Protesters hold banners and unions flags during a demonstration of municipal police in Paris on February 3, 2024, as part of a nationwide movement launched by the "collective of angry municipal police officers" to demand better recognition of their work, as well as higher wages and pensions.
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Des centaines de policiers municipaux se sont fait entendre samedi 3 février 2024 lors de rassemblements organisés partout en France, pour réclamer une meilleure reconnaissance et ne plus être considérés comme « une sous-police ». Les policiers municipaux souhaitent que soit rendue obligatoire la prime « police » ou « indemnité spéciale mensuelle de fonctions de police » (ISMF), qui peut représenter jusqu’à plusieurs centaines d’euros par mois. Ils veulent également qu’elle soit portée à 25 % du traitement de base, et l’intégrer au calcul de la retraite comme c’est le cas pour les pompiers professionnels avec la « prime de feu ». Ils demandent aussi leur passage en catégorie supérieure ainsi qu’une année de bonification pour la retraite tous les cinq ans. Cette mobilisation est la dernière étape d’un mouvement entamé le 31 octobre, avec une grève des procès-verbaux qui s’était poursuivie lors des réveillons de Noël et de la Saint-Sylvestre ainsi que le 1er janvier. Les policiers municipaux comptent par ailleurs sur l’arrivée des Jeux olympiques, lors desquels ils seront en première ligne pour remplacer les forces de l’ordre mobilisées dans les villes hôtes des épreuves, pour faire pression sur le gouvernement.
CRS riot police stand near a fire during a demonstration after the government pushed a pensions reform through parliament without a vote, using the article 49.3 of the constitution, in Paris on March 28, 2023. France faces another day of strikes and protests nearly two weeks after the president bypassed parliament to pass a pensions overhaul that is sparking turmoil in the country, with unions vowing no let-up in mass protests to get the government to back down. The day of action is the tenth such mobilisation since protests started in mid-January against the law, which includes raising the retirement age from 62 to 64.
La dixième journée nationale de mobilisation contre la réforme des retraites a été marquée par des scènes de violences en marge des défilés ce mardi 28 mars 2023. De premiers heurts entre forces de l’ordre et un groupe de plusieurs centaines de personnes se sont produits vers 17 heures à Paris en tête de la manifestation contre la réforme des retraites. Certains membres de ce groupe ont pillé un commerce Leclerc et allumé un feu de poubelles. Les forces de l’ordre ont chargé pour « disloquer » « le bloc », permettre « l’intervention des pompiers » et « faciliter la progression du cortège », a indiqué la préfecture de police, qui a fait état de 22 interpellations. D’autres incidents se sont produits place de la Nation lors de la dispersion de la manifestation vers 19 heures avec des jets de pavés et bouteilles sur les forces de l’ordre qui ont tiré de nombreuses grenades lacrymogènes en retour. À 20 h 30, le calme était revenu sur la place, où il ne restait plus que quelques dizaines de manifestants. En début de soirée, la préfecture de police a fait état de 55 interpellations. Au moins cinq personnes ont été prises en charge par les secours ou des « street medics » (secouristes volontaires).
French gendarmes block demonstrators during an unauthorized rally in Paris, in the Forum district of Les Halles, on March 19, 2023, against plans to reform pensions three days after the French government imposed the reform without a vote in using Article 49.3 of the Constitution. Opponents of the French president's pension reform plan are expressing their anger for the third evening, with new rallies and strikes in a France, plunged into a political crisis after the executive took power.
