Protesters walk along the Seine river during a rally against medias in the French capital Paris, on the 24th consecutive Saturday of demonstrations called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) anti-government movement on April 27, 2019. Demonstrators are expected to protest on French city streets again for a 24th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." France's finance minister promised on April 26, 2019, that some 15 million households would benefit from tax cuts announced by President Emmanuel Macron, but the move did little to calm tempers among "yellow vest" protesters.
Prise de vue: Samedi 27 avril 2019, à 12 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -2/3. Flash: non
C’est l’un des chiffres les plus bas depuis le début du mouvement social en novembre 2018. Pour leur 24e journée de mobilisation, organisée samedi 27 avril, 48 heures après les annonces d’Emmanuel Macron en réponse à la crise sociale et quatre jours avant le défilé du 1er-Mai, 23 600 « gilets jaunes » ont manifesté dans toute la France, dont 2 600 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Les « gilets jaunes » ont pour leur part comptabilisé « 60 132 manifestants minimum », selon un décompte provisoire. La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées. Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social. Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale. Source : www.francetvinfo.fr
A pensioner speaks with the press during a rally on April 11, 2019, in Paris, at the call of trade unions on the occasion of a nation-wide day of demonstrations to protest against cuts in their pensions due to government reforms.
Prise de vue: Jeudi 11 avril 2019, à 13 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/7.1, ISO 100, Compensation: -1. Flash: oui
Résumé : 144 mots. Les retraités battent le pavé. Venus protester contre le « vol » de leur pension ou « par solidarité », ils ne sont pas satisfaits de l’attention affichée du gouvernement pour les « retraités modestes ». Cette nouvelle journée de mobilisation des seniors, la septième depuis l’élection d’Emmanuel Macron, était organisée par neuf syndicats et associations de retraités remontés contre l’exécutif, « sourdingue », selon eux, à leurs revendications. À Paris, environ 2 700 personnes, selon la police, ont défilé sous le soleil. Les pensions n’ont augmenté que de 0,3 % en janvier, et « c’est honteux », a estimé Juan Velo, 71 ans, un retraité de l’industrie qui touche 2 500 euros par mois après 42 ans de travail. « Non seulement ils nous volent, mais en plus ils se moquent de nous ! » s’est exclamé le septuagénaire, qui se dit « Gilet jaune tous les samedis ». Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Head of the list for the La Republique En Marche (LREM) party, former minister Nathalie Loiseau (C, in red), waves during the launch of the LREM campaign for upcoming European elections on March 30, 2019, in Aubervilliers, outside Paris. European elections will be held from May 22 to 26, 2019.
Prise de vue: Samedi 30 mars 2019, à 16 h 30. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 185 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 176 mots. « Pour les Français, pour les Européens, le compte n’y est pas » : Nathalie Loiseau, tête de la liste de la majorité pour les Européennes, a appelé l’Europe à prendre son envol, samedi 30 mars 2019, lors de son premier grand meeting à moins de deux mois du scrutin du 26 mai. Veste rouge, chemisier noir et lunettes écaillés, phrases courtes et parfois sèches, Nathalie Loiseau s’est d’abord attardée sur l’écologie, véritable fil rouge du meeting. « Mes enfants sont là. Je veux pouvoir leur dire que nous avons tout fait pour stopper cette course folle à la destruction de notre planète. Nous ne voulons plus que l’écologie se limite à un entre-soi militant, encore moins à une rente politique ». La tête de liste s’est autorisée des haussements de ton lorsqu’elle s’en est pris à ses adversaires. « Certains veulent revenir aux nationalismes, au temps du sang et de la haine. Ce qu’ils annoncent, c’est l’Europe en marche arrière. Ne les laissons pas gagner ! »
French prime minister Edouard Philippe (C), French National Assembly Richard Ferrand (L) and Leader of Mouvement Democrate (Democratic Movement - MoDem) Francois Bayrou (R) take part in the launch of the La Republique En Marche (LREM) party campaign for upcoming European elections on March 30, 2019, in Aubervilliers, outside Paris. European elections will be held from May 22 to 26, 2019.
