À l’appel de l’union des maires de France, de nombreux élus du département de l’Essonne se sont rassemblés devant la préfecture, le 19 septembre 2015, dans le cadre de la journée nationale d’action des élus pour alerter les pouvoirs publics sur les dangers d’une baisse des dotations de l’État aux collectivités. Étaient notamment présents Nicolas Dupont-Aignan, député-maire d’Yerres, et Serge Dassault, sénateur et ancien maire de Corbeil-Essonnes.
Le bureau du Sénat a refusé mercredi 8 janvier 2014 de lever l’immunité parlementaire de Serge Dassault, ancien maire de la ville de Corbeil-Essonnes. Depuis 2010, des juges du pôle financier de Paris enquêtent sur des mouvements suspects d’argent et sur les pratiques supposées du sénateur UMP dans la ville dont il a été maire pendant 14 ans. Une levée de l’immunité de Serge Dassault devait permettre aux magistrats de le placer en garde à vue et de procéder à des perquisitions dans ses locaux. Cette photo a été prise alors que Serge Dassault annonce l’ouverture du Carnaval vénitien devant la mairie de Corbeil-Essonnes, le 4 avril 2009, ville dont il a été reconduit comme maire depuis mars 2009. Deux mois après, le 8 juin 2009, le Conseil d’État invalidera le scrutin municipal de Corbeil-Essonnes pour irrégularités des comptes de campagne des listes de Serge Dassault et de son adversaire communiste et prononcera leur inéligibilité pour un an au mandat municipal.
Une plainte pour « association de malfaiteurs » a été déposée contre l’homme d’affaires Serge Dassault par Fatah Hou, un homme victime d’une tentative d’assassinat le 19 février 2013, a indiqué lundi 6 janvier 2014 Me Marie Dosé, l’avocate du plaignant. Il est reproché à l’industriel et sénateur de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) d’être impliqué dans un projet d’arrestation de M. Hou et de deux autres hommes au Maroc, afin de les éloigner de Corbeil-Essonnes. Le successeur de Serge Dassault à la mairie de cette ville, Jean-Pierre Bechter, le responsable du service des sports de la ville, Machiré Gassama, et un diplomate marocain en poste à Paris sont également visés par cette plainte, déposée le vendredi 3 janvier 2014 auprès du parquet d’Evry. La procédure vient s’ajouter à une enquête à Paris sur un système présumé d’achat de votes dans les quartiers sensibles de Corbeil-Essonnes, dont l’homme d’affaires a été maire jusqu’en 2009. Le bureau du Sénat doit se prononcer mercredi 8 janvier 2014 sur la demande de levée d’immunité parlementaire, qui ouvrirait la voie à une garde à vue.
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Une cérémonie était organisée place de la bataille de Stalingrad, dans les 10e et 19e arrondissements de Paris, le samedi 2 février 2013 après-midi pour commémorer la fin de cette bataille. La bataille de Stalingrad désigne les combats qui ont eu lieu du 17 juillet 1942 au 2 février 1943 pour le contrôle de cette ville, baptisée aujourd’hui Volgograd, entre les forces de l’Union des républiques socialistes soviétiques et celles du Troisième Reich. Elle reste dans les mémoires pour l’âpreté des combats urbains, n’épargnant ni civils ni militaires, ainsi que pour son impact psychologique et symbolique. En termes de pertes humaines, environ 250.000 soldats des forces de l’Axe ainsi que 480.000 soldats soviétiques trouvèrent la mort, sans compter le nombre toujours inconnu de civils tués (estimé à 250.000) ni celui encore plus élevé des blessés (de l’ordre de 800.000).
Étaient présent à cette cérémonie parisienne Alexandre Orlov, l’ambassadeur de Russie en France, plusieurs officiers généraux et officiers supérieurs de l’armée russe, ainsi que le chef d’entreprise et homme politique Serge Dassault, ancien interné au camp de Drancy.