Ouverture du Mondial de l’Auto 2018 à la presse
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► Picture 1 : caption in english
Renault EZ-ULTIMO Concept car is seen during the first press day of the Paris Motor Show at Paris Expo Porte de Versailles on October 02, 2018 in Paris, France. From 4 to 14 October 2018, the 'Mondial de l'automobile' presents to the public the new cars of the largest automobile brands in the world.
► Données techniques de la photo 1
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 115 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/7.1, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 367 mots. Le Mondial de l’Auto de Paris est l’un des rendez-vous majeurs parmi les grands salons automobiles du monde. Il se déroule tous les deux ans, les années paires, en octobre, à Paris. Plus d’un million de visiteurs découvrent chaque année les avant-premières dévoilées à cette occasion.
Le salon de Paris est depuis 120 ans, la référence des salons automobiles. Le rendez-vous de la Porte de Versailles était, jadis, l’occasion de présenter des stands exubérants, des concepts incroyables, et des modèles majeurs. Citons pêle-mêle la BX, en 1982, la Twingo, en 1992, la Citroën C5, en 2000 ou encore la Renault Mégane III en 2008, sans oublier les concepts comme la 907 en 2004, ou la Citroën Gran Turismo en 2008.
Ces dernières années cependant, le Salon de Paris a été moins incontournable que par le passé. Et, suivant un mouvement initié depuis quelques années, de nombreux constructeurs déclinent l’offre. Et pas des moindres, comme l’ensemble du groupe Fiat Chrysler, ou Ford. Ainsi, à Paris, il faudra se passer d’Abarth, Alfa Romeo, Ford, Fiat, Jeep, Mazda, Mitsubishi, Nissan, Opel, Subaru, Volkswagen ou Volvo. Beaucoup de constructeurs étrangers, qui peuvent souffrir de la place que prennent les constructeurs français, ici, à Paris. De tradition, ces derniers sont souvent très actifs à Paris. Mais ce n’est pas la seule raison. Un reproche est en effet fait aux salons. Leur coût. Pour un constructeur, un événement comme celui-ci coute plusieurs centaines de milliers d’euros. Alors les organisateurs s’adaptent : Jean-Claude Girot, commissaire général du Salon détaille « Déjà, nous avons baissé le prix des stands et beaucoup de constructeurs ont réduit leur surface d’exposition. Mais les stands doivent évoluer : il ne faut plus considérer le Mondial comme une simple exposition de voitures avec des décors « cathédrale » très chers. Il faut davantage raconter quelque chose au visiteur, jouer sur l’interactivité. »
(…) Une nouveauté. On retrouvera un centre d’essais nouvelles mobilités (hydrogène, électrique…) place de la Concorde, à Paris, sans oublier la parade, ce dimanche, en préambule du Salon, des 120 voitures marquantes de l’événement. Tout en réduisant la durée totale du Salon de cinq jours.
Le salon de Paris est depuis 120 ans, la référence des salons automobiles. Le rendez-vous de la Porte de Versailles était, jadis, l’occasion de présenter des stands exubérants, des concepts incroyables, et des modèles majeurs. Citons pêle-mêle la BX, en 1982, la Twingo, en 1992, la Citroën C5, en 2000 ou encore la Renault Mégane III en 2008, sans oublier les concepts comme la 907 en 2004, ou la Citroën Gran Turismo en 2008.
Ces dernières années cependant, le Salon de Paris a été moins incontournable que par le passé. Et, suivant un mouvement initié depuis quelques années, de nombreux constructeurs déclinent l’offre. Et pas des moindres, comme l’ensemble du groupe Fiat Chrysler, ou Ford. Ainsi, à Paris, il faudra se passer d’Abarth, Alfa Romeo, Ford, Fiat, Jeep, Mazda, Mitsubishi, Nissan, Opel, Subaru, Volkswagen ou Volvo. Beaucoup de constructeurs étrangers, qui peuvent souffrir de la place que prennent les constructeurs français, ici, à Paris. De tradition, ces derniers sont souvent très actifs à Paris. Mais ce n’est pas la seule raison. Un reproche est en effet fait aux salons. Leur coût. Pour un constructeur, un événement comme celui-ci coute plusieurs centaines de milliers d’euros. Alors les organisateurs s’adaptent : Jean-Claude Girot, commissaire général du Salon détaille « Déjà, nous avons baissé le prix des stands et beaucoup de constructeurs ont réduit leur surface d’exposition. Mais les stands doivent évoluer : il ne faut plus considérer le Mondial comme une simple exposition de voitures avec des décors « cathédrale » très chers. Il faut davantage raconter quelque chose au visiteur, jouer sur l’interactivité. »
(…) Une nouveauté. On retrouvera un centre d’essais nouvelles mobilités (hydrogène, électrique…) place de la Concorde, à Paris, sans oublier la parade, ce dimanche, en préambule du Salon, des 120 voitures marquantes de l’événement. Tout en réduisant la durée totale du Salon de cinq jours.
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Created by stoupak • Last edit by jeff on Novembre 2nd, 2018
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