Prise de vue: Samedi 30 mars 2019, à 16 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/2.8, ISO 2000, Compensation: -1. Flash: non
Si Emmanuel Macron n’a pas fait le déplacement, ses mots ont fait l’ouverture du premier grand meeting de LaREM, avec une vidéo d’extraits de grands discours européens, devant 3 000 sympathisants réunis aux Docks d’Aubervilliers, le 30 mars 2019, moins de deux mois du scrutin du 26 mai. Le Premier ministre, Édouard Philippe, était pour sa part bien présent. « On doit, sur les idées que nous portons, construire sur un rassemblement pour faire prévaloir une Europe forte, puissante par rapport à des acteurs internationaux qui nous regardent et qui parfois nous testent », a déclaré le chef du gouvernement lors de son arrivée. S’il n’a pas pris la parole durant le meeting, la salle l’a longuement salué, ainsi que plusieurs membres de son gouvernement.
At the call of several civil servants' workers' unions including the CGT, FSU, UNSA CFTC, people demonstrated on March 27, 2019 in Paris to protest a bill to reform the public service sector. President Emmanuel Macron’s government has launched what it called a “profound modernisation” of France’s 5.5m-strong civil service, a cost-cutting reform that envisages the loss of 120,000 jobs over the next three years.
Prise de vue: Mercredi 27 mars 2019, à 12 h 42. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 160 mots Le projet de loi sur la fonction publique franchit une étape décisive avec sa présentation en Conseil des ministres ce mercredi 27 mars 2019, jour choisi pour des rassemblements partout en France contre une réforme rejetée par l’ensemble des syndicats de fonctionnaires. Il est rejeté par les neuf syndicats, qui accusent le gouvernement de vouloir une fonction publique alignée sur les règles du secteur privé, au détriment du statut de fonctionnaire et de l’indépendance des agents à l’égard du pouvoir. Des rassemblements sont prévus devant les préfectures mercredi, après la présentation dans la matinée du projet de loi en Conseil des ministres. Ces actions sont le prélude à une mobilisation unitaire afin « d’informer, de sensibiliser et de faire monter le rapport de force contre ce projet de loi » mais aussi de « défendre la qualité du service public », selon Jean-Marc Canon, de la CGT, pour qui « les possibilités de dialogue social avec le gouvernement sont épuisées ».
French Junior Minister for Economy and Finance Agnes Pannier-Runacher (C) visits the stores near the Champs Elysées avenue to meet merchants whom activities or stores have been damaged during the "Yellow vests" protest of March 16, in Paris on March 20, 2019. On the shop-window, a graffiti against President Macron.
Prise de vue: Mercredi 20 mars 2019, à 10 h 34. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 29 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/6.3, ISO 1000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 198 mots. La secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances Agnès Pannier-Runacher a rencontré le mercredi 20 mars 2018 les commerçants des Champs-Élysées qui ont vécu les dégradations de samedi lors de la mobilisation des « gilets jaunes ». « J’ai pas mal d’employés qui ont un peu peur de venir, du coup je ferme tous les après-midis », confie une gérante de boulangerie à la secrétaire d’État. « Si on ferme l’après-midi, vu qu’on n’a plus les touristes, on a 1 500 euros en moins par semaine ». « On est fermé depuis lundi et on ne peut pas rouvrir », confie un garagiste. Il emmène Agnès Pannier-Runacher se rendre compte sur pièces. Il faut passer par derrière, traverser les caves de l’immeuble, du verre brisé jonche le sol. « Vous savez que vous pouvez bénéficier de chômage technique et d’un certain nombre de mesures ? », interroge la secrétaire d’État. « Il va falloir travailler sur l’animation du quartier, sur la réhabilitation de son image, redonner envie aux gens de venir le samedi sur les Champs-Élysées ». Source : www.francetvinfo.fr, lien à la fin de l'article complet.
