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Tag: "artistes"
Plusieurs centaines de manifestants — cheminots, étudiants, enseignants, électriciens, gaziers, postiers… — étaient présents au rendez-vous parisien, animé par des pétards, des fumigènes et de la musique. Un faux chèque d’un million d’euros a été remis symboliquement aux fédérations de cheminots par Jean-Marc Salmon, sociologue à l’origine de la cagnotte de soutien lancée par une trentaine d’artistes et intellectuels. « Votre grève soulève de grands espoirs dans le pays », a-t-il assuré au micro face aux manifestants qui l’ont applaudi. La cagnotte, dont le montant avoisinait les 975.000 euros jeudi, a été « prolongée jusqu’au 7 juin », a-t-il précisé l’AFP.
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A fan of French singer France Gall leaves flowers on the enclosure wall of the American hospital in Neuilly, near Paris, on January 7, 2018, where the Eurovision winner died after an infection complication caused by cancer aged 70.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Dimanche 7 janvier 2018, à 16 h 30. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/4, ISO 4000, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Samedi 7 octobre 2017, à 21 h 18. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/40 s, f/4, ISO 2500, Compensation: -5/3 flash: non. Objectif, focale: EF 11-24mm f/4L USM, 12 mm.
EXTRAIT Pour cette Nuit Blanche 2017, organisée le samedi 7 octobre 2017, Charlotte Laubard a invité près de 30 artistes et collectifs à investir le Paris populaire. Pour cette historienne d’art et commissaire d’exposition, c’était simple : la Nuit Blanche devait
se passer au nord, vers La Chapelle, et redescendre vers les Halles, ce quartier très populaire très fréquenté par toute l’Ile de France, pour montrer que l’art est partout et qu’il prend toutes les formes. Paris organise le premier festival Nuit blanche en 2002…
An installation in the Saint-Merri church during the White Night 2017 in Paris on october 7, 2017. Each first Saturday in October, this event invites to see the city in a different way, at night, lit by neons and other lights. In all parts of the city, artists propose installations, exhibitions, concerts performances, trails, staged scene sets and creations that explore all facets of contemporary art and offer a new view of the city. The Nuit Blanche was first organized in 2002, and, like the Fête de la Musique, it has spread around the world to other cities in France and other European capitals.
Anne Hidalgo lance l’édition 2017 de la Nuit Blanche
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Samedi 7 octobre 2017, à 19 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/125 s, f/4.5, ISO 12800, flash: non. Objectif, focale: EF 11-24mm f/4L USM, 13 mm.
Le samedi 7 octobre 2017 en soirée, Anne Hidalgo, Maire de Paris, et Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris, ont lancé officiellement la Nuit Blanche 2017 sur le Parvis de l’Hôtel
de Ville, devant l’œuvre du collectif russe Chto Delat, et aux côtés de Charlotte Laubard, directrice artistique de l’évènement…
The Mayor of Paris, Anne Hidalgo (C), launches the White Night 2017 in front of City Hall on october 7, 2017.
Le Parc de la Villette s’offre une rentrée démesurée : jusqu’au 13 septembre, ses pelouses accueillent « L’Air des géants », une exposition en plein air qui regroupe dix œuvres monumentales en plastique gonflable ou en tissu. Ces œuvres sont déployées sur le parc et en esquissent un parcours inédit où dialoguent bâtiments emblématiques et œuvres contemporaines. Les œuvres présentées sont conçues par des artistes internationaux qui ont ressenti le besoin d’espace pour s’exprimer. Ces œuvres atteignent des dimensions colossales, alors qu’il leur aura suffi d’être transportées dans une valise pour arriver jusqu’à la Villette.
Sur les sites de Michel Stoupak : l’article, l’album complet (29 photos).
