This photograph taken on March 4, 2024 shows flowers and candles placed at the war memorial at the Parvis des Droits de l'Homme, Place du Trocadero, in Paris, in tribute to the deceased opposition leader Alexei Navalny. Navalny died in detention in Russia at the age of 47. President Vladimir Putin has lost one of his most outspoken critics with his death.
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Place du Trocadéro, face à la Tour Eiffel, les manifestants ont déposé des fleurs, allumé des bougies et apporté des pancartes au lendemain de la mort dans une prison de Russie d’Alexeï Navalny, principal opposant au président russe Vladimir Poutine. Sous le monument aux morts dédiés à la guerre de 14-18, mémorial improvisé en hommage à l’opposant russe, on pouvait lire “Poutine tue” et « L’amour est plus fort que la peur ».
A woman carries a cloth representing a dead child during a demonstration in support to Palestinians, at the entrance to the Forum des Halles in central Paris on October 28, 2023. Paris administrative court validated on October 28, 2023, a prefectoral ban on a demonstation in support to the Palestinians, notably due to the "gravity of the risks of troubling public order".
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Des milliers de personnes participaient ce samedi 28 octobre 2023 après-midi à Paris, dans le calme, à un rassemblement « de soutien au peuple palestinien », interdit par les autorités, aux cris notamment de « Gaza, Gaza, Paris est avec toi ». Place du Châtelet, en plein centre de la capitale, la foule a été empêchée de se mettre en mouvement par un très important dispositif policier. Parmi les manifestants figuraient des élus ceints de leur écharpe tricolore, tels le député écologiste du Val-d’Oise Aurélien Taché et le député LFI de Seine-Saint-Denis Jérôme Legavre. Le tribunal administratif avait validé ce samedi l’interdiction préfectorale de la manifestation en soutien au peuple palestinien, convoquée dès 14 h 30 à Paris, notamment au regard de « la gravité de risques de troubles à l’ordre public ». Dans un communiqué, le tribunal a fait valoir qu’il ne suspendait pas l’arrêté qui l’interdit, « au regard notamment du contexte de tensions exacerbées liées au conflit israélo-palestinien et des conditions de déroulement de cette manifestation ». « La manifestation en litige intervient dans un contexte de tensions exacerbées lié aux événements dans la bande de Gaza avec une montée, en France, des actes antisémites », a-t-il argué. Saisi en urgence, le juge des référés a ainsi rejeté les requêtes de quatorze associations et particuliers qui contestaient cette interdiction au nom de la liberté d’expression et de la liberté de réunion. « Au regard de la réalité et de la gravité de risques de troubles à l’ordre public, et alors qu’une mesure moins restrictive ne pouvait être mise en œuvre, c’est sans porter, en l’espèce, une atteinte manifestement illégale à la liberté de manifester et d’expression que le préfet de police a prononcé l’interdiction de manifester à Paris », conclut le juge dans son ordonnance consultée par l’AFP. « Le rassemblement projeté peut présenter un risque particulier sérieux de violences, à l’encontre d’autres groupes ou des forces de l’ordre et de dégradations de biens », a estimé le juge des référés. Notamment car à la différence des rassemblements des 19, 22 et 24 octobre 2023, celui-ci est « déambulatoire, et non statique », passant par « les quartiers du Marais et du Sentier où est implantée une communauté juive importante et sont installés notamment des lieux cultuels et culturels juifs », a-t-il relevé dans son communiqué. Il considère par ailleurs que la sécurité publique ne pourrait être garantie, les forces de police étant « fortement mobilisées » en marge de la finale de la Coupe de monde de rugby, « drainant des milliers de supporteurs » à Paris et dans sa banlieue, selon l’ordonnance. Organisée par le collectif Urgence Palestine, cette manifestation en soutien au peuple palestinien avait été interdite jeudi par le préfet de police de Paris Laurent Nuñez, pour risque de trouble à l’ordre public. « Il s’agit d’une décision révoltante, qui entérine des risques de troubles à l’ordre public que rien n’étaye au vu du déroulement des précédentes manifestations des 19, 22 et 24 octobre », a réagi Me Vincent Brenghart, l’un des avocats des associations requérantes. Source.
