Members of the "CIH - Collectif Inter Hopitaux" (Inter-hospitals collective) give a press conference after the publication of a collective resignation letter to protest against the emergency plan proposed by the government, at the Pitie-Salpetriere hospital in Paris on January 14, 2020. More than 1,000 hospital doctors, including some 600 heads of medical departments, published on January 14 a letter to "collectively resign" from their administrative duties if French Health and Solidarity Minister does not start "negotiations" on the hospital's budget and salaries.
Prise de vue: Mardi 14 janvier 2020, à 10 h 58. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/250 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 242 mots. Depuis des mois, un conflit d’ampleur oppose les médecins hospitaliers et le ministère de la Santé. Une nouvelle étape a été franchie par le personnel hospitalier. 1 200 praticiens, dont 600 chefs de service et 470 responsables d’unités ont présenté « leur démission de leurs fonctions d’administration, de gestion et de représentation ». Ce geste, témoin d’une crise sans précédent, s’est concrétisé lors d’une conférence de presse mardi matin 14 janvier 2020 à l’hôpital de la Pitié-Salpétrière, à Paris, en l’absence de négociations avec le gouvernement sur les moyens de l’hôpital public. Cette décision collective et particulièrement symbolique intervient après une longue bataille du personnel hospitalier. Le 15 décembre 2019, une tribune est publiée dans Le Journal du Dimanche. Ici, quelque 660 médecins menacent de démissionner. Fin, décembre, leur nombre dépasse le millier. Concrètement, selon les calculs du collectif Inter-Hôpitaux, « il manque 600 millions d’euros, en plus des 200 millions annoncés par le gouvernement pour l’Hôpital public il y a quelques semaines ». Comme l’indique Agnès Hartemann, chef de service de diabétologie à La Pitié-Salpêtrière, membre du CIH, sur France Culture, cette démission ne signifie pas l’arrêt total des praticiens. « On continuera à soigner les gens, bien sûr, et ça, on le fera toujours de manière collective, en équipe », souligne-t-elle. Réunis à l’initiative du collectif interhôpitaux, ces médecins hospitaliers sont issus de toute la France. Source.
Gathering outside the Lariboisiere hospital in Paris on December 17, 2019 to protest in favour of public hospital in order to demand more resources for the hospital as part of a third countrywide day of multi-sector protests over a government pensions overhaul, with the government showing no signs it will give in to union demands to drop the plan. Unions have been striking since December 5 in their biggest show of strength in years against plans for a single pensions system.
Prise de vue: Mardi 17 décembre 2019, à 11 h 14. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 176 mots. « Sauvons l’hôpital » : un millier de blouses blanches et bleues, médecins, internes, infirmières ou encore aides-soignantes ont défilé le mardi 17 décembre 2019 à Paris pour réclamer davantage de moyens et d’effectifs et « rester visibles », malgré les actions prévues le même jour contre la réforme des retraites. Répondant à l’appel des collectifs Inter-Hôpitaux et Inter-Urgences, d’organisations de praticiens, d’internes et des syndicats CGT, FO, CFDT, CFTC, CFE-CGC, SUD, Unsa, les manifestants brandissaient pancartes et banderoles sur lesquelles on pouvait lire « hôpital en sous-France », « à ceux morts sur nos brancards », ou encore « la retraite avant la mort ». Le 14 novembre, plusieurs milliers d’hospitaliers avaient défilé partout en France pour dénoncer leurs conditions de travail et réclamer un « plan d’urgence ». Une semaine plus tard, le gouvernement avait dévoilé son plan pour redonner « oxygène » et « attractivité » à l’hôpital : rallonge budgétaire de 1,5 milliard d’euros et reprise de 10 milliards d’euros de dette étalées sur trois ans, primes pour les personnels… Sans apaiser les contestataires.
French Minister of Public Action and Accounts Gerald Darmanin (C with orange vest) attends the control of a parcel containing smuggled cigarettes by the French customs in the postal sorting center of Chilly Mazarin, near Paris, on the sidelines of the presentation of the French customs' annual results for 2018, on February 25, 2019.