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Sous la voûte du forum des Halles, à Paris, des centaines d’opposants à la réforme des retraites ont fait entendre leur voix dimanche 19 mars 2023 en fin d’après-midi. Selon une source policière, le rassemblement, auquel ont participé 350 personnes, n’avait pas été déclaré mais il s’est déroulé dans le calme. Une tentative de départ en cortège sauvage a été empêchée par les forces de l’ordre et 17 personnes ont été interpellées. La veille déjà plusieurs centaines de personnes avaient manifesté à l’intérieur du centre commercial des Halles pour protester contre la réforme des retraites. La capitale a connu trois soirées de tensions depuis l’annonce jeudi du recours par Elisabeth Borne à l’article 49.3 de la Constitution qui permet l’adoption d’un texte sans vote, sauf motion de censure. Samedi, à l’appel de la CGT Ile-de-France, 4.000 personnes, selon la police, avaient convergé place d’Italie où des incidents avaient éclaté. Jeudi et vendredi, plusieurs milliers de personnes avaient exprimé leur colère place de la Concorde, amenant la préfecture de police à interdire jusqu’à mardi tout rassemblement sur cette place, située tout près de l’Assemblée nationale, au pied des Champs-Elysées, et qui restait dimanche sous surveillance policière. Pour la journée de samedi, 400 contrôles ont eu lieu place de la Concorde et 122 interpellations ont été effectuées dans la capitale, selon le ministère de l’Intérieur. Des placements en garde-à-vue dénoncés par le syndicat de la magistrature qui a déploré dans un communiqué l’absence d’éléments pour caractériser une infraction. « Sur 292 interpellations, 283 ont ainsi donné lieu à un classement sans suite. Cette utilisation dévoyée de la garde à vue illustre les dérives du maintien de l’ordre, qui détourne l’appareil judiciaire pour le mettre entièrement à son service », a déclaré le syndicat de la Magistrature.
A demonstrator from the CFTC (French Confederation of Christian Workers) union carries a sign caricaturing President Emmanuel Macron during a demonstration in Paris on March 7, 2023, as part of a nationwide day of strikes and protests called by unions over the proposed pensions overhaul, which include raising the minimum retirement age to 64 from 62 and increasing the number of years people have to make contributions for a full pension.
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La sixième journée de manifestation contre la réforme des retraites a été marquée en France par une nette reprise de la mobilisation en province mais aussi dans la capitale, avec des chiffres proches, voire supérieurs à ceux du 31 janvier 2023 dans de nombreuses villes, selon les syndicats mais aussi les autorités. Les Français étaient de nouveau dans la rue, mardi 7 mars 2023, pour protester contre la réforme des retraites. Selon la CGT, 3,5 millions de personnes ont manifesté partout en France, et 1,28 million, selon un comptage réalisé par le ministère de l’Intérieur. Cette participation est légèrement supérieure à celle du 31 janvier, plus haut de la mobilisation contre cette réforme avec 1,27 million de manifestants, selon la même source. À Paris, ils étaient 81 000 à battre le pavé, selon la préfecture de police, 700 000 selon la CGT. Source.
Retired from all over France demonstrate in Paris on December 02, 2021, as part of a nation-wide day of demonstrations called by nine trade unions to ask for higher pensions and for the reinstatement of the Old Age Law. In 2022, the revaluation of basic pensions in France will reach 1.1%, insufficient according to demonstrators compared to the increase in prices.
Prise de vue: Jeudi 2 décembre 2021, à 13 h 07. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 250, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 88 mots. Plusieurs milliers de personnes âgées ont défilé jeudi 2 décembre 2021 à Paris pour demander une revalorisation immédiate des pensions de retraite de 300 euros. Déjà dans la rue pour exprimer leur mécontentement il y a deux mois, ces manifestants ont une nouvelle fois répondu à l’appel de neuf syndicats (CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires) et associations (FGR-FP, LSR, Ensemble et solidaires), entre Denfert-Rochereau et Invalides. Depuis 2014, les retraités ont perdu entre 10 et 12% de pouvoir d’achat, estiment ces organisations. suite »
Armenians, carrying smoke bombs and flags in the colors of Armenia take part in a demonstration of Armenians in front of the Azerbaijan ambassy in Paris, France, on September 29, 2020 against the Azerbayan attacks on Nagorno Karabakh.
