Cet article concerne l’ancienne version du site. Celle que vous voyez en ce moment, est en cours d’installation. D’où un certain nombre de dysfonctionnements dont j’ai parfois du mal à trouver les causes. Merci de patienter.
Après l’attaque de notre site et son rétablissement, voilà que ses fonctionnalités se dégradent. Il devient impossible d’ajouter les tags sous les articles. Les visiteurs non connectés sous leur identifiant et mot de passe ne peuvent plus laisser de commentaire. Pour eux, le module de commentaire sous l’article est remplacé par un message de fatal error. Je connais suffisamment l’anglais pour identifier le problème signalé dans ce message mais pas assez l’informatique pour le résoudre. D’autant que le fichier mentionné ainsi que ceux qui sont appelés dans ledit fichier, tout comme la fonction déclarée manquante, existent bien et ne semblent pas avoir été modifiés.
La solution serait peut-être d’installer la dernière version de b2evolution, le logiciel qui fait tourner le site. J’en ai sauté plusieurs et celle-ci est plus compliquée. Elle entre désormais dans la catégorie « usine à gaz ». Son habillage (skin) me plait moins. Les lignes des articles sont trop longues pour une bonne lisibilité. Mais en la testant, j’ai vu que je pouvais réintégrer dans le dossier des skins l’habillage actuel, nommé custom.
Reste à savoir si la base de données en cours sera récupérée par cette nouvelle version. Faute de quoi il faudrait tout reprendre à zéro : recréer les blogs et les utilisateurs, réécrire les centaines d’articles, réinstaller les milliers de photos et vidéos… Sans oublier le rétablissement des modifications que j’ai apportées à certains fichiers pour permettre des effets spéciaux (shadowbox, class info, masquage/démasquage…).
Demain, je vais tenter le coup. Adieu donc, en cas de destruction massive. Merci de votre fidélité pendant ces presque neuf années. Merci aux possesseurs de blogs qui ont alimenté le site de façons diverses et variées, le rendant très attractif.
Étant extrêmement têtu, il n’est pas impossible que j’entame le travail de romain décrit au paragraphe précédent, sans garantie de pouvoir le mener à terme. « Le temps s’en va, le temps s’en va, Madame. Las le temps non mais nous nous en allons »… Mais peut-être que, comme dit si élégamment le sergent Roger Murtaugh dans l’Arme fatale :
« J’ai passé l’âge de ces conneries » !