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées lundi 9 octobre 2023 en soirée à Paris en soutien à Israël, deux jours après l’offensive du Hamas lancée samedi à l’aube en plein Shabbat, le repos hebdomadaire juif, 50 ans et un jour après le début de la guerre israélo-arabe de 1973. Une dizaine de rassemblements étaient prévus dans l’Hexagone, et la Tour Eiffel et l’Assemblée nationale ont été illuminées dans la soirée aux couleurs du drapeau d’Israël. Pusieurs personnalités politiques étaient présentes au rassemblement parisien, à l’appel notamment du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) : la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, le porte-parole du gouvernement et ministre délégué chargé du Renouveau démocratique Olivier Véran, le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini, les présidents des régions Ile-de-France Valérie Pécresse, Hauts-de-France Xavier Bertrand, et Rhône-Alpes-Auvergne Laurent Wauquiez. L’ancien président de la République Nicolas Sarkozy et sa femme Carla Bruni étaient présents, ainsi que le président du parti LR Eric Ciotti. En tête du cortège, les manifestants portaient une banderole sur laquelle était inscrit “Terrorisme, ici, là-bas, même combat, soutien à Israël”. Certains manifestants étaient drapés dans un drapeau israélien, d’autres brandissaient un panneau “Solidaires avec Israël contre le terrorisme”. Source.
People hold up images and placards during a demonstration in honor of Jina Mahsa Amini and the other protesters killed under the orders of the Islamic Republic at The Place Joachim du Bellay in Paris, on November 13, 2022. Iranian Mahsa Amini, 22, died in custody on September 16, 2022, three days after her arrest by the notorious morality police in Tehran for allegedly breaching the Islamic republic's strict dress code for women.
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Plusieurs centaines de personnes se sont réunies dimanche 13 novembre 2022 place Joachim du Bellay à Paris en soutien au mouvement de contestation qui secoue l’Iran depuis la mort de Mahsa Amini, jeune Iranienne morte après son arrestation par la police à Téhéran.
Le même jour, l’Iran a fustigé la rencontre dans la capitale française d’Emmanuel Macron avec des opposantes, qui a eu lieu vendredi, et a qualifié de « regrettables et honteuses » les déclarations présidentielles à l’issue de cette réunion. En marge du Forum de la paix, le chef de l’Etat a rencontré quatre militantes iraniennes, dont il a salué la « révolution qu’elles sont en train de conduire » dans leur pays.
A woman lies on the ground during a demonstration of Ukrainian citizens against Russia's military operation in Ukraine in front of the Russian embassy in Paris on February 24, 2022. Russia has launched an invasion of Ukraine in the early hours of February 24, 2022, defying Western outrage and global appeals not to launch a war.
Extrait : 156 mots. Quelques centaines de personnes, parmi lesquels Yannick Jadot et Christiane Taubira, candidats à la présidentielle, se sont rassemblées jeudi 24 février 2022 à la mi-journée devant l’ambassade de Russie à Paris pour protester contre l’invasion russe en Ukraine et fustiger le président Vladimir Poutine. «No War», « Putin Ukraine 2022 », « Hitler poland 1939 », pouvait-on lire sur certaines pancartes brandies par des manifestants, qui ont scandé « Stop Poutine, stop la guerre ». Les manifestants, arborant le drapeau jaune et bleu de l’Ukraine, ont entonné un chant ukrainien datant de la seconde guerre mondiale. (…) Christiane Taubira a fait une brève apparition lors de ce rassemblement, auquel a également participé Yannick Jadot. « L’agression de monsieur Poutine est une guerre à laquelle nous devons répondre dans l’unité française et européenne », a déclaré le candidat écologiste à la présidentielle,(…) au côté de sa porte-parole Delphine Batho et du secrétaire national d’EELV Julien Bayou. suite =>
A protester holds a placard reading "Freedom to Alexei Navalny" during a rally in support of jailed opposition leader Alexei Navalny in place du Trocadéro, in Paris on January 23, 2021. Navalny, 44, was detained last Sunday upon returning to Moscow after five months in Germany recovering from a near-fatal poisoning with a nerve agent and later jailed for 30 days while awaiting trial for violating a suspended sentence he was handed in 2014.
