Protesters walk along the Seine river during a rally against medias in the French capital Paris, on the 24th consecutive Saturday of demonstrations called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) anti-government movement on April 27, 2019. Demonstrators are expected to protest on French city streets again for a 24th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." France's finance minister promised on April 26, 2019, that some 15 million households would benefit from tax cuts announced by President Emmanuel Macron, but the move did little to calm tempers among "yellow vest" protesters.
Prise de vue: Samedi 27 avril 2019, à 12 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -2/3. Flash: non
C’est l’un des chiffres les plus bas depuis le début du mouvement social en novembre 2018. Pour leur 24e journée de mobilisation, organisée samedi 27 avril, 48 heures après les annonces d’Emmanuel Macron en réponse à la crise sociale et quatre jours avant le défilé du 1er-Mai, 23 600 « gilets jaunes » ont manifesté dans toute la France, dont 2 600 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Les « gilets jaunes » ont pour leur part comptabilisé « 60 132 manifestants minimum », selon un décompte provisoire. La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées. Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social. Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale. Source : www.francetvinfo.fr
President of French association "Secours Populaire" French Julien Laupretre takes part in a debate during the Festival of Humanity (Fete de l'Humanite), a political event and music festival organised by the French Communist party (PCF) on September 15, 2017 in La Courneuve, outside Paris.
Prise de vue: Vendredi 15 septembre 2017, à 17 h 18. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/3.2, ISO 3200. Flash: non
D’une petite structure fondée en 1945, satellite du Parti communiste français (PCF), il avait fait l’une des plus grandes organisations caritatives de France, tout entière vouée à la solidarité envers les plus pauvres et les plus fragiles. Julien Lauprêtre, président du Secours populaire français (SPF), est mort vendredi 26 avril 2019, à Paris. Il avait 93 ans et présidait aux destinées de cette association depuis 1955. Toujours affable, large sourire, regard pétillant, Julien Lauprêtre était un homme d’engagement. Il était né le 26 janvier 1926, dans le 12e arrondissement de Paris. Fils d’un cheminot, militant syndical et communiste, il devint apprenti miroitier après l’obtention de son certificat d’étude. Arrive la guerre. À l’instar de son père qui a rejoint la Résistance, le jeune Julien forme un groupe avec des copains du 12e arrondissement dans le but de s’opposer à l’occupant. Il rejoint l’organisation clandestine des Jeunesses communistes. « Au début, on changeait l’orientation des panneaux de signalisation pour perdre l’occupant allemand », racontait-il. Avant de passer à des opérations de propagande plus importantes, comme des prises de paroles dans les cinémas ou des lâchers de tracts à vélo. Arrêté en novembre 1943, il est incarcéré à la prison de la Santé, à Paris, où il partage pendant huit jours la cellule de Missak Manouchian et des figures de l’Affiche rouge. Libéré au bout de quatre mois, il est sommé de s’inscrire au service du travail obligatoire (STO) et de partir en Allemagne. Ce qu’il refuse. Il quitte alors Paris pour Lyon, où il se cache dans sa famille. À l’été 1944, il revient dans la capitale et prend part aux combats d’août 1944. Après la Libération, devenu l’un des responsables nationaux de l’Union de la jeunesse républicaine de France (UJRF) – appellation de l’organisation des Jeunesses communistes à cette époque – il travaille dans différentes entreprises de miroiterie, avant de devenir, en 1951, permanent du PCF. C’est en 1954, qu’à la demande du parti, il devient