Prise de vue: Mardi 29 septembre 2020, à 17 h 49. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 163 mots. Alors que des combats meurtriers se poursuivent entre forces arméniennes et azerbaïdjanaises dans le Haut-Karabakh, quelques centaines de manifestants se sont rassemblés ce mardi 29 septembre 2020 au soir devant l’ambassade d’Azerbaïdjan à Paris, répondant à l’appel du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France (CCAF). Au troisième jour de combats meurtriers les opposant dans cette enclave, et malgré des efforts internationaux pour y mettre fin, l’Azerbaïdjan et les séparatistes arméniens du Haut-Karabakh affirment mardi 29 septembre s’être infligé de lourdes pertes, soulignant l’ampleur prise par les combats, qui ont fait officiellement près de cent morts. Plusieurs dirigeants étrangers ont appelé à un cessez-le-feu immédiat, et le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU) se réunit en urgence mardi soir, pour tenter d’éviter une guerre ouverte entre Erevan et Bakou qui risquerait de déstabiliser la région et d’y entraîner les puissances régionales, la Turquie et la Russie. Source
Persons in a wheelchair demonstrate for a greater inclusion of people with disabilies in front of the Departemental Center for Disabled Persons (Maison départementale des personnes handicapées MDPH) in Nanterre, in the inner suburbs of Paris, on February 11, 2020, the day when a National Conference on Disability (CNH) is held at the Élysée Palace,chaired by the French president Emmanuel Macron.
Prise de vue: Mardi 11 février 2020, à 14 h 14. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: oui
Résumé : 297 mots. Comme dans plus de 45 villes en France, des parents d’enfants handicapés et des adultes handicapés ont manifesté ce mardi 11 février 2020 devant la Maison départementale des personnes handicapées de Nanterre, « pour la défense des droits des personnes en situation de handicap, tous handicaps et tous âges confondus » expliquaient-ils dans un communiqué. Des rassemblements organisés à l’occasion des quinze ans de la Loi Handicap de 2005 mais aussi de la Conférence nationale du handicap, qui se déroulait au même moment au Palais de l’Elysée, à Paris, sous la présidence d’Emmanuel Macron. Votée sous Jacques Chirac, la loi « pour l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées » avait été un des axes majeurs de son second quinquennat, érigée au rang de grande cause nationale. Comme un clin d’œil, sa fille Claude Chirac était d’ailleurs présente et à pris la parole « pour rappeler dans quel contexte cette loi à vu le jour », faisait-on savoir. « Chaque jour des enfants ne peuvent accéder à une école, des travailleurs doivent quitter leur entreprise, car les logiciels utilisés ne sont pas adaptés, des personnes ne peuvent aller où elles veulent en raison de multiples obstacles », a dénoncé un collectif de 47 associations, dans une tribune parue dans le JDD. Dès la prochaine rentrée, un module de formation des enseignants sur la prise en charge des élèves en situation de handicap sera mis en place. « Il (Emmanuel Macron) est toujours contrarié de constater que des parents n’arrivent pas à régler ces problèmes d’inclusion de leurs enfants », explique un collaborateur. En 2017 déjà, le président avait fait de l’inclusion des personnes handicapées « une des priorités du quinquennat », avec l’ambition affichée de simplifier les démarches administratives dénoncées comme étant « trop complexes ». Source.
French police clash with firefighters protesting against French government's plan to overhaul the country's retirement system in Paris, on January 28, 2020.
Prise de vue: Mardi 28 janvier 2020, à 14 h 38. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 1250, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 193 mots. Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a déploré ce mercredi 29 janvier 2020 l’attitude « très agressive » de certains pompiers lors de leur manifestation de la veille à Paris. Le haut fonctionnaire a salué dans un communiqué le « professionnalisme » des policiers et gendarmes mobilisés mardi 28 janvier « malgré les violences dont ils ont fait l’objet ». La manifestation a rassemblé 3.900 soldats du feu, selon la préfecture. Elle a été émaillée de heurts, notamment après l’arrivée du cortège place de la Nation. La Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, qui chapeaute la profession, a également condamné l’attitude de ces manifestants. « Utiliser la violence pour se faire entendre est totalement contraire aux valeurs qui unissent les sapeurs-pompiers de France », a-t-elle fait savoir dans un communiqué. Ces heurts étaient, selon elle, « d’autant plus injustifiés » qu’une rencontre avait lieu au même moment entre l’intersyndicale de la profession et le ministère de l’Intérieur. Ce dernier y a annoncé des mesures, en matière de salaires et retraites notamment, qui ont conduit les syndicats à mettre fin à leur mouvement de protestation entamé l’été dernier. Source.
Most trains do not operate as shown on the display panel in Paris Gare Saint-Lazare during a strike of Paris public transports operator RATP and public railways company SNCF employees against French government's plan to overhaul the country's retirement system, as part of a national general strike in Paris on December 5, 2019.