Prise de vue: Lundi 25 février 2019, à 9 h 58. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, Program AE, 1/250 sec, f/2.8, ISO 640, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 183 mots. Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, a présenté ce lundi 25 février 2019, lors d’un déplacement au bureau de dédouanement postal de Chilly-Mazarin, les résultats de la douane pour l’année 2018. Le travail des quelque 17000 douaniers a été particulièrement intense en 2018. Intense et de qualité puisque la France conserve la première place du classement Doing Business de la Banque mondiale dans la catégorie « commerce transfrontalier ». « Il y a un an, je donnais comme priorité à la douane la lutte contre la contrebande de tabac pour accompagner la politique de santé publique voulue par le Président de la République et le Premier ministre. Contrer toutes les formes de trafics est la contrepartie logique de l’augmentation du prix du tabac, pour protéger la santé des Français, les ressources de la sécurité sociale et le monopole de distribution des buralistes. Les douanières et les douaniers ont relevé ce défi », a expliqué Gérald Darmanin, qui s’est félicité des bons résultats enregistrés. Par ailleurs, le ministre a évoqué le Brexit qui va bouleverser les contrôles aux frontières. Source : ladepeche.fr, lien à la fin de l'article complet.
French Minister for Solidarity and Health Agnes Buzyn (C), French Minister of Higher Education, Research and Innovation Frederique Vidal (L), French Junior Minister attached to Economy and Finance Minister Agnes Pannier-Runacher (R) take part in the signing of a contract for the « health-care industries and technologies » sector with representatives of different multinational biotechnology and pharmaceutical companies at the Ministry of the Economy, Finances and Industry (Ministere de l'Economie, des Finances et de l'Industrie), on February 4, 2018, in Paris.
Prise de vue: Lundi 4 février 2019, à 14 h 23. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 130 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 5000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 188 mots. Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, et Jean-Luc Bélingard, président du Comité stratégique de filière, ont signé aujourd’hui lundi 4 février 2019 à Bercy le Contrat stratégique de la filière des Industries et Technologies de Santé. Le Gouvernement a réaffirmé son engagement et sa présence aux côtés des industriels du secteur des industries de santé pour faire face aux défis de santé publique et de compétitivité industrielle de cette filière.
Enfin, conjointement à la signature du contrat de filière s’est tenu le lancement du fonds d’investissement Innobio2. Ce fonds, doté d’un montant initial de 135 millions d’euros abondé par les deux principaux souscripteurs Bpifrance et Sanofi, accompagnés par Boehringer Ingelheim, Ipsen, Servier, et Takeda, investira dans les secteurs des produits biopharmaceutiques, du développement des bioprocédés, du diagnostic et des dispositifs médicaux. Son champ d’action sera élargi à la santé numérique ayant un lien fort avec les médicaments de prescription.
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Private nurses take part in a demonstration in front of headquarters of the Ministry of Health in Paris, on November 20, 2018, to protest their status in the measures of a health plan presented by the French President Emmanuel Macron in September 2018. Emmanuel Macron promised the recruitment of 4,000 medical assistants in urban areas by 2022 to handle paperwork, carry out simple medical gestures such as blood pressure checks, and free-up doctors. Exact status and job descriptions are to be spelled out in 2019.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 1600, Compensation: -1/3. Flash: non
EXTRAIT : 235 mots. Les infirmiers libéraux et salariés étaient appelés ce mardi 20 novembre 2018 à manifester et à cesser le travail, un mouvement de grève prévu depuis la présentation par Emmanuel Macron du « Plan Santé 2022 », en octobre dernier. Rassemblées à Paris sous les fenêtres du ministère de la Santé, les infirmières (les femmes représentent plus de 80% de la profession) se sont déclarées « oubliées », « méprisées » par le gouvernement et dénonçaient à propos du Plan Santé 2022, un catalogue de mesures « décidées autour des seuls médecins », selon les termes de Daniel Guillerm, vice-président de la Fédération Nationale des Infirmiers Libéraux. Premier motif de colère : le silence du président Emmanuel Macron sur la place et le rôle de cette profession dans la réforme du système de santé, lors de la présentation du plan « Ma santé 2022 », le 18 septembre à l’Elysée. (…) Dans le viseur des infirmiers, l’annonce de la création de 4 000 postes d’assistants médicaux, formés en un an, pour venir seconder les médecins libéraux en les déchargeant de tâches médicales simples, comme la prise de tension, et ainsi leur libérer du temps médical. Coût annuel de la mesure, dans un premier temps, pour la Sécurité sociale : près de 200 millions d’euros. La mesure irrite d’autant plus les représentants syndicaux qu’ils ont été confrontés, dans le même temps, à un refus de voir officiellement reconnaître certaines compétences chez les infirmiers.
