable pour rendre justice », a dit le chef du gouvernement français lors d’une cérémonie à Paris. « Mener un travail de mémoire et d’histoire, courageux et rigoureux, est l’unique manière d’emprunter un chemin de résilience ». « En rendant hommage aux victimes du génocide arménien, la France est fidèle à elle-même, fidèle à ses valeurs, c’est son honneur que de l’assumer », a-t-il ajouté. « Elle ne se laissera impressionner par aucune pression ni par aucun mensonge. Ce que nous recherchons, c’est l’exactitude historique, et la réconciliation ». Selon Erevan, 1,5 million d’Arméniens ont été tués de manière systématique à la fin de l’Empire ottoman entre 1915 et 1917. La Turquie reconnaît qu’un grand nombre d’Arméniens ont été tués par les Turcs durant cette période mais conteste l’idée qu’il y ait eu une volonté systématique de les exterminer, rejetant de ce fait le terme de « génocide ». Le génocide arménien, qui est reconnu officiellement en France depuis 2001, est commémoré chaque année le 24 avril en Arménie et dans le Haut-Karabagh, région séparatiste d’Azerbaïdjan peuplée majoritairement d’Arméniens. Cette date, qui correspond à la rafle et la déportation de plusieurs centaines d’intellectuels arméniens le 24 avril 1915 à Constantinople, a été reprise par Emmanuel Macron qui a annoncé son intention début février dernier d’en faire la journée de commémoration annuelle du génocide, en France. Cette décision a suscité l’ire de la Turquie qui a prévenu, mi-avril que ce geste aurait « inévitablement un impact négatif » sur les relations entre Paris et Ankara. « En instaurant cette journée de commémoration, la France entend contribuer à faire reconnaître le génocide arménien comme un crime contre l’humanité, contre la civilisation », a souligné Édouard Philippe ce mercredi. « La position de la France est constante contre toutes les formes d’oubli, d’indifférence ou de négation qui sont au fond une nouvelle tentative d’anéantissement, car tout génocide porte avec lui, en lui, la tentative de nier le crime commis et d’en camoufler les traces ». Source : www.lefigaro.fr.
Protestor dressed in black sets fire to scooters on a street during the 'Act XXIII' demonstration (the 23th consecutive national protest on a Saturday) near Place de la Republique in Paris, France on April 20, 2019.
Prise de vue: Samedi 20 avril 2019, à 13 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont tenu ce samedi 20 avril leur 23e journée de mobilisation avec un défilé à Paris en forme de nouvel « ultimatum » lancé à Emmanuel Macron. Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation. La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet. Source : www.lefigaro.fr.
A pensioner speaks with the press during a rally on April 11, 2019, in Paris, at the call of trade unions on the occasion of a nation-wide day of demonstrations to protest against cuts in their pensions due to government reforms.
Prise de vue: Jeudi 11 avril 2019, à 13 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/7.1, ISO 100, Compensation: -1. Flash: oui
Résumé : 144 mots. Les retraités battent le pavé. Venus protester contre le « vol » de leur pension ou « par solidarité », ils ne sont pas satisfaits de l’attention affichée du gouvernement pour les « retraités modestes ». Cette nouvelle journée de mobilisation des seniors, la septième depuis l’élection d’Emmanuel Macron, était organisée par neuf syndicats et associations de retraités remontés contre l’exécutif, « sourdingue », selon eux, à leurs revendications. À Paris, environ 2 700 personnes, selon la police, ont défilé sous le soleil. Les pensions n’ont augmenté que de 0,3 % en janvier, et « c’est honteux », a estimé Juan Velo, 71 ans, un retraité de l’industrie qui touche 2 500 euros par mois après 42 ans de travail. « Non seulement ils nous volent, mais en plus ils se moquent de nous ! » s’est exclamé le septuagénaire, qui se dit « Gilet jaune tous les samedis ». Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Head of the list for the La Republique En Marche (LREM) party, former minister Nathalie Loiseau (C, in red), waves during the launch of the LREM campaign for upcoming European elections on March 30, 2019, in Aubervilliers, outside Paris. European elections will be held from May 22 to 26, 2019.