Prise de vue: Jeudi 5 décembre 2019, à 8 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 1250, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 186 mots. La grève du jeudi 5 décembre 2019 contre la réforme des retraites a été particulièrement suivie, avec 806.000 manifestants à travers toute la France, selon les chiffres officiels. L’appel à la mobilisation, initialement lancé dans les transports, à la SNCF et à la RATP, a été relayé ces dernières semaines par de nombreuses catégories professionnelles, du public et du privé. Parmi les mobilisations massives, les autorités ont compté au moins 33.000 personnes à Toulouse, 25.000 à Marseille, 20.000 à Lyon, Montpellier et Bordeaux. Le départ de la manifestation parisienne, prévu à 14 heures de la gare du Nord pour rallier la place de la Nation, a été retardé en raison du grand nombre de personnes rassemblées en tête de cortège. Malgré tout, des incidents ont éclaté peu avant 16 heures. Une remorque de chantier a été retournée et incendiée, et plusieurs vitrines brisées non loin de la place de la République, où des manifestants sont restés bloqués environ trois heures. Les forces de l’ordre y ont essuyé des jets de projectile auxquels elles ont répliqué par des tirs de lacrymogène. Source
Protesters walk along the Seine river during a rally against medias in the French capital Paris, on the 24th consecutive Saturday of demonstrations called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) anti-government movement on April 27, 2019. Demonstrators are expected to protest on French city streets again for a 24th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." France's finance minister promised on April 26, 2019, that some 15 million households would benefit from tax cuts announced by President Emmanuel Macron, but the move did little to calm tempers among "yellow vest" protesters.
Prise de vue: Samedi 27 avril 2019, à 12 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -2/3. Flash: non
C’est l’un des chiffres les plus bas depuis le début du mouvement social en novembre 2018. Pour leur 24e journée de mobilisation, organisée samedi 27 avril, 48 heures après les annonces d’Emmanuel Macron en réponse à la crise sociale et quatre jours avant le défilé du 1er-Mai, 23 600 « gilets jaunes » ont manifesté dans toute la France, dont 2 600 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Les « gilets jaunes » ont pour leur part comptabilisé « 60 132 manifestants minimum », selon un décompte provisoire. La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées. Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social. Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale. Source : www.francetvinfo.fr
Youth take part in a demonstration against climate change on March 15, 2019 near the Pantheon in Paris. The worldwide youth protests were inspired by a Swedish teen activist who camped out in front of parliament in Stockholm last year to demand action from world leaders on global warming.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 13 h 28. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 146 mots. Quelque 29.000 personnes, selon la préfecture de police, 40.000 selon le collectif Youth for Climate, organisateur, ont participé dans le calme vendredi à Paris à la marche des jeunes pour le climat. La tête du cortège est arrivée vers 15 h aux Invalides, le point final où, une heure après, les marcheurs continuaient d’affluer, a constaté une journaliste de l’AFP. La foule partie du Panthéon, en passant par Montparnasse, était composée d’étudiants mais aussi de lycéens et de bien plus jeunes venus avec leurs parents. Dans le cortège on repérait des scouts, des membres de syndicats étudiants, un panneau « gilets jaunes Paris 20e ». Des slogans anti-capitalistes fusaient entre les désormais classiques: « Et un, et deux, et trois degrés, c’est un crime contre l’humanité » ou « Rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Autres participants annoncés, des étudiants de l’École Polytechnique. (Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet).
People hold signs as they take part in a rally against antisemitism, at Republique square in Paris, on February 19, 2019. A flare-up of anti-Semitic acts culminated in a violent tirade against a prominent writer during "yellow vest" anti-government protests last weekend. 96 Jewish graves were also vandalised in the village of Quatzenheim, close to the border with Germany in the Alsace region on February 19, 2019, on the day of nationwide actions against a rise in anti-Semitic attacks.