secrétaire administratif du Secours populaire français, avant d’être élu secrétaire général un an plus tard. De ce jour et jusqu’à sa mort, il en sera la figure emblématique. Dès lors, avec Julien Lauprêtre, l’association réputée antenne du PCF, prend une nouvelle tournure. L’action humanitaire prend le dessus sur l’action politique. « C’est là que j’ai retrouvé la suite de ce que j’ai fait dans la Résistance », disait-il. Tout en demeurant dans le giron du parti, l’association consacre ses forces à la lutte contre la pauvreté, et s’ouvre à d’autres horizons de pensée que ceux liés au PCF. Ainsi, en 1959, après la rupture du barrage de Malpasset, au-dessus de Fréjus (Var), qui provoque la mort de 423 personnes, le Secours pop’, comme on désignait l’association, lance une grande campagne d’aide aux victimes. S’il n’a jamais renié son attachement au PCF, dont il fut membre du comité central, Julien Lauprêtre, qu’un journaliste avait surnommé « l’abbé Pierre laïc », citait en exergue de son engagement cette phrase de Louis Pasteur : « Je ne te demande pas quelle est ta race, ta nationalité ou ta religion, mais quelle est ta souffrance ». Julien Lauprêtre en avait fait une sorte de vade-mecum dont il ne s’est jamais départi. « Jusqu’au bout il a été présent », a affirmé Corinne Makowski, secrétaire nationale de l’association. L’aide aux enfants défavorisés était une des actions qui tenait le plus à cœur au numéro un du SPF. Il avait été à l’initiative de la Journée des oubliés des vacances, qui, chaque été, permet à des enfants des cités d’aller à la mer, et aussi les Pères Noël verts, en faveur des familles pauvres. Parmi les hommages, outre ceux de Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) pour qui « le Secours populaire et les pauvres perdent leur voix majeure », du maire adjoint de Paris, Ian Brossat (PCF), « il était la générosité faite homme », de Christian Estrosi, maire de Nice (Les Républicains) qui salue « un combattant de l’espoir, de la solidarité et de la dignité », il y a celui de Christophe Robert, directeur général de la Fondation Abbé-Pierre : « De la question alimentaire à celle des vacances, on mesure bien avec son action ce que veut dire la pauvreté, le sentiment d’être hors-jeu, de ne pas pouvoir faire comme les autres ». Source : www.lemonde.fr.
French Prime Minister Édouard Philippe (3L), flanked by co-presidents of the Coordination Council of Armenian organisations of France (CCAF), Mourad Franck Papazian (R) and Ara Toranian (L) and Mayor of Paris Anne Hidalgo (2L), attends a ceremony to commemorate the anniversary of the Armenian genocide, on April 24, 2019, Place du Canada in Paris. Troops from the Ottoman Empire -- which preceded modern-day Turkey -- were responsible for massacres and forced deportations of Armenians from 1915, but Turkey has always denied that the killings amounted to genocide. France was the first major European country to recognise the massacres as genocide in 2001 and French President Emmanuel Macron announced the national day of remembrance in February this year, saying that his country "knows how to look history in the face."
Prise de vue: Mercredi 24 avril 2019, à 18 h. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 222 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 400, Compensation: +1. Flash: non