Prise de vue: Samedi 23 janvier 2021, à 14 h 57. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitese, 1/200 sec, f/4, ISO 320, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 157 mots. Alors que plus d’un millier de personnes étaient arrêtées en Russie lors des manifestations en soutien à Alexeï Navalny, le principal opposant à Vladimir Poutine, plusieurs centaines de manifestants se sont donné rendez-vous place du Trocadéro à Paris, le 23 janvier 2021, pour témoigner de leur soutien à l’opposant. Cette contestation s’organise à quelques mois des législatives prévues pour l’automne, sur fond de chute de popularité du parti au pouvoir. Comme en 2019, la police russe a interpellé cette semaine, en amont des mobilisations, des alliés de premier plan d’Alexeï Navalny dont deux ont été condamnés vendredi à de courtes peines de prison. En région, plusieurs coordinateurs de son mouvement ont été arrêtés après avoir appelé à manifester samedi. Fin août, Alexeï Navalny était tombé gravement malade en Sibérie et avait été hospitalisé en urgence à Berlin, victime, selon lui, d’un empoisonnement des services secrets russes à un agent neurotoxique.
Supporters of the Turkish National Soccer Team are waiting to enter the Stade de France in Saint-Denis, suburb of Paris on October 14, 2019, for the Group H qualification football match between France and Turkey, despite tensions between the two countries. Wednesday's release by Turkish President Recep Tayyip Erdogan of a military operation against a Kurdish militia in Syria sparked an international outcry. France has denounced a "unilateral offensive" and suspended its arms sales to Turkey. And in Paris, several demonstrations in support of the Kurds of Syria have already taken place this weekend.
Prise de vue: Lundi 14 octobre 2019, à 17 h 09. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/7.1, ISO 1600, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 348 mots. Ils n’ont pas arrêté, pas une seconde, de chanter, danser, d’exhiber leur drapeau et leurs couleurs, rouge et blanche, dès la fin de l’après-midi, aux abords du Stade de France. Sans baisser de volume, ni se lasser d’arpenter, sous un grand drapeau turc, la rue Jules-Rimet, dans un flux et reflux aussi entêtant que les chansons de Tarkan et de Fatih Bulut que les enceintes ont crachées durant des heures. Au contraire, l’espace se libérant devant le café brasserie Le Rendez-vous, en face de la Porte B du SDF, les supporters ont pu esquisser des pas de danse, loin d’un contexte géopolitique lourd avec l’intervention militaire turque en Syrie, dans une zone principalement peuplée de Kurdes. Que tous avaient en tête mais qu’ils ne souhaitaient pas voir parasiter la rencontre : « On est venus de partout de Belgique, de France, de Strasbourg, de Lyon… On est fiers de notre équipe mais on ne cherche pas la bagarre, on est juste venu assister à cette finale du groupe. Bien sûr que le Stade va être turc mais il n’y aura pas débordement. Et je pense même que la Marseillaise ne sera pas sifflée », assurait Serkan Avci, chauffeur VTC de 29 ans. Osman, Franco-turc de 21 ans et gérant dans le BTP à Reims, cherchait, lui aussi, à dédramatiser le contexte autour de la rencontre : « Vous le voyez, l’ambiance est gentille, tout le monde chante, danse. ». Sa position sur Erdogan et l’intervention militaire ? « Il y a ce que disent les médias turcs et ce que disent les médias français. Pour ces derniers, Erdogan attaque les Kurdes alors qu’il ne fait qu’attaquer le PKK, qui est un mouvement terroriste. Erdogan ne fait que nettoyer notre frontière. Mais les Kurdes, eux, sont nos frères. Mon meilleur ami est kurde, il est même pro-PKK alors que je suis pro Erdogan mais il sait que je serai toujours là pour lui et lui pour moi ». Source
A woman is wearing a battle dress with the Kurdistan Army insignia during a demonstration at the place de la Republique in Paris, on October 12, 2019, in support of the Kurds and against the Turkish offensive in Syria. On October 9, 2019, the Turkish military began its assault against Kurdish-held territory in northern Syria , pummeling with artillery and airstrikes. Kurds are rapidly evacuating the region and at least 24 people have been killed in northern Syria. According to Turkish president Recep Erdogan, Turkey’s goal is to create a buffer zone separating Syria’s Kurds from the Turkish border.