Prise de vue: Mardi 19 février 2019, à 19 h 10. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 4000, Compensation: -5/3. Flash: non
Résumé : 323 mots. Des milliers de personnes ont commencé à affluer mardi 19 février 2019 au soir place de la République à Paris pour dire non à l’antisémitisme, à l’appel d’une cinquantaine de partis, associations, mouvements. Un périmètre de sécurité a été délimité par des barrières au centre de la place noire de monde, où les responsables politiques ont commencé à se presser vers 19 heures. Face à la recrudescence des actes antisémites, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, avait lancé la semaine dernière un appel d’abord signé par quatorze partis, rejoints depuis par de nombreuses autres organisations. La maire de Paris, Anne Hidalgo, le chef de file de Génération·s, Benoît Hamon, la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, des députés LREM et des représentants de la France insoumise ont notamment été aperçus. L’ancien président socialiste François Hollande, arrivé vers 19 h 30, a fait valoir que « l’antisémitisme, c’est un fléau, c’est une attaque contre la République ». « Nous devons ici, au-delà des sensibilités, des fonctions occupées, des responsabilités exercées, être là pour que les Français puissent être eux-mêmes là ». Le président de LR, Laurent Wauquiez, a pour sa part lancé : « Ça suffit les croix gammées, les insultes », dans une allusion à la profanation d’un cimetière juif mardi, en Alsace, et aux insultes proférées à l’encontre du philosophe Alain Finkielkraut samedi, en marge d’une manifestation de « Gilets jaunes ». « C’est un sursaut républicain mais cela ne peut pas suffire non plus. On a besoin d’actes, de vraies décisions. Avant de changer la loi, commençons déjà par l’appliquer ». « Derrière les actes antisémites, il y a la question de l’islamisme intégriste », a poursuivi Laurent Wauquiez. Ian Brossat, le chef de file du PCF pour les Européennes, est venu avec Lassana Bathily, le héros de l’Hyper Cacher parisien. Source ; https://www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Demonstrators walk in the rue de Rivoli during a 'Day of strikes' called by the France's General Confederation of Labour (CGT) French worker's union in the French capital Paris on February 5, 2019.
Prise de vue: Mardi 5 février 2019, à 15 h 48. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 245 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 260 mots. Quelque 30.000 personnes, dont de nombreux « gilets jaunes », ont manifesté mardi à Paris pour l’augmentation du pouvoir d’achat et la justice fiscale à l’appel notamment de la CGT, selon le comptage de ce syndicat, la préfecture de police dénombrant de son côté 18.000 manifestants. Le cabinet Occurrence, mandaté par un collectif de médias dont l’AFP, a pour sa part comptabilisé 14.000 participants à ce défilé entre l’Hôtel-de-ville et la Concorde. Lors de sa dernière mobilisation dans la capitale, le 14 décembre, la CGT avait dénombré 15.000 manifestants dans la capitale. « Aujourd’hui c’est un succès qui en appelle d’autres », s’est réjoui le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, voyant dans la fermeture de la Tour Eiffel, dont les salariés ont répondu à l’appel à la grève du syndicat, le symbole « d’une journée de réussite ». « À part la couleur des gilets je ne vois pas beaucoup de différences », a ajouté le responsable syndical. En novembre pourtant, il avait refusé tout lien avec le mouvement des « gilets jaunes » à cause de son discours anti-fiscal et des risques de récupération par l’extrême droite. Il a révisé son discours lorsque les revendications des « gilets jaunes » se sont élargies à la hausse du Smic, la « justice fiscale » ou davantage de services publics. À côté de la CGT, appelaient également à manifester Solidaires, le NPA, le PCF, la France insoumise, Attac, des organisations de jeunesse comme l’Unef, l’UNL ou la Jeunesse ouvrière.
Source : www.europe1.fr, le lien à la fin de l'article complet.