French Finance and Economy Minister Bruno Le Maire (C) meets with representatives of professional organizations about the economic impact of the “yellow vests” movement on March 18, 2019 at Bercy [French Economy and Finance Ministry] in Paris. The French government is under pressure following the latest Saturday protest, when the police appeared overrun as protesters swarmed the Champs-Élysées area, vandalising and later setting fire to Fouquet's brasserie, a favourite hangout of the rich and famous for the past century – as well as luxury handbag store Longchamp. The French Finance Ministry estimates that the impact of the Yellow Vest protests overall could slice 0.2 percent off France's economic growth.
Prise de vue: Lundi 18 mars 2019, à 16 h 49. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 31 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 148 mots. Pour tenter de chiffrer le bilan économique des manifestations du mouvement des « Gilets jaunes » et trouver des solutions pour soulager les commerçants touchés par les dégradations, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire tenait lundi 18 mars 2019 à Bercy une réunion avec des organisations patronales, des représentants de commerçants et des assureurs. Poussés à bout par la répétition des manifestations parisiennes tous les samedis, les commerçants demandent désormais au gouvernement des mesures pour compenser la baisse de leur chiffre d’affaires et les dégradations des magasins. Après un mois de décembre compliqué, qui avait déjà conduit le gouvernement à leur apporter des mesures de soutien, les commerçants parisiens, notamment ceux des Champs-Élysées, pensaient sans doute que le plus dur était derrière eux. Mais samedi, des manifestants radicalisés, auxquels se sont mêlés des « black blocs », s’en sont violemment pris aux magasins de la célèbre avenue. (Source : www.europe1.fr, lien à la fin de l'article complet).
President of Les Republicains (LR) right-wing party and president of the Auvergne Rhône-Alpes region , Laurent Wauquiez (C), visits the 56th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition center in Paris, on February 26, 2019.
Prise de vue: Mardi 26 février 2019, à 13 h 05. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 400, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 178 mots. Laurent Wauquiez consacre deux journées au salon de l’agriculture où la région compte de très nombreux exposants. Il a inauguré lundi 25 février 2019 le village régional, la ferme auberge de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Il a aussi parcouru le pavillon 1 pour échanger notamment avec les éleveurs auvergnats. Mardi, il a rencontré les acteurs des filières de production et les représentants du monde agricole. Un monde qu’il estime malmené par le président de la République qui n’a pas, selon lui, défendu assez les agriculteurs à Bruxelles. Selon lui, « le gouvernement n’a pas défendu notre politique agricole et nos agriculteurs » à Bruxelles car ce n’est pas une « priorité » d’Emmanuel Macron. « Là, ce que fait le président, c’est pas correct. Parce qu’on sait tous qu’en ce moment le budget de la politique agricole risque d’être amputé de 10 à 15%. Donc ensuite, quand il vient sur le salon en disant « je défends la politique agricole », c’est faux. Quand il dit ça, il ment », a lancé M. Wauquiez. Source : france3-regions.francetvinfo.fr, lien à la fin de l'article complet.
Youths, mostly high school and college students, demonstrate near the French Ministry for Ecology in Paris on February 15, 2019 to protest against climate change, part of a Europe-wide movement that has seen walkouts in Belgium, Great-Britain, Germany, and Sweden.
Prise de vue: Vendredi 15 février 2019, à 14 h 06. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 25 mm. Exposition: Auto, program AE, 1/250 sec, f/2.8, ISO 125, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 156 mots. Plus de 200 jeunes ont manifesté vendredi 15 février 2019 à Paris contre l'« inaction climatique » du gouvernement, une première mobilisation timide comparée aux milliers d’élèves ayant défilé en Belgique ou au Royaume-Uni. À l’appel de l’adolescente suédoise Greta, 16 ans, qui chaque vendredi depuis des mois sèche les cours pour aller protester devant le parlement suédois, des écoliers et étudiants descendent dans la rue une fois par semaine dans de nombreuses villes du monde. Mais le mouvement n’avait pas encore gagné la France. Vendredi, à l’appel d’un collectif d’étudiants d’Ile-de-France, des dizaines de jeunes portant des pancartes « Sauve un panda, taxe un banquier » ou « moins de riches, plus de ruches » se sont assis devant le ministère de la Transition écologique, bloquant la circulation. La secrétaire d’État à la Transition écologique Brune Poirson est sortie à la rencontre des jeunes massés devant son ministère.