Striking students hang a banner reading « Students, let us to derail the government with the railworkers » at the gate of Tolbiac campus in Paris on April 13, 2018 during a joint demonstration of students, railworkersl, post office workers and health workers to protest against planned reforms of the French government on April 13, 2018 in Paris.
Plusieurs centaines de cheminots, étudiants, personnels de santé et postiers ont manifesté vendredi 13 avril 2018 après-midi dans le 13e arrondissement de Paris pour protester notamment contre la réforme ferroviaire, Parcoursup et les suppressions d’emploi dans les hôpitaux publics parisiens. Sous le soleil, les manifestants ont défilé sans incident du métro Tolbiac à la gare d’Austerlitz. Cheminots, étudiants et postiers ont reçu le renfort de manifestants de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) devant la Pitié-Salpêtrière, les cheminots en tête du défilé brandissant des drapeaux de SUD-Rail et de la CGT-Cheminots. Les postiers protestaient contre le licenciement, validé par la ministre du Travail Muriel Pénicaud, d’un militant SUD-PTT, Gaël Quirante.
Cette manifestation intervient au troisième épisode d’une grève qui perturbait encore fortement le trafic ferroviaire vendredi, et au lendemain des déclarations d’Emmanuel Macron exprimant sa volonté d’ « aller au bout » d’une réforme « indispensable ».
People gather outside the French Ministry for Solidarity and Health in Paris on January 30, 2018 during a national day of action and strike by EHPAD (Establishment for the Housing of Elderly Dependant People) workers to demand more resources for the care of the elderly. Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mardi 30 janvier 2018, à 14 h 03. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/5, ISO 250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Personnels des maisons de retraite, familles de résidents, retraités : plusieurs milliers de personnes ont participé ce mardi 30 janvier 2018 à des rassemblements organisés dans toute la France pour réclamer davantage de moyens pour s’occuper « dignement » des personnes âgées, une mobilisation inédite. À l’appel d’une large intersyndicale (CGT, CFDT, FO, Unsa, CFTC, CFE-CGC et SUD), avec le soutien de l’association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA) et d’associations de retraités, des débrayages étaient prévus dans des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et dans des services d’aide et de soins à domicile. Le plus grand rassemblement avait lieu à Paris, où plusieurs centaines de personnes se tenaient à proximité du ministère des Solidarités et de la Santé.
Pro-life demonstrators take part in a ‘March for life’ demonstration in Paris on January 21, 2018 against abortion, assisted reproduction and euthanasia. As the government prepares a consultation on the 2011 bioethics law that could see assisted reproduction permitted for lesbian couples and single women, the protesters called for it to be made stricter. Prise de vue: Dimanche 21 janvier 2018, à 14 h 35. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/9, ISO 2000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 100 mots. Ce dimanche 21 janvier 2018, trois jours après l’ouverture des États généraux de la bioéthique, les participants de la Marche pour la vie ont réaffirmé leur opposition à la PMA et à toute forme d’euthanasie, dénonçant la « banalisation » de l’IVG et prônant « une politique de santé digne de ce nom visant à diminuer les 220.000 avortements annuels » en France. Initiée par un collectif d’associations « En marche pour la vie », qui réunit notamment « Choisir la vie », la fondation Jérôme Lejeune, « Renaissance catholique » ou les « Survivants », la « Marche pour la vie » dénonce la « banalisation » de l’IVG.