Jerome Rodrigues (C), one of the leading figures of the "yellow vest" (gilets jaunes) movement, takes part in a march on February 2, 2019 in Paris, called to pacifically protest against police violence toward participants of the last three months demonstrations in France, as yellow vest protesters take to the streets for the 12th consecutive saturday today. Rodrigues claimed he was hit by a rubber bullet during clashes at the Bastille square on January 26, but the French junior
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 10 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 195 mots. En pleine polémique sur les lanceurs de balles de défense , plusieurs dizaines de milliers de « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 février 2019 à travers la France pour dénoncer les violences policières, lors d’un acte 12 de nouveau marqué par des heurts principalement à Paris et Bordeaux. Au lendemain de la décision du Conseil d’État de maintenir l’usage des LBD dans les manifestations, une « grande marche des blessés » s’est élancée vers midi à Paris deux mois et demi après le début de ce mouvement de contestation inédit. Parties du XIIe arrondissement, plusieurs milliers de personnes ont d’abord rallié dans le calme la place de la République en milieu d’après-midi derrière un kaléidoscope de visages tuméfiés et des banderoles réclamant « l’interdiction » des grenades et des LBD. Le cortège, dédié aux victimes de violences policières, a réservé un accueil de rock star au « gilet jaune » Jérôme Rodrigues, gravement blessé à l’œil droit le 26 février. « Ce sont des blessures qui mutilent, qui détruisent des vies alors que nous sommes des pacifistes », a affirmé Antonio, un des organisateurs de la marche, lui-même blessé par une grenade GLI-F4.
Plain clothes riot policemen tussle with a yellow vest protestor during an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (Gilets Jaunes) movement in Paris on February 2, 2019. France's "yellow vest" movement demonstrated against alleged police violence in rallies across the country, as nearly 60 lawyers denounced the treatment of protesters in the courts. The latest marches came a day after France's top court threw out a bid to ban weapons that shoot 40-millimeter rubber projectiles blamed for a number of serious injuries.
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 15 h 30. Appareil:Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 211 mots. Des échauffourées ont éclaté entre forces de l’ordre et « gilets jaunes » le 2 février 2019 à Paris, à la fin de la manifestation partie de la place Daumesnil. Trente trois manifestants ont été interpellés dans la capitale, selon la Préfecture de police, dont 21 personnes étaient à ce stade en garde à vue, a indiqué le parquet de Paris. L’un d’eux a été évacué par les pompiers après avoir été atteint au visage par un tir de lanceur de balles de défense. Louis Boyard, le président du syndicat lycéen UNL, a également affirmé sur Twitter avoir été victime d’un tir de LBD au pied. « Tout le pied semble cassé », écrit-il. « Si moins d’incidents sont à déplorer, je condamne fermement les dégradations et violences qui ont été commises », a tweeté en soirée Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur. Saisi d’une demande d’interdiction du LBD, le Conseil d’État avait estimé vendredi que le risque de violences rendait « nécessaire de permettre aux forces de l’ordre » de pouvoir y recourir. M. Castaner avait alors reconnu que cette arme – utilisée plus de 9.200 fois depuis le début de la contestation – pouvait « blesser » mais en a défendu l’utilisation « face aux émeutiers ».
Pensioners hold a banner during a rally on January 31, 2019, in Paris, as part of a nation-wide day of demonstrations to protest against cuts in their pensions due to government reforms.
Prise de vue: Jeudi 31 janvier2019, à 14 h 59. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 155 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4.5, ISO 200, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 255 mots. Le froid hivernal n’a pas découragé les retraités, bien au contraire. Ce jeudi 31 janvier 2019, nos aînés sont à nouveau descendus dans la rue pour une sixième journée d’action depuis septembre 2017 afin de défendre leur pouvoir d’achat. À l’appel de neuf syndicats et associations, les retraités se sont mobilisé partout en France pour réclamer en outre l’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités et une revalorisation de leurs pensions à la hauteur de l’inflation. À Paris, des milliers de retraités ont manifesté pacifiquement au départ de la place d’Italie et en direction du ministère des Finances à Bercy. Dans le cortège, les représentants syndicaux appelant à la démission du président Macron, et les retraités qui se présentent comme les grands oubliés de la politique des mesures fiscales du gouvernement. Comme la majorité des retraités présents place d’Italie à Paris, Agnès dénonce la politique fiscale du gouvernement, qu’elle qualifie de « cercle infernal » : « On prend à Paul pour donner à Jean. Mais au final, aucun citoyen n’est gagnant », s’exclame-t-elle. Dans le cortège, seuls quelques retraités gilets jaunes. « Cela fait neuf ans que je suis à la retraite, avant je pouvais mettre de côté quelques économies alors que maintenant j’ai même quelques restrictions sur mes dépenses alimentaires », s’inquiète Jacques, ancien salarié dans la restauration. Pour Yves, retraité depuis près de cinq ans, c’est le « droit à la retraite qui est remis en cause lentement, mais sûrement ».
Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.