Pensioners hold a banner during a rally on January 31, 2019, in Paris, as part of a nation-wide day of demonstrations to protest against cuts in their pensions due to government reforms.
Prise de vue: Jeudi 31 janvier2019, à 14 h 59. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 155 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4.5, ISO 200, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 255 mots. Le froid hivernal n’a pas découragé les retraités, bien au contraire. Ce jeudi 31 janvier 2019, nos aînés sont à nouveau descendus dans la rue pour une sixième journée d’action depuis septembre 2017 afin de défendre leur pouvoir d’achat. À l’appel de neuf syndicats et associations, les retraités se sont mobilisé partout en France pour réclamer en outre l’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités et une revalorisation de leurs pensions à la hauteur de l’inflation. À Paris, des milliers de retraités ont manifesté pacifiquement au départ de la place d’Italie et en direction du ministère des Finances à Bercy. Dans le cortège, les représentants syndicaux appelant à la démission du président Macron, et les retraités qui se présentent comme les grands oubliés de la politique des mesures fiscales du gouvernement. Comme la majorité des retraités présents place d’Italie à Paris, Agnès dénonce la politique fiscale du gouvernement, qu’elle qualifie de « cercle infernal » : « On prend à Paul pour donner à Jean. Mais au final, aucun citoyen n’est gagnant », s’exclame-t-elle. Dans le cortège, seuls quelques retraités gilets jaunes. « Cela fait neuf ans que je suis à la retraite, avant je pouvais mettre de côté quelques économies alors que maintenant j’ai même quelques restrictions sur mes dépenses alimentaires », s’inquiète Jacques, ancien salarié dans la restauration. Pour Yves, retraité depuis près de cinq ans, c’est le « droit à la retraite qui est remis en cause lentement, mais sûrement ».
Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.
French riot police holding a protective shield are covered in green paint during an anti-government demonstration called by the Yellow Vest "Gilets Jaunes" movement in Paris, on January 12, 2019. France braced for a fresh round of "yellow vest" protests on January 12, 2019 across the country with the authorities vowing zero tolerance for violence after weekly scenes of rioting and vandalism in Paris and other cities over the past two months.
Prise de vue: Samedi 12 janvier 2019, 15:08:43. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 3200, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 221 mots. À trois jours du début du grand débat national censé apaiser leur colère, environ 84.000 Gilets jaunes étaient de nouveau dans les rues samedi 12 janvier 2019 partout en France pour l’acte 9 de la contestation, notamment à Paris et à Bourges, mais également en région. Le gouvernement avait durci le ton en annonçant qu’à « l’ultra-violence » il opposerait « l’ultra-fermeté » et le préfet de police de Paris redoutait « plus de radicalité ». Partis du ministère des Finances, à Bercy, en fin de matinée, ils commençaient à se disperser vers 17 h place de l’Étoile, en haut des Champs-Elysées. Sous le mot d’ordre « On va faire les soldes à Paris ! », cette manifestation a été relayée notamment par Eric Drouet, l’une des figures du mouvement. Des heurts ont eu lieu près de l’Arc de Triomphe et sur l’avenue de Friedland. Au total, 156 personnes ont été interpellées à Paris depuis samedi matin, notamment pour port d’arme prohibée ou participation à un groupement en vue de commettre des violences. Un fort dispositif policier était en outre déployé place de l’Etoile avec la présence de quatre véhicules blindés à roues de la gendarmerie. La préfecture de police de Paris précise toutefois qu’aucune dégradation n’a été commise sur le parcours du cortège. Source : www.lejdd.fr, lien à la fin de l’article complet.
A man and a woman wearing the Phrygian cap of the French Republic are kissing in front of anti-riot gendarmes in Paris, on January 12, 2019 during an anti-government demonstration called by the Yellow Vest "Gilets Jaunes" movement. France braced for a fresh round of "yellow vest" protests across the country on with the authorities vowing zero tolerance for violence after weekly scenes of rioting and vandalism in Paris and other cities over the past two months.