Les Frigos est un ancien bâtiment frigorifique construit en 1921 à Paris, puis désaffecté et loué depuis 1980 à des artisans et artistes. Unique en son genre, il regroupe 14 professions différentes réparties sur 87 ateliers abritant 120 professionnels de tous domaines : peintres, sculpteurs, photographes, architectes, éditeur, entreprises, couturière/styliste, luthier… Chaque année, plus de 3 000 viennent s’y former. Pourtant, les Frigos ont failli disparaître en 1992 lors de la construction du nouveau quartier Paris Rive Gauche autour de la Bibliothèque Nationale de France. La farouche volonté des occupants d’y rester l’a emporté.
Outre le nom du bâtiment, quelques indices témoignent encore aujourd’hui de l’histoire des Frigos. Sur le parking de l’entrée, un rail rappelle que le bâtiment construit en 1921 accueillait à l’époque des trains chargés de denrées. Les ateliers qui remplacent aujourd’hui les vastes chambres froides en ont d’ailleurs conservé les portes épaisses. Avec le déménagement des halles de Paris à Rungis à la fin des années 1960, les Frigos perdent leur vocation initiale. Le bâtiment devient une friche jusqu’en 1985. Cette année-là, la SNCF — propriétaire des lieux — en confie la gestion à une agence immobilière. Des dizaines d’artistes, d’artisans et d’entrepreneurs viennent peupler les murs. « La SNCF a eu la bonne idée de louer à bas prix tout en nous foutant la paix », lance France Mitrofanoff, peintre historique des Frigos. L’édifice n’ayant pas ou peu changé en six décennies, les premiers locataires durent d’abord le transformer en lieu de vie. « Chaque occupant a fait ses propres travaux », se souvient Gérard Amsellem, qui possède son atelier au premier étage. Les fenêtres, creusées dans des murs de 70 cm d’épaisseur, témoignent de cette improvisation. Il fallut ensuite installer l’eau et l’électricité.
Les années 1990 marqueront le début de la contestation au sein des Frigos. Un nouveau quartier doit alors émerger dans ce que l’on va désormais appeler la zone d’aménagement concertée Paris-Rive-Gauche. Face à la menace d’une démolition pure et simple des Frigos, deux associations de locataires se forment. Le concours lancé par la Ville pour redessiner le secteur est finalement remporté par Christian de Portzamparc, dont le projet prévoyait le maintien du bâtiment. Les Frigos sont sauvés. En 2004, la mairie de Paris devient propriétaire des lieux après l’envoi par le précédent bailleur Réseau ferré de France d’une mise en demeure d’acquérir. « La Ville est devenue propriétaire sous la contrainte », déplore Jean-Paul Réti, président d’une association de locataires.
Les Frigos is a city-owned building-turned-artists’-squat in the 13th arrondissement not far from the Seine. Built in 1921, Les Frigos used to be a hangar for refrigerated railway wagons. It closed down and was abandoned until the end of the ’60s.
Sur les sites de Michel Stoupak : l’article, l’album complet (87 photos).
© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 7 décembre 2013, à 19 h 43. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III ; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/200e de s, ƒ/4.5, ISO 1000. Flash: non
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© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Dimanche 24 novembre 2013, à 14 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: TS-E17mm f/4L ; focale: 17 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/12e de s, ƒ/8, ISO 200. Flash: non
La SNCF, propriétaire des lieux depuis 1945, autorisa la location d’un premier lot de quinze « surfaces » en 1980. Dès lors, toute une population d’artistes investit cette friche industrielle. Pourtant, dans un bâtiment en partie muré, squatté, en tout cas sinistré, il fallait une bonne dose d’optimisme pour y installer, même en toute légalité, son atelier.
En 1985, une agence de gestion immobilière proposa à la SNCF de gérer ce patrimoine, alors destiné à une probable démolition. Ainsi, de ce lieu isolé, apparemment en perdition, naquit un village peuplé de créateurs et d’entrepreneurs. Aujourd’hui les Frigos représentent le pôle artistique de l’aménagement urbain regroupé sous le nom de Paris rive gauche.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 26 octobre 2013, à 16 h 38. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III ; focale: 235 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/200e de s, ƒ/4, ISO 400. Flash: non
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