Prise de vue: Samedi 12 octobre 2019, à 14 h 08. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 800. Flash: non
Résumé : 146 mots. Plusieurs milliers de personnes étaient réunies ce samedi 12 octobre 2019 place de la République, à Paris, en soutien aux Kurdes du Rojava. Depuis mercredi, la Turquie a lancé son offensive dans le nord-est syrien, attaquant les positions kurdes, et entraînant la fuite de plus de 100.000 civils. « J’ai le coeur brisé, confie Zilan, une jeune kurde d’origine turque. Je ne suis pas du Rojava, mais nous formons une grande famille ». Umut, solide bonhomme de 32 ans qui travaille dans le bâtiment, bouillonne d’impuissance depuis le début de semaine : « ça ne sert pas à grand-chose d’être ici. On serait plus utile là-bas, à se battre ». À deux pas, sur une estrade, les applaudissements pleuvent quand certaines personnalités politiques de gauche – Eric Coquerel, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel – appellent le gouvernement à agir. « C’est bien », se réjouit Bulbut. Source
French Prime Minister Édouard Philippe (3L), flanked by co-presidents of the Coordination Council of Armenian organisations of France (CCAF), Mourad Franck Papazian (R) and Ara Toranian (L) and Mayor of Paris Anne Hidalgo (2L), attends a ceremony to commemorate the anniversary of the Armenian genocide, on April 24, 2019, Place du Canada in Paris. Troops from the Ottoman Empire -- which preceded modern-day Turkey -- were responsible for massacres and forced deportations of Armenians from 1915, but Turkey has always denied that the killings amounted to genocide. France was the first major European country to recognise the massacres as genocide in 2001 and French President Emmanuel Macron announced the national day of remembrance in February this year, saying that his country "knows how to look history in the face."
Prise de vue: Mercredi 24 avril 2019, à 18 h. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 222 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 400, Compensation: +1. Flash: non
Le premier ministre, Édouard Philippe, a défendu ce mercredi 24 avril 2019 la décision de la France de faire du 24 avril la journée de commémoration annuelle du génocide arménien de 1915, un sujet à la source de tensions diplomatiques avec la Turquie qui conteste le terme de « génocide ». « Plus d’un siècle après, regarder l’horreur en face est un préalable pour rendre justice », a dit le chef du gouvernement français lors d’une cérémonie à Paris. « Mener un travail de mémoire et d’histoire, courageux et rigoureux, est l’unique manière d’emprunter un chemin de résilience ». « En rendant hommage aux victimes du génocide arménien, la France est fidèle à elle-même, fidèle à ses valeurs, c’est son honneur que de l’assumer », a-t-il ajouté. « Elle ne se laissera impressionner par aucune pression ni par aucun mensonge. Ce que nous recherchons, c’est l’exactitude historique, et la réconciliation ». Selon Erevan, 1,5 million d’Arméniens ont été tués de manière systématique à la fin de l’Empire ottoman entre 1915 et 1917. La Turquie reconnaît qu’un grand nombre d’Arméniens ont été tués par les Turcs durant cette période mais conteste l’idée qu’il y ait eu une volonté systématique de les exterminer, rejetant de ce fait le terme de « génocide ». Le génocide arménien, qui est reconnu officiellement en France depuis 2001, est commémoré chaque année le 24 avril en Arménie et dans le Haut-Karabagh, région séparatiste d’Azerbaïdjan peuplée majoritairement d’Arméniens. Cette date, qui correspond à la rafle et la déportation de plusieurs centaines d’intellectuels arméniens le 24 avril 1915 à Constantinople, a été reprise par Emmanuel Macron qui a annoncé son intention début février dernier d’en faire la journée de commémoration annuelle du génocide, en France. Cette décision a suscité l’ire de la Turquie qui a prévenu, mi-avril que ce geste aurait « inévitablement un impact négatif » sur les relations entre Paris et Ankara. « En instaurant cette journée de commémoration, la France entend contribuer à faire reconnaître le génocide arménien comme un crime contre l’humanité, contre la civilisation », a souligné Édouard Philippe ce mercredi. « La position de la France est constante contre toutes les formes d’oubli, d’indifférence ou de négation qui sont au fond une nouvelle tentative d’anéantissement, car tout génocide porte avec lui, en lui, la tentative de nier le crime commis et d’en camoufler les traces ». Source : www.lefigaro.fr.
Pro Assange protesters protest in front of the the headquarters of the French Daily Newspaper Le Monde in Paris on April 13, 2019. WikiLeaks founder Julian Assange was arrested on April 11, 2019, by the British police at the Ecuadorian Embassy in central London after his asylum status has been withdrawn by Ecuador’s president Lenin Moreno following 7 years of providing a refuge for the whistleblower. The arrest was made on behalf of the US authorities’ request for extradition over alleged computer related offence and conspiracy with Chelsea Manning for publishing the Iraq War Logs.