Prise de vue: Samedi 12 janvier 2019, 12:41:33. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 20 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 2500, Compensation: -2/3. Flash: non
Alors que les Gilets jaunes partis de Bercy ralliaient les Champs-Élysées en passant par la rue de Rivoli, un homme et une femme portant un bonnet phygien ont échangé un baiser devant les forces de l’ordre qui barraient la rue aux manifestants, rééditant la célèbre photo de Robert Doisneau prise devant l’Hôtel de Ville de Paris, presque au même endroit, 68 ans auparavant.
French Culture Minister Franck Riester (C) at the Docks-City of Fashion and Design in Paris on January 08, 2019 during a signing ceremony between French Cuture minister, French Economy Minister Bruno Le Maire and the chief executive officer of the French luxury brand Hermes, Guillaume de Seynes.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 85 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 1000, Compensation: -1/3 Flash: non
RÉSUMÉ : 237 mots. Franck Riester, 44 ans, Ministre de la Culture depuis octobre 2018, s’engage en politique dès ses 21 ans, en étant élu au conseil municipal de Coulommiers sous l’étiquette RPR, avant de devenir maire en 2008. Porte-parole du candidat Sarkozy en 2012, le parlementaire s’illustre l’année suivante en étant l’un des deux seuls de son groupe, avec Benoist Apparu, à voter la loi sur l’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Franck Riester soutient Bruno Le Maire lors de la primaire de la droite en 2016, avant de rallier Alain Juppé au second tour. Entre les deux tours de la présidentielle, il se démarque à nouveau de la position du parti, jugeant « irresponsable et dangereux de cautionner le vote blanc » et appelle à voter Macron. « Tout sauf une surprise », tranche Julien Aubert, député LR. « Ça fait bien longtemps qu’il s’est éloigné de la droite et qu’il désire entrer au gouvernement ». Viré des Républicains, le député lance en novembre 2017 son propre parti, Agir, avec une poignée d’anciens LR pour mieux s’opposer à la ligne de Laurent Wauquiez jugée « identitaire, eurosceptique, ultra-conservatrice ». L’ancien maire de Coulommiers ne sera pas perdu au gouvernement. « Il rejoint des personnes qu’il connaît bien, Édouard Philippe, ou Bruno Le Maire avec qui il a fait campagne lors de la primaire », souligne Fabienne Keller, sénatrice Agir du Bas-Rhin. Source : www.20minutes.fr, lien à la fin de l'article complet.
French Economy Minister Bruno Le Maire delivers a speech during a symposium titled "Growth and the greening of the economy" at the the Minister of the Economy, Finances and Industry on January 8, 2019 in Paris.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/4, ISO 800, Compensation: -5/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 183 mots. Après avoir laissé entendre que le gouvernement pourrait maintenir la taxe d’habitation pour les 20 % de ménages les plus riches, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a finalement pris ses distances, ce mardi 8 janvier 2018, alors qu’il ouvrait à Bercy un colloque sur le thème « Croissance et verdissement de l’Économie ». Après les nombreuses critiques du mouvement des « gilets jaunes » contre la politique fiscale du gouvernement, qu’ils jugent inégalitaire, le sujet de la taxe d’habitation est revenu dans le débat fiscal. « Il est essentiel que cette suppression soit aboutie mais nous pouvons très bien demander aux Français « est-ce que vous estimez que pour les 20 % les plus riches il est légitime ou non de supprimer la taxe d’habitation ? », avait alors affirmé le locataire de Bercy. « Si nous répondons non à chaque demande des Français, que nous ne sommes pas capables d’écouter la demande de justice, nous ne réussirons pas le grand débat, qui doit s’ouvrir dans les prochaines semaines », avait-il ajouté.
