Le Tour de cartes du Jour…
…nous est fourni par Tonton Michel qui a décidé
de nous énerver pour ce dimanche hivernal
qu’on imagine scintillant pour les enneigés
mais bien grisounet sur le littoral provençal !
BIZATOUS !
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Le Tour de cartes du Jour…
…nous est fourni par Tonton Michel qui a décidé
de nous énerver pour ce dimanche hivernal
qu’on imagine scintillant pour les enneigés
mais bien grisounet sur le littoral provençal !
BIZATOUS !
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Un programme de substitution
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Un programme de substitution
– deuxième partie de soirée –
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Soulagement
Enfin !…Le remaniement a eu lieu… Comme il doit être soulagé ! Il va pouvoir reprendre le cours de ses activités normales et retrouver des conditions de travail plus dignes de sa fonction…
Je veux parler du correspondant permanent de France 2 à l’Élysée.
Depuis près de six mois, ce pauvre garçon passe sa vie planté à un carrefour. De jour comme de nuit. Nu-tête et en veston par n’importe quel temps. Hier soir encore, il bravait la bourrasque parisienne pour nous tenir informés « en temps réel ».
Ce courageux journaliste – lui et son confrère de l’Hôtel Matignon – méritent toute notre reconnaissance. Ayons pensée de gratitude pour ces braves qui planquent là où se passe l’action pour nous assurer une couverture immédiate des évènements les plus improbables.
Qu’ils en soient ici remerciés.
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À table !
Le 11 novembre au matin, sur France Inter, on causait gastronomie… et de ces tables où l’on sert la ratatouille niçoise froide dans un verre et le confetti de côte d’agneau dans un plat à barbe… Voyez le genre ? Brin de ciboulette et coulure de vinaigre balsamique (que j’ai longtemps pris pour une crème au chocolat Sodexho ; c’est bien de moi, ça !). J’ai péché cette sortie d’un des participants :
« Ces Chefs ne sont pas des cuisiniers, mais des plasticiens
dont la matière première est l’aliment ».
C’est pas faux ! dirait Perceval
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Cet article a été ajouté à la version livre (en pdf) de ► Le Designer fou a encore frappé
dans Pas classés.
Les liens vers Les séries de Guy (en pdf) sont dans la colonne de droite de cette page.
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Journée de la Simagrée obligatoire à Colombey
Vu Zébulon se recueillir sous l’immense croix de Lorraine avec toute la gravité affectée dont il est capable… J’ai trouvé dans cette scène – décor, comédien, figurants et public – un sujet tout abouti à proposer au fabricant des Play-Mobil !
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Un peu de vocabulaire
I – Des ouvriers, des employés s’opposent leur patron. Ils ne trouvent pas d’accord et décident d’exercer le seul moyen de pression à leur disposition : ils cessent le travail. Cela s’appelle une grève.
On est prié de ne pas galvauder ce mot.
II – Toute une partie de la population s’oppose à une décision du pouvoir. Ils ne trouvent pas d’accord et, toutes voies de concertation épuisées, ils décident d’exercer le seul moyen de pression à leur disposition : ils manifestent leur mécontentement dans la rue. Cela ne s’appelle pas une grève. On a pourtant le choix : jacquerie (condescendant), émeute (inquiétant), révolte (celui-là, j’aime bien)…
En attendant mieux…
Mais il est vrai que le sens des mots s’estompe vite devant le poids des photos(shop) !
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Toujours actuel
Je relis mes classiques et je vous fais profiter
de mes passages choisis :
(Noter que c’est avant 1968 que San-Antonio formulait cet axiome)
« Ce sont les jeunes, comme toujours, qui déclenchent la castagne. Toujours et partout, c’est la jeunesse qui commande. Lorsqu’elle en a assez de la routine à papa, elle se met à casser la cabane pour faire piger au pays qu’il vit toujours ».
In 56 – « Bérurier au sérail » - 1964
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L’info du réveil
Dilma Rousseff (parfois écrite Dilma Rousset), nouvelle Présidente du Brésil fait l’objet de tous les éditoriaux et, à mon oreille encore endormie, l’élocution moderne excessivement rapide des commentateurs m’a fait me demander qui était donc cette Odile Maroussette dont ils parlaient tant…
Tous les commentateurs de toutes les stations
ne parlent que d’Odile-ma-Roussette…
aussi dur à porter qu’un pape appelé à régner !
(qui a dit « relou » ?)
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