Bonjour à tous. Je suis heureux d'avoir retrouvé une partie de ma vue et surtout des couleurs. Quelques explications : nous habitons dans notre nouvelle maison depuis bientôt 42 ans. Elle est située à quelques dizaines de mètres de celle où nous avons été 9 ans en location… Ducroquet
Je dédie cette petite valse guillerette à tous mes congénères « à risque », pour donner à ce temps de sortie progressive de confinement un parfum d'adolescence brindezingue en compagnie d'Edmond Xaruf, de Malvina, Comtesse de Roudibesco, de Leon Klakmuf, du Pr Hardy-Petit, sans oublier le Frère Maklouf et Coriolan, son escargot dextrogyre et siffleur…
Petit cours d’histoire : Imaginez : on est lundi 15 octobre 1951, il est 1 h 10 et le journal parlé (comprendre les informations) vient de s’achever sur la Chaîne Parisienne RTF. Commence alors un feuilleton délirant dont le titre est devenuMalheur aux Barbus et qui durera 213 épisodes pour se terminer le jeudi 19 juin 1952. Les nouvelles qui suivent les informations sont assez effrayantes puisqu’on apprend que 643 barbus viennent de disparaître et que désormais tous ceux qui portent barbe, collier ou même bouc ne sortent plus dans la rue sans leur cache-nez. Derrière toutes ces disparitions se cache le sinistre Edmond Furax que seule sa compagne Malvina, et encore, peut tenter de calmer. C’est ainsi que commence la série : Signé Furax.
Après correction par mes soins de ce que je croyais être une faute de frappe dans le titre, je reçois de Guy le mail suivant : « On ne change pas un mot à un grand classique ! Indibutablement !https://youtu.be/QlqCWWwNJn8 Minute 4:30. » Dont'act ! Jeff