Prise de vue: Samedi 30 mars 2019, à 16 h 30. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 185 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 176 mots. « Pour les Français, pour les Européens, le compte n’y est pas » : Nathalie Loiseau, tête de la liste de la majorité pour les Européennes, a appelé l’Europe à prendre son envol, samedi 30 mars 2019, lors de son premier grand meeting à moins de deux mois du scrutin du 26 mai. Veste rouge, chemisier noir et lunettes écaillés, phrases courtes et parfois sèches, Nathalie Loiseau s’est d’abord attardée sur l’écologie, véritable fil rouge du meeting. « Mes enfants sont là. Je veux pouvoir leur dire que nous avons tout fait pour stopper cette course folle à la destruction de notre planète. Nous ne voulons plus que l’écologie se limite à un entre-soi militant, encore moins à une rente politique ». La tête de liste s’est autorisée des haussements de ton lorsqu’elle s’en est pris à ses adversaires. « Certains veulent revenir aux nationalismes, au temps du sang et de la haine. Ce qu’ils annoncent, c’est l’Europe en marche arrière. Ne les laissons pas gagner ! »
French prime minister Edouard Philippe (C), French National Assembly Richard Ferrand (L) and Leader of Mouvement Democrate (Democratic Movement - MoDem) Francois Bayrou (R) take part in the launch of the La Republique En Marche (LREM) party campaign for upcoming European elections on March 30, 2019, in Aubervilliers, outside Paris. European elections will be held from May 22 to 26, 2019.
Prise de vue: Samedi 30 mars 2019, à 16 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/2.8, ISO 2000, Compensation: -1. Flash: non
Si Emmanuel Macron n’a pas fait le déplacement, ses mots ont fait l’ouverture du premier grand meeting de LaREM, avec une vidéo d’extraits de grands discours européens, devant 3 000 sympathisants réunis aux Docks d’Aubervilliers, le 30 mars 2019, moins de deux mois du scrutin du 26 mai. Le Premier ministre, Édouard Philippe, était pour sa part bien présent. « On doit, sur les idées que nous portons, construire sur un rassemblement pour faire prévaloir une Europe forte, puissante par rapport à des acteurs internationaux qui nous regardent et qui parfois nous testent », a déclaré le chef du gouvernement lors de son arrivée. S’il n’a pas pris la parole durant le meeting, la salle l’a longuement salué, ainsi que plusieurs membres de son gouvernement.
French far-right Rassemblement National (RN) party president Marine le Pen (C) meets people as she visits the 2019 Agriculture fair on February 28, 2019 in Paris.
Prise de vue: Jeudi 28 février 2019, à 10 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 25 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/7.1, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 220 mots. En visite au Salon de l’Agriculture le samedi 23 février 2019, Emmanuel Macron avait plaidé pour une Europe qui retrouve sa « souveraineté alimentaire », en promettant une Politique agricole commune « réinventée » qui assure la « souveraineté alimentaire, environnementale et industrielle » de l’Europe. Marine Le Pen avait alors dénoncé des « mensonges éhontés ». Une accusation répétée ce jeudi lors de son passage au Salon de l’Agriculture. « Il en est où le plan Marshall de 5 milliards pour l’agriculture, et le plan Ambition bio ? Ça en est où toutes ces belles promesses ? », s’est-elle interrogée devant la presse. Avec Emmanuel Macron, « c’est le chaos et la baisse des aides de la PAC », a-t-elle insisté. « Emmanuel Macron va-t-il ‘Alstomiser’ l’agriculture française », a-t-elle interrogé. Alors que la France et l’Allemagne soutenaient la fusion du Français Alstom et de l’Allemand Siemens, Bruxelles a rejeté en ce début d’année cette union. Une décision qui avait réjoui la députée du Pas-de-Calais. Pour Marine Le Pen, une « Alstomisation » livrerait l’agriculture française aux « prédateurs » de toute sorte : les « prédateurs du bas », avec la loi EgAlim et la hausse des marges dans la grande distribution et les « prédateurs du haut », avec « les sommes faramineuses » versées à l’Union européenne. Source : boursorama.com, lien à la fin de l'article complet.