Prise de vue: Samedi 13 avril 2019, à 17 h 55. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 19 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
Entre 150 et 250 personnes se sont rassemblées à Paris le 13 avril 2019 devant le siège du journal Le Monde pour exprimer leur solidarité avec le lanceur d’alerte Julian Assange, arrêté le 11 avril par la police britannique après sept années passées à Londres dans l’ambassade d’Équateur, où il avait obtenu l’asile sous la présidence de Rafael Correa. La justice britannique a demandé son arrestation, à la suite de la révocation de son asile par arrestation, au motif qu’il n’avait pas respecté les conditions de sa liberté sous caution en 2012, ce qu’il conteste. Les participants ont vivement dénoncé l’attitude de nombreux médias qui se sont « largement servis des informations révélées par Wikileaks ».
The Algerian community demonstrate in Place de la République in Paris on March 3, 2019, to support their compatriots in the country against the 5th presidential term of Bouteflika. The mass protests in Algeria have triggered a show of solidarity in France, which has a large Algerian population. A first Parisian rally against the country’s long-term leader took place on February 24. On Saturday, a rally organised by Bouteflika supporters in central Paris drew only about thirty people. The rally comes as Algeria’s deadline for candidates to file an application for the April 18 presidential election expires on March 3 at midnight.
Prise de vue: Dimanche 3 mars 2019, à 12nbsp;h 00. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
En soutien au mouvement en Algérie contre un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, des membres de la communauté algérienne en France se sont rassemblés dimanche 3 mars 2019 Place de la République, à Paris, aux cris de « Algérie libre et démocratique ». « Le peuple ne veut ni Bouteflika ni Saïd » ont-ils scandé, en référence à Saïd Bouteflika, le frère du président. Alors que le président se fait soigner en Suisse, les dépôts de candidature pour la présidentielle du 18 avril 2019 seront clôturés à minuit ce dimanche, une journée déterminante pour l’avenir du pays. Samedi, le président Abdelaziz Bouteflika a remplacé son directeur de campagne, l’ancien Premier ministre Abdelmalek Sellal. Un signe qui démontre la volonté du président de maintenir sa candidature malgré les contestations de centaines de milliers d’Algériens. Source : france24.com, voir l'article sur newsimages.
French Economy Minister Bruno Le Maire (R) meets with his Dutch counterpart Wopke Hoekstra (L) at the Economy Ministry in Paris on March 1, 2019 after the Netherlands upped its stake in the binational holding Air France-KLM, putting it on equal footing with Paris in a bid to gain more oversight over the company. Le Maire accused the Dutch government of "destroying value and creating instability" after lifting its stake to 14 percent, just shy of the 14.3 percent held by France.
Prise de vue: Vendredi 1er mars 2019, à 8 h 00. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, Program AE, 1/250 sec, f/2.8, ISO 2000, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 175 mots. La France et les Pays-Bas vont lancer un « processus de travail » pour améliorer les performances d’Air France-KLM, a annoncé le ministre français de l’Economie Bruno Le Maire après un entretien avec son homologue néerlandais. La prise de participation surprise de 14% de l’État néerlandais dans le groupe aérien franco-néerlandais « n’est pas orthodoxe », a reconnu le ministre néerlandais des Finances, Wopke Hoekstra, après une rencontre avec M. Le Maire, destinée à apaiser les tensions entre les deux gouvernements, suscitées par un raid boursier dévoilé en début de semaine par La Haye. « Nous nous nous sommes expliqués », a dit le ministre français. « Nous avons surtout voulu nous tourner vers l’avenir avec, comme seul objectif, de faire d’Air France-KLM la compagnie aérienne la plus performante au monde ». « Pour cela, un processus de travail a été mis en place. Il rendra ses conclusions d’ici la fin du mois de juin et travaillera en parfaite intelligence avec Ben Smith », le patron d’Air France-KLM, a-t-il ajouté. Source : bfmtv.com, lien à la fin de l'article complet.
Members of the Chinese community celebrate the Chinese Lunar New Year on February 10, 2019, in the place de la Republique, in the French capital Paris, on February 10, 2019. Millions of Chinese around the world are celebrating the New Year, which marks the beginning of the Year of the Pig. Chinese New Year in Paris has become one of the city's most popular annual events. The French capital has a large and thriving French-Chinese community whose cultural influence grows stronger with every passing year.