Le premier ministre, Édouard Philippe, a défendu ce mercredi 24 avril 2019 la décision de la France de faire du 24 avril la journée de commémoration annuelle du génocide arménien de 1915, un sujet à la source de tensions diplomatiques avec la Turquie qui conteste le terme de « génocide ». « Plus d’un siècle après, regarder l’horreur en face est un préalable pour rendre justice », a dit le chef du gouvernement français lors d’une cérémonie à Paris. « Mener un travail de mémoire et d’histoire, courageux et rigoureux, est l’unique manière d’emprunter un chemin de résilience ». « En rendant hommage aux victimes du génocide arménien, la France est fidèle à elle-même, fidèle à ses valeurs, c’est son honneur que de l’assumer », a-t-il ajouté. « Elle ne se laissera impressionner par aucune pression ni par aucun mensonge. Ce que nous recherchons, c’est l’exactitude historique, et la réconciliation ». Selon Erevan, 1,5 million d’Arméniens ont été tués de manière systématique à la fin de l’Empire ottoman entre 1915 et 1917. La Turquie reconnaît qu’un grand nombre d’Arméniens ont été tués par les Turcs durant cette période mais conteste l’idée qu’il y ait eu une volonté systématique de les exterminer, rejetant de ce fait le terme de « génocide ». Le génocide arménien, qui est reconnu officiellement en France depuis 2001, est commémoré chaque année le 24 avril en Arménie et dans le Haut-Karabagh, région séparatiste d’Azerbaïdjan peuplée majoritairement d’Arméniens. Cette date, qui correspond à la rafle et la déportation de plusieurs centaines d’intellectuels arméniens le 24 avril 1915 à Constantinople, a été reprise par Emmanuel Macron qui a annoncé son intention début février dernier d’en faire la journée de commémoration annuelle du génocide, en France. Cette décision a suscité l’ire de la Turquie qui a prévenu, mi-avril que ce geste aurait « inévitablement un impact négatif » sur les relations entre Paris et Ankara. « En instaurant cette journée de commémoration, la France entend contribuer à faire reconnaître le génocide arménien comme un crime contre l’humanité, contre la civilisation », a souligné Édouard Philippe ce mercredi. « La position de la France est constante contre toutes les formes d’oubli, d’indifférence ou de négation qui sont au fond une nouvelle tentative d’anéantissement, car tout génocide porte avec lui, en lui, la tentative de nier le crime commis et d’en camoufler les traces ». Source : www.lefigaro.fr.
Protestor dressed in black sets fire to scooters on a street during the 'Act XXIII' demonstration (the 23th consecutive national protest on a Saturday) near Place de la Republique in Paris, France on April 20, 2019.
Prise de vue: Samedi 20 avril 2019, à 13 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont tenu ce samedi 20 avril leur 23e journée de mobilisation avec un défilé à Paris en forme de nouvel « ultimatum » lancé à Emmanuel Macron. Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation. La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet. Source : www.lefigaro.fr.
Le hacker a récidivé. Le site des articles de Michel Stoupak est redevenu inaccessible avec le même virus ou malware que précédemment. J'ai supprimé les liens vers les six derniers articles de newsimages dans les articles sur jfsaby.com correspondants. Au-delà, c'est à vos risques et périls. Ne cliquez sur rien dans la page qui s'affiche ou son pop-up. Fermez-la simplement. Et contentez-vous des albums complets sur eosworld. Les liens vers ce site sain sont exempts de tout reproche.
Mer 28.08.2019. Article périmé : le site de Michel Stoupak est réparé.
Victime d'une attaque de hacker, newsimages.fr, le site de Michel Stoupak, a été rapidement réparé. Les liens vers ce site (textes et photos) contenus dans jfsaby.com sont donc, depuis hier, de nouveau opérationnels.
Attention : article périmé en raison d'une nouvelle attaque du site. Voir article suivant.
Member of the French Constitutional Council (Conseil Constitutionnel) Alain Juppe (C) visits the outsides of Notre-Dame Cathedral the day after the massive fire that ravaged its roof on April 16, 2019 in Paris, France. A raging fire that tore through Notre-Dame Cathedral in central Paris was extinguished, the city's fire service announced on April 16, around 15 hours after it first broke out. The blaze brought its towering spire and roof crashing to the ground, wiping out centuries of priceless heritage central to French culture and history.