President of Les Republicains (LR) right-wing party and president of the Auvergne Rhône-Alpes region , Laurent Wauquiez (C), visits the 56th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition center in Paris, on February 26, 2019.
Prise de vue: Mardi 26 février 2019, à 13 h 05. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 400, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 178 mots. Laurent Wauquiez consacre deux journées au salon de l’agriculture où la région compte de très nombreux exposants. Il a inauguré lundi 25 février 2019 le village régional, la ferme auberge de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Il a aussi parcouru le pavillon 1 pour échanger notamment avec les éleveurs auvergnats. Mardi, il a rencontré les acteurs des filières de production et les représentants du monde agricole. Un monde qu’il estime malmené par le président de la République qui n’a pas, selon lui, défendu assez les agriculteurs à Bruxelles. Selon lui, « le gouvernement n’a pas défendu notre politique agricole et nos agriculteurs » à Bruxelles car ce n’est pas une « priorité » d’Emmanuel Macron. « Là, ce que fait le président, c’est pas correct. Parce qu’on sait tous qu’en ce moment le budget de la politique agricole risque d’être amputé de 10 à 15%. Donc ensuite, quand il vient sur le salon en disant « je défends la politique agricole », c’est faux. Quand il dit ça, il ment », a lancé M. Wauquiez. Source : france3-regions.francetvinfo.fr, lien à la fin de l'article complet.
French President Emmanuel Macron (C) looks at a bread stall as he visits the 56th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition center in Paris February 23, 2019. The International Agriculture Fair 'Salon International de l'agriculture' (SIA) at the Paris Expo Porte de Versailles runs from February 23 to March 3, 2019.
Prise de vue: Samedi 23 février 2019, à 10 h 30. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 1250, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 238 mots. Le passage obligé a été pris très au sérieux. Emmanuel Macron a passé près de quatorze heures trente au salon de l’Agriculture ce samedi 23 février 2019, soit près de deux heures de plus que l’an dernier, au milieu d’une foule de visiteurs et d’agriculteurs largement bienveillants. Arrivé à 8 h 47 à la porte de Versailles à Paris, le chef de l’État s’est employé à rassurer un monde agricole toujours inquiet en promettant une politique agricole commune « réinventée » qui assure la « souveraineté alimentaire, environnementale et industrielle » de l’Europe. Il en est reparti à 23 h 27. L’an dernier, le président était resté 12 h 30 au salon. Il avait alors battu le précédent record détenu par François Hollande, qui y était resté douze heures lors de la campagne présidentielle de 2012. L’année suivante, en 2013, François Hollande avait encore passé dix heures dans les allées du salon de l’agriculture. Le président socialiste avait explosé les records de ses prédécesseurs. En 2012, en campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy y avait par exemple passé quatre heures. Jacques Chirac, qui ne manquait pas une édition du salon, pouvait y passer huit heures. À trois mois des élections européennes et en pleine renégociation de la PAC, c’était l’occasion pour Emmanuel Macron de faire partager sa vision d’une politique qui protège les agriculteurs comme les consommateurs des grandes puissances agricoles mondiales, Chine, Russie et États-Unis. Source : huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
French Finance and Economy Minister Bruno Le Maire (C) is speaking during a conference at the Salon des Entrepreneurs (Entrepreneurship fair) in Paris on February 7, 2019. Entrepreneurs' Fair Paris 2019 is a prominent and an international Fair related to different business services, one of the biggest entrepreneurship event in France. This event help the exhibitors to come together and showcase their most recent products and services along with increasing their visibility of the industry.