French Minister for Solidarity and Health Agnes Buzyn arrives at the Poissy Medical Center, near Paris, on January 15, 2018 for the laying of the first foundation stone of a new emergency departement, in front a demonstration organized by the Hospital Employees Union. Prise de vue: Lundi 15 janvier 2018, à 14 h 31. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/8, ISO 2000, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
À l’appel des syndicats Sud et CGT, plusieurs dizaines de manifestants se sont donné rendez-vous le 15 janvier 2018 devant l’Hôpital intercommunal de Poissy afin d’accueillir à leur manière Agnès Buzyn, la ministre de la Santé, qui participait à la cérémonie symbolique de pose de la première pierre du nouveau bâtiment de l’hôpital. Ce futur bâtiment, d’un coût estimé à 70 M€, abritera les urgences, la réanimation, les soins intensifs, la maternité ou encore 180 lits supplémentaires. Il devrait être livré en avril 2020…
Après des mois de « guérilla », l’heure de la grande confrontation a enfin sonné pour les opposants au projet de loi santé. Médecins, chirurgiens, pharmaciens, infirmiers, dentistes, étudiants en médecine, internes… Plusieurs dizaines de syndicats professionnels et d’organisations étudiantes médicales ont appelé à une manifestation, dimanche 15 mars 2015, à Paris, pour exprimer leur refus du texte de loi porté par la ministre de la santé, Marisol Touraine, deux jours avant son examen en commission des affaires sociales, à l’Assemblée nationale.
Thousands of medical professionals and students took to the streets in Paris on March 15, 2015 to protest against the government’s proposed health reforms. Debate relates to doing away with the current system of patients paying money upfronts.
Airparif, l’organisme en charge de la surveillance de la qualité de l’air à Paris a enregistré un nouvel épisode de pollution atmosphérique aux particules dans la capitale le 6 mars 2015. La Ville de Paris a donc immédiatement mis en place la procédure d’information du public et annoncé la gratuité du stationnement résidentiel afin de limiter le nombre de véhicules en circulation dans la capitale. La Mairie invitait également les Parisiens à privilégier les transports en commun ou le covoiturage. Selon Airparif, la concentration en particules dans l’air parisien a atteint ce jour-là le seuil “d’information”. Ce seuil signifie qu’une “exposition de courte durée présente un risque pour la santé de groupes particulièrement sensibles au sein de la population“. Les enfants, personnes âgées, ou encore celles souffrant de pathologies respiratoires étaient donc invitées à limiter leurs déplacements à l’extérieur.
Environ 300 prostituées, dont beaucoup portaient un masque blanc ou rouge, ont manifesté le samedi 26 octobre 2013 place de Clichy, à Paris, contre une proposition de loi déposée par le groupe socialiste à l’Assemblée qui vise à sanctionner les clients. « On est putes, on est fières, le PS c’est la guerre », ont-elles répliqué. D’autres slogans et pancartes visaient la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, qui s’est déclarée favorable à des sanctions contre les clients de prostituées. Le texte prévoit la création d’une amende de 1.500 euros sanctionnant le recours à la prostitution, doublée en cas de récidive. « Vouloir abolir la prostitution, c’est vouloir abolir les putes. La pénalisation des clients est une mesure délétère » qui « mettra leur santé, leur sécurité et leur vie en danger », assurait un tract distribué par le Strass, le Syndicat du travail sexuel.
Une manifestation était organisée le samedi 15 juin 2013 à Paris, au départ de la place de la Bastille, pour défendre le droit à la santé et la protection sociale. Au préalable, un rassemblement s’est tenu devant l’hôpital de l’Hôtel-Dieu, pour dénoncer les restructurations, fermetures d’établissement et de services hospitaliers, sociaux et médico-sociaux et, plus généralement, contre les déserts médicaux.
Le lundi 8 avril 2013 après midi, les internes en biologie médicale manifestaient à Paris depuis la gare Montparnasse jusqu’au Ministère des Affaires Sociales et de la Santé. Un rassemblement pour revendiquer la préservation du maillage des laboratoires de biologie médicale sur l’ensemble du territoire français, l’arrêt de la financiarisation à l’origine d’une biologie industrielle, une création facilitée des laboratoires dans les zones à faible densité médicale et certaines dispositions professionnelles.