Prise de vue: Mardi 16 avril 2019, à 11 h 24. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/6.3, ISO 500, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 160 mots. Ce mardi 16 avril 2019, de nombreuses personnalités politiques se sont rendues sur le parvis de la cathédrale sinistrée pour exprimer leur émotion après l’incendie survenu la veille. L’embrasement de Notre-Dame de Paris a provoqué une forme d’union nationale dans le monde politique : unanime manifestation de solidarité envers les catholiques qui célèbrent la semaine sainte et soutien à l’initiative gouvernementale de lancer une souscription nationale. Plusieurs formations politiques ont mis, mardi matin, la campagne européenne entre parenthèses. Tête de liste LREM, Nathalie Loiseau suspend sa campagne « jusqu’à nouvel ordre ». L’eurodéputé et membre dirigeant du Rassemblement national, Nicolas Bay, a écourté mardi un point presse au Parlement européen à Strasbourg et annoncé « 24 heures de trêve parce que nous sommes en deuil d’un joyau de notre patrimoine national ». Laurent Wauquiez, président des Républicains, et François-Xavier Bellamy ont annulé leur déplacement et meeting qui devait se tenir mardi 16 avril à Nîmes. Source : ► www.la-croix.com
Flames and smoke are seen billowing from the roof at Notre-Dame Cathedral in Paris on April 15, 2019. A fire broke out at the landmark Notre-Dame Cathedral in central Paris, potentially involving renovation works being carried out at the site, the fire service said.Images posted on social media showed flames and huge clouds of smoke billowing above the roof of the gothic cathedral, the most visited historic monument in Europe.
Prise de vue: Lundi 15 avril 2019, à 19 h 45. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 196 mots. Un important incendie s’est déclaré le lundi 15 avril, vers 18 h 50 à la cathédrale Notre-Dame de Paris en travaux. La charpente a été emportée et la flèche de l’édifice s’est effondrée mais la structure de l’édifice est sauvée et préservée. Le feu est parti des combles de la cathédrale vers 18 h 50. Le procureur de Paris Rémy Heitz a expliqué qu’il y avait « eu une première alerte à 18 h 20, mais aucun départ de feu n’a été constaté ». « Entre-temps, l’église avait été évacuée puisqu’une messe avait débuté peu avant », a-t-il ajouté. Le feu s’est rapidement propagé au toit, dévorant la charpente, longue de plus de 100 mètres. Baptisée « la forêt » en raison du nombre impressionnant de poutres nécessaires à sa confection, provenant chacune d’un chêne différent, elle avait été construite entre 1220 et 1240. 400 pompiers et 18 lances à incendie ont été mobilisés pour sauver l’édifice, les pompiers n’hésitant pas à pomper de l’eau directement dans la Seine, située à quelques dizaines de mètres. Deux policiers et un sapeur-pompier ont été légèrement blessés.
Je ne parviens plus à visiter newsimages.fr, le site de Michel Stoupak et donc à intégrer sur jfsaby.com l'annonce de ses nouveaux articles. La page appelée par n'importe quel lien vers ce site est aussitôt recouverte par un autre site en langue anglaise, différent à chaque fois, avec en pop-up une demande d'autorisation des notifications par ce site intrusif. Il s'agit à n'en pas douter d'un virus. J'ignore si ce virus infecte le site newsimages.fr ou s'il infecte les adresses vers ce site sur mon ordinateur ou sur mon serveur. Si vous ouvrez sans problème les liens vers les articles de Michel Stoupak sur newsimages.fr qui figurent à la fin de chaque article du blog "Les photos de Michel Stoupak" sur jfsaby.com, je crois que j'ai du souci à me faire ! Jeff
Runners compete down the Luxor Obelisk on the Place de la Concorde in Paris during the 43rd edition of the Paris Marathon on April 14, 2019. The Paris Marathon is the 2nd largest marathon in terms of attendance, just behind New York, with 55,000 riders to its credit in 2018.
Prise de vue: Dimanche 14 avril 2019, à 7 h 32. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1250 sec, f/4, ISO 100, Compensation: -2/3. Flash: non
Le Schneider Electric Marathon de Paris a fait son retour ce dimanche 14 avril 2019. Comme le veut la tradition, les 49 155 participants se sont élancés depuis les Champs-Élysées pour parcourir la distance mythique de 42,195 kilomètres en passant par les artères les plus prestigieuses de la capitale française, avec deux nouveaux monuments cette année : l’Opéra Garnier et la Place Vendôme.