Prise de vue: Dimanche 10 février 2019, à 14 h 28. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: oui
Résumé : 195 mots. Toute la communauté chinoise à Paris, son ambassadeur Zhai Jun en tête, s’est donné rendez-vous place de la République, le 10 février 2019, pour fêter l’arrivée du nouvel an selon le calendrier chinois, ainsi que l’entrée dans l’année du Porc. Depuis une quinzaine d’années on entend à Paris de plus en plus le mandarin, la langue officielle de la République populaire de Chine, ouverte au monde depuis les années 1980. Entre 600 000 et 700 000 personnes, vivant en majorité en Île-de-France. Il y aurait également près de 50 000 personnes d’origine chinoise continentale sans papiers. La première vague d’immigration chinoise Dim 10.02.2019 du début du 20e siècle, durant la 1re guerre mondiale, la majorité retournera en Chine. La seconde vague s’est produite entre 1975 et 1985. Près de 150 000 réfugiés d’origine chinoise arrivent du Cambodge et du Vietnam. Des Wenzhou, de la province chinoise du Zhejiang arrivent également et renouent avec le groupe resté après 1914-1918. Entre 1990 et 2010, la Chine s’est ouverte et des continentaux, en majorité venus de provinces du Nord-Est arrivent de nouveau en France.
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The armored limousine known as "The Beast" carrying US president Donald Trump arrives on the Champs Elysées avenue during a ceremony at the Arc de Triomphe in Paris on November 11, 2018 as part of commemorations marking the 100th anniversary of the 11 November 1918 armistice, ending World War I.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1600 sec, f/4, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Très remarquée tout au long de ce week-end de commémorations à Paris, « The Beast », la limousine présidentielle qui accompagne partout Donald Trump possède quelques caractéristiques étonnantes. Les voici.
Quatorze C’est le coût, en millions d’euros, du programme développé par General Motors et initié en 2013, pour pouvoir produire ce véhicule. Chaque modèle coûte 1 million d’euros à produire.
Huit C’est le poids, en tonnes de « The Beast ». Une masse impressionnante, qui s’explique notamment par l’épais blindage, de 20 cm, qui recouvre la voiture. Les vitres, sont par ailleurs scellées, afin d’éviter toute attaque bactériologique potentielle. Des caractéristiques qui rendent les portes de la voiture extrêmement lourdes : une personne seule ne peut les ouvrir sans aide extérieure.
Des roues à toute épreuve Les pneus renforcés avec du kevlar sont très difficiles à crever. mais même s’ils venaient à rendre l’âme, des jantes spécifiques permettent à la limousine de poursuivre sa route même sans pneus.
Trois cents C’est le nombre de chevaux sous le capot de « The Beast ». Une puissance obtenue grâce à son moteur V8 6.6 « Duramax » conçu par General Motors, mais qui ne permet cependant pas à la voiture de rouler très vite. Sa vitesse maximale n’est en effet que de 96 km/h.
Pourtant, « The Beast » consomme beaucoup : 34 litres pour 100 km. Et le véhicule est très polluant, la cour de l’Élysée en a d’ailleurs fait les frais. Source.
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A balloon depicting the US President Donald Trump wearing a diaper, flies over the heads of people protesting against the US leader at the Place de la Republique in central Paris on November 11, 2018, as leaders from around the world, including Trump, gathered in the French capital to mark the 100th anniversary of the 11 November 1918, World War I, armistice.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/4, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
« Trump c’est la guerre » : 1 500 personnes ont manifesté sous la pluie dimanche 11 novembre 2018 après-midi place de la République à Paris pour protester contre la présence du président américain aux commémorations du 11-Novembre, un rassemblement sous haute surveillance. Les autorités craignaient la participation de « 200 à 400 activistes violents » en marge des commémorations. Les manifestants comptaient parmi eux des membres revendiqués de la mouvance « black bloc », dont les forces de l’ordre redoutaient des actes de violence. Aucun incident n’a cependant été signalé, a précisé en fin d’après-midi la préfecture de police de Paris. À l’appel du collectif « Ni guerres ni état de guerre » regroupant une cinquantaine d’associations, les manifestants étaient rassemblés depuis 14 h sur cette place emblématique au-dessus de laquelle flottait un ballon géant représentant Donald Trump comme un bébé grincheux en couche-culotte.