Demonstrators wearing a yellow vest walk by a burning trash container during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement for the eighth week in a row of nationwide protest against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice" on January 5, 2019 in Paris.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 135 mots. L’acte 8 des gilets jaunes marque une hausse de la mobilisation. 50 000 manifestants ont été recensés à travers le pays, contre 32 000 la semaine dernière au pic de la mobilisation. Après une matinée plutôt pacifiste, des heurts ont éclaté un peu partout en France et notamment à Paris, où la préfecture de police a recensé 3 500 gilets jaunes. Des incidents ont ensuite éclaté sur une passerelle reliant les deux rives de la Seine au niveau du Jardin des Tuileries. Des scooters et une voiture ont aussi été incendiés sur le boulevard Saint-Germain où des barricades de fortune ont été érigées. Autre évènement marquant du jour : Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement a dû être évacué de son bureau après l’intrusion de plusieurs individus au sein de ses locaux. (Source : linternaute.com, lien dans l'article complet)
French policemen demonstrate on the Champs Elysées avenue on December 20, 2018 in Paris to the call of MPC (Mouvement of Angry Policemen) for the improvement of their working conditions. After more than one month monitoring Yellow Vest protests, French police officers who were already feeling overworked, say they have had enough. After several hours of negotiations between France's Interior Minister Christophe Castaner and France's three main police unions, an agreement was finally reached regarding officers' salaries. The French government has agreed to hike police wages and pay the 23 million hours in overtime they are owed after officers held talks with ministers after a day of protest to fight for better pay and working conditions.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: 135mm f/2L USM; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/100 sec, f/2, ISO 6400, Compensation: -5/3. Flash: non
EXTRAIT : 283 mots Alors que plusieurs syndicats de police ont déjà appelé les forces de l’ordre à une mobilisation nationale pour exprimer leur colère, le mouvement baptisé « les gyros bleus » prévoyait, lui, un rassemblement le jeudi 20 décembre 2018 à Paris. Le rendez-vous était donné à 21 h 30 devant le commissariat de police situé place Clemenceau, dans le 8e arrondissement de la capitale. Objectif : se faire entendre auprès du gouvernement et dénoncer le manque de reconnaissance des membres des forces de l’ordre, leur faible pouvoir d’achat et leurs « conditions de travail catastrophiques ». L’idée du rassemblement du 20 décembre est partie d’une page Facebook intitulée « le gyro bleu ». Apparue début décembre, celle-ci a été mystérieusement supprimée depuis du réseau social. Entre temps, une page « les gyros bleus » a été ouverte. Dans les faits, les policiers n’ont pas le droit de se mettre en grève. Ils sont autorisés à manifester et à s’exprimer, mais de façon très encadrée. Ils doivent suivre les mêmes règles que tout le monde : déclarer la manifestation auprès de la préfecture et préciser la date, l’heure, le parcours… Des impératifs ignorés par les « gyros bleus » à l’origine de l’appel du 20 décembre. D’autant que les sanctions sont parfois tranchées de manière opaque, jugent certains syndicats. Et il n’y a pas que les sanctions. (…) Après avoir fait parler d’eux, en 2016, avec des manifestations non autorisées de policiers, les responsables de l’association Mobilisation des policiers en colère ont ainsi été entendus à plusieurs reprises par l’IGPN, la police des polices. Guillaume Lebeau, par exemple, a été auditionné à trois reprises. Source.
Students demonstrate in front of the Campus France, the agency in charge of the promotion of French higher education to foreign students, against French government Education reforms on December 6, 2018 in Paris. About 200 high schools and colleges are blocked or disrupted again in France on December 6, 2018 and several incidents have been identified, leading in particular to mass arrests in the Paris region.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 23 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
De nombreux étudiants se sont rassemblés le 6 décembre 2018 devant les locaux de Campus France à Paris, l’organisme en charge de valoriser et de promouvoir à l’étranger le système d’enseignement supérieur et de formation professionnelle français. Une mobilisation contre la hausse des frais d’inscription à l’université pour les étudiants étrangers non ressortissants de l’Union européenne, qui doivent considérablement augmenter à la rentrée 2019. L’année de licence coûtera en effet 2 770 euros contre 170 euros actuellement et il faudra débourser 3 770 euros pour une année en master ou de doctorat (contre 243 euros et 380 euros respectivement). Cette augmentation fait partie de la « stratégie d’attractivité » lancée par le gouvernement qui veut attirer d’ici 2027, 5000 étudiants internationaux, « les plus brillants et les plus méritants ». Il promet en contre-partie la mise en place d’un panel de bourses plus accessibles pour ces étudiants étrangers.