France's Clemence Calvin crosses the finish line during the 43rd edition of the Paris Marathon on April 14, 2019 in Paris. Calvin finished fourth in 2:23:41, bettering by 41 seconds the previous national record set in 2010. The Paris Marathon is the 2nd largest marathon in terms of attendance, just behind New York, with 55,000 riders to its credit in 2018.
Prise de vue: Dimanche 14 avril 2019, à 9 h 33. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1600 sec, f/4, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 170 mots. Au cœur d’une affaire judicio-sportive à rebondissements, Clémence Calvin, accusée de s’être soustraite à un contrôle antidopage, a trouvé les ressources pour signer, dimanche 14 avril 2019, sur le marathon de Paris une impressionnante performance qui reste en sursis. Quatrième en 2 h 23 min 41 sec, Clémence Calvin a largement battu le record de France de la distance de Christelle Daunay pour son deuxième marathon seulement après avoir été vice-championne d’Europe à Berlin en 2018. « Je me suis accrochée jusqu’au bout, n’en déplaise à mes détracteurs », a indiqué Clémence Calvin en zone mixte. « Il n’y avait qu’une très faible minorité de personnes malveillantes J’ai le courage de ceux qui tiennent le coup et qui sont plantés comme la tour Eiffel ». Le dossier va maintenant être instruit, ce qui peut prendre plusieurs semaines, avant qu’elle passe devant la commission des sanctions de l’agence. Elle a porté plainte pour « violences et menaces » en début de semaine au Maroc.
Ethiopia's Abrha Milaw (L) and Ethiopia's Gelete Burka (R) celebrate their victory in the men and women category during the podium ceremony of Paris Marathon on April 14, 2019. The Paris Marathon is the 2nd largest marathon in terms of attendance, just behind New York, with 55,000 riders to its credit in 2018.
Prise de vue: Dimanche 14 avril 2019, à 9 h 47. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -2/3. Flash: non
Sous le soleil et avec une température fraîche, 49 155 coureurs ont pris le départ de la course de 42,195 km, selon l’organisation, qui comptait 60 000 inscrits. En haut des classements, l’Éthiopie a trusté les places sur les podiums : Gelete Burka (33 ans) a remporté la course féminine en 2 h 22 min 47 sec devant ses compatriotes Azmera Gebru (à 5 sec) et Azmera Abreha (à 48 sec). Burka, vice-championne du monde en 2015 sur 10 000 m, a placé une forte accélération dans le dernier kilomètre pour se détacher de ses concurrentes.
Ethiopia's Gelete Burka celebrates her victory as she crosses the finish line of Paris Marathon on April 14, 2019. The Paris Marathon is the 2nd largest marathon in terms of attendance, just behind New York, with 55,000 riders to its credit in 2018.
Prise de vue: Dimanche 14 avril 2019, à 9 h 32. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1,600 sec, f/4, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
L’Éthiopienne, Gelete Burka, a remporté avec succès le marathon de Paris 2019 en 2 h 22. Comme souvent, l’Éthiopie a brillé sur le 43e marathon de Paris en réalisant un triplé.
Pro Assange protesters protest in front of the the headquarters of the French Daily Newspaper Le Monde in Paris on April 13, 2019. WikiLeaks founder Julian Assange was arrested on April 11, 2019, by the British police at the Ecuadorian Embassy in central London after his asylum status has been withdrawn by Ecuador’s president Lenin Moreno following 7 years of providing a refuge for the whistleblower. The arrest was made on behalf of the US authorities’ request for extradition over alleged computer related offence and conspiracy with Chelsea Manning for publishing the Iraq War Logs.
Prise de vue: Samedi 13 avril 2019, à 17 h 55. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 19 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
Entre 150 et 250 personnes se sont rassemblées à Paris le 13 avril 2019 devant le siège du journal Le Monde pour exprimer leur solidarité avec le lanceur d’alerte Julian Assange, arrêté le 11 avril par la police britannique après sept années passées à Londres dans l’ambassade d’Équateur, où il avait obtenu l’asile sous la présidence de Rafael Correa. La justice britannique a demandé son arrestation, à la suite de la révocation de son asile par arrestation, au motif qu’il n’avait pas respecté les conditions de sa liberté sous caution en 2012, ce qu’il conteste. Les participants ont vivement dénoncé l’attitude de nombreux médias qui se sont « largement servis des informations révélées par Wikileaks ».