Prise de vue: Jeudi 7 février 2019, à 11 h 06. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 55 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 1600, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 108 mots. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a déclaré jeudi 7 février 2019 vouloir la « transparence totale » après des révélations sur la convention de mécénat de Renault avec le château de Versailles, qui aurait pu bénéficier personnellement à son ex-PDG Carlos Ghosn pour l’organisation de son mariage. « L’audit sur Renault a commencé, il commence à donner des résultats, je l’ai commandé personnellement », a-t-il dit. Le constructeur français a annoncé jeudi avoir découvert qu’une contrepartie de 50.000 euros, dans le cadre de sa convention de mécénat avec le château de Versailles, avait été affectée au bénéfice personnel de Carlos Ghosn.
Jordan Bardella (C), French far-right Rassemblement National (RN) party front runner candiJeudi 7 février 2019 for the upcoming European election visits the Salon des Entrepreneurs (Entrepreneurship fair) in Paris on February 7, 2019. Entrepreneurs' Fair Paris 2019 is a prominent and an international Fair related to different business services, one of the biggest entrepreneurship event in France. This event help the exhibitors to come together and showcase their most recent products and services along with increasing their visibility of the industry.
Prise de vue: Jeudi 7 février 2019, à 14 h 45. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 28 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/5.6, ISO 10000, Compensation: -8/3. Flash: non
Résumé : 107 mots. Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national pour les élections européennes, s'est exprimé, en marge d’une visite au Salon des entrepreneurs, après le rappel par la France de son ambassadeur en Italie. « Depuis l’élection de Matteo Salvini et de la Ligue, Emmanuel Macron s’est comporté en insulteur public numéro un, lorsqu’il a parlé de lèpre nationaliste et qu’il a pris à partie régulièrement nos amis du gouvernement italien qui ont été élus de manière démocratique », a affirmé le jeune candidat, âgé de 23 ans, dont c’était la première sortie publique de campagne sans la présidente du RN, Marine Le Pen.
French ruling party La Republique en Marche (LREM) newly elected leader Stanislas Guerini (C) speaks during a conférence of LREM in Paris, on December 24, 2019. The LREM founded by French President Emmanuel Macron has elected Stanislas Guerini as its new leader on December 01, 2018. Stanislas Guerini is 36-years-old, an MP from Paris, and is said to be close to the head of state. Guerini’s first task will be to remobilize the electorate with a view to European elections due in May.
Prise de vue: Jeudi 24 janvier 2019, à 11 h 24. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 100 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/3.2, ISO 400, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 194 mots. En présentant jeudi 24 janvier 2019 sa nouvelle équipe, le délégué général de La République en Marche, Stanislas Guérini, espère redonner de la voix au parti présidentiel, dans l’ornière depuis les succès-éclair de l’année 2017. « Il s’agit d’élargir massivement les fonctions opérationnelles », explique un cadre du mouvement, qui y voit une chance de « refaire de la politique » et de « faire vivre un débat qui n’existe pas » ailleurs dans le camp macroniste. La nouvelle équipe devrait recevoir le concours de parlementaires, et de ministres tels que Marlène Schiappa et Sébastien Lecornu. De quoi relever un parti apathique depuis dix-huit mois ? LREM, qui fêtera début avril son troisième anniversaire, peut certes être considéré comme l’une des entreprises politiques les plus fructueuses de la Ve République : son fondateur a remporté la présidentielle dès sa première tentative, et le mouvement est devenu majoritaire à l’Assemblée, un résultat lui assurant un généreux financement public. « LREM peut devenir un espace de régulation au sein du mouvement », veut croire un député. Programme ambitieux pour un parti qui devra d’abord prouver, aux européennes de mai, qu’il reste une machine électorale performante.
Source : www.liberation.fr (Dominique Albertini), lien à la fin de l'article complet.