French anti-riot police officers face protesters as yellow vests (Gilets jaunes) gather on the Place de la Republique during the 'Act 22’ demonstration (the 22nd consecutive Saturday national protest) in Paris, France on April 13, 2019. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 13 avril 2019, à 15 h 06. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 250 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 160, Compensation: -1. Flash: non
Les Gilets jaunes se sont rassemblés partout en France ce samedi 13 avril pour leur 22e journée de mobilisation. Les Gilets jaunes craignaient un effet vacances sur la mobilisation. Il n’en a rien été. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, ils étaient 31 000 partout en France ce samedi dont 5 000 à Paris. Un chiffre en hausse par rapport à la semaine dernière où 22 300 personnes s’étaient rassemblées. De leurs côtés, les Gilets jaunes, qui contestent les chiffres officiels, estiment le nombre de participants à « 80 504 », selon la page Facebook de comptage, et évoquent « un petit regain de mobilisation » avant la date « exceptionnelle » du 20 avril.
A pensioner speaks with the press during a rally on April 11, 2019, in Paris, at the call of trade unions on the occasion of a nation-wide day of demonstrations to protest against cuts in their pensions due to government reforms.
Prise de vue: Jeudi 11 avril 2019, à 13 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/7.1, ISO 100, Compensation: -1. Flash: oui
Résumé : 144 mots. Les retraités battent le pavé. Venus protester contre le « vol » de leur pension ou « par solidarité », ils ne sont pas satisfaits de l’attention affichée du gouvernement pour les « retraités modestes ». Cette nouvelle journée de mobilisation des seniors, la septième depuis l’élection d’Emmanuel Macron, était organisée par neuf syndicats et associations de retraités remontés contre l’exécutif, « sourdingue », selon eux, à leurs revendications. À Paris, environ 2 700 personnes, selon la police, ont défilé sous le soleil. Les pensions n’ont augmenté que de 0,3 % en janvier, et « c’est honteux », a estimé Juan Velo, 71 ans, un retraité de l’industrie qui touche 2 500 euros par mois après 42 ans de travail. « Non seulement ils nous volent, mais en plus ils se moquent de nous ! » s’est exclamé le septuagénaire, qui se dit « Gilet jaune tous les samedis ». Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Protesters wearing a yellow vest gather in front of "La Grande Arche de la Defense" (The Great Arc of the Defense), west of Paris, on April 6, 2019 during a demonstration by the 'Yellow Vests' (gilets jaunes) movement on the 21st consecutive Saturday. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 6 avril 2019, à 16 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 171 mots. Pour leur 21e samedi de mobilisation contre la politique sociale et fiscale du gouvernement, les « gilets jaunes » ont enregistré le 6 avril 2019 la plus faible mobilisation depuis le début du mouvement, selon le ministère de l’Intérieur, à deux jours du compte-rendu du grand débat national. À Paris, le principal cortège, parti de la place de la République, a rallié l’esplanade du quartier d’affaires de la Défense, à l’ouest. Les manifestants venus dénoncer « l’art de l’optimisation fiscale » se sont rassemblés sur les marches de la Grande arche avant de se disperser, dans le calme, en fin d’après-midi. « C’est la fin du système capitaliste. Il est mort. Nous le célébrons », a commenté sur place le chanteur Francis Lalanne, vêtu d’un gilet jaune. En chemin, quelques manifestants avaient brièvement tenté de descendre sur le périphérique, avant d’être rapidement repoussés par les forces de l’ordre à l’aide de tirs de gaz lacrymogène.