Protesters march in the streets of Paris during the 13th "March for Life" (Marche pour la vie) against abortion and medically assisted reproduction on January 20, 2019. The protesters claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Dimanche 20 janvier 2019, 15:05:27. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 1600, Compensation: -1/3 Flash: non
RÉSUMÉ : 265 mots. Plusieurs milliers de personnes, 50 000 selon les organisateurs, 7 400 selon la police, dont beaucoup de jeunes, ont défilé à Paris pour la 13e « Marche pour la vie », le dimanche 20 janvier 2019. « Témoigner sans se lasser des valeurs inaliénables de la dignité humaine et de la vie », c’était le but de cette Marche pour la vie qui, avec une organisation rajeunie, est plus que jamais mobilisée en cette période de révision de la loi de bioéthique, de crise sociale et de convergence des détresses , ont précisé les organisateurs dans un communiqué. « Nous sommes cette année la Marche des exclus du grand débat, les sujets bioéthiques et sociétaux ayant été sciemment exclus du grand débat national organisé par le gouvernement ! » martèlent-ils encore dans cette déclaration. Convaincu de réunir « cette année beaucoup de monde », dans le « contexte » du mouvement des Gilets jaunes, Nicolas Sévillia, délégué général de la Marche, a expliqué qu’ « au-delà de la détresse sociale », c’est « aussi une souffrance immatérielle » qui s’exprime. La PMA pour toutes, « c’est l’arbre qui cache la forêt ». Des choses « beaucoup plus graves » figurent dans le projet de révision, a abondé Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Lejeune. Il fait ainsi référence au rapport parlementaire sur les questions bioéthiques paru cette semaine et qui a fait polémique. Viviane Lambert, qui contestera lundi lors d’une nouvelle audience à Châlons-en-Champagne la procédure d’arrêt des soins pour son fils Vincent, en état végétatif depuis dix ans, s’est déclarée « très impressionnée de voir tout ce monde pour défendre la vie ». Source : www.leparisien.fr, lien à la fin de l'article complet.
Members of the "Witch Bloc" feminist group demonstrate behind riot police as they came to disturb the pro-life movement 13th "March for Life" (Marche pour la vie) anti-abortion rally in Paris on January 20, 2019. Particpants in the march claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 16:38:09 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1//500 sec, f/8, ISO 16000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 207 mots. Face à la « marche pour la vie » qui cherche à « susciter une prise de conscience générale sur la question de l’avortement », organisée dimanche 20 janvier 2019 à Paris, les membres du Witch Bloc Paname comptaient bien faire entendre leur voix. Le collectif militant féministe et révolutionnaire – qui reprend la figure de la sorcière et s’inspire dans sa lutte du groupe W.I.T.C.H, né à Portland contre Donald Trump – s’est donc réuni le même jour, à la même heure, place du Trocadéro, lieu d’arrivée de la Marche pour la vie. Le but ? Défendre le droit à l’IVG, alors que la treizième édition de la Marche pour la vie entend cette année défendre particulièrement la clause de conscience des médecins. Cette disposition en vigueur permet aux praticiens de refuser de pratiquer une interruption volontaire de grossesse en raison de leurs convictions personnelles. Les membres du Witch Bloc – comme on a déjà pu le constater lors des manifestations contre la loi Travail – indiquent par ailleurs se réunir masquées, afin de conserver leur anonymat, et en non-mixité (ici entre femmes et personnes queer). Toutefois, toutes les personnes souhaitant se joindre au rassemblement d’une manière générale sont les bienvenues, précise l’organisation. Source : www.lci.fr, lien à la fin de l'article complet.
Mama Sy (C), a deputy mayor in the Paris suburb of Etampes, speaks with journalists in Austerlitz station, in Paris, on February 28, 2018, where about 20 local officials in the Paris region have vowed to spend Tuesday night outdoors to call attention to the plight of those with nowhere to sleep. "The point is not to stage a show, but to denounce a system that isn't working," said Mama Sy, a deputy mayor in the Paris suburb of Etampes. Paris authorities counted 3,000 rough-sleepers in the city's first-ever homeless census this month, warning it was likely significantly underestimated.
EXTRAIT : 178 mots. Une cinquantaine d’élus d’Île-de-France doit passer la nuit du mercredi 28 février au jeudi 1er mars dans les rues de Paris, en pleine vague de froid, pour réclamer une meilleure prise en charge des sans-abri. L’événement doit rassembler « des élus locaux (…) de tous partis confondus », a expliqué son initiatrice, Mama Sy, adjointe LR à la mairie d’Étampes. Les élus doivent se retrouver à 21 heures à la gare d’Austerlitz, « tous avec un duvet », a-t-elle précisé. Charge ensuite à chacun de trouver comment se réchauffer et passer la nuit dans les rues alentour alors que Météo France annonce des températures légèrement négatives pour la nuit de mercredi à jeudi. Avec cette initiative, les élus veulent dénoncer un « déni de dignité et de solidarité » face à « l’explosion (…) inacceptable » du nombre de sans-abri en France, selon un communiqué. Au moins 3000 sans-abri ont été comptabilisés la nuit à Paris lors d’un récent recensement organisé par la mairie. A Paris, l’opération est loin de faire l’unanimité…
Plusieurs milliers de personnes étaient rassemblées, dimanche 2 avril à Paris, pour exiger « justice » et « vérité » après la mort de Liu Shaoyao, un père de famille chinois de 56 ans, tué le dimanche 26 mars à son domicile du 19e arrondissement par le tir d’un policier. Au milieu de banderoles « Vérité justice, dignité » et d’affiches « J’aime la France », « Pour la paix, la justice ! Contre la violence », les manifestants, roses blanches à la main, se sont retrouvés sur la place de la République pour « un rassemblement de recueillement » à l’appel de plusieurs associations de la com-
munauté chinoise. Les manifestants ont observé une minute de silence au pied de la statue au centre de la place, où avait été tendue une banderole avec la mention « Police assassin, on veut la justice » et la photo de la victime. « Nous voulons faire pression et soutenir la famille pour rétablir la vérité et lutter contre les violences policières », a expliqué Sacha Lin Jung, de l’association Chinois résidant en France, qui a co-organisé le rassemblement.
A memorial for Shaoyao Liu, a 56-year-old father killed by police last week, turns into a violent clash between Chinese protesters and police on April 2, 2017 near Place de la Republique.
Ils étaient plusieurs milliers en marche dans Paris « pour la justice et la dignité » ce dimanche 19 mars 2017. Leur objectif : dénoncer les violences policières, à cinq semaines de la présidentielle et un mois et demi après le déclenchement de l’affaire Théo, du nom de ce jeune homme dont l’interpellation brutale a provoqué d’importantes manifestations en février. C’était la deuxième fois, après octobre 2015, que cette marche, à l’initiative de familles de victimes, était organisée dans la capitale. Mais au lendemain de l’agression de militaires à l’aéroport d’Orly,
un important dispositif de sécurité a été mis en place. Parti de la place de la Nation à 14 h, le cortège s’est rendu place de la République, pour assister à un concert de 18 h à minuit. À l’arrière du cortège, plusieurs centaines de personnes portant capuches, cache-nez et lunettes noires ont tiré des fumigènes de façon sporadique. Quelques vitrines d’établissements bancaires ont été cassées, tandis que des projectiles, dont des cocktails molotov, ont été lancés sur des représentants des forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des grenades lacrymogènes.
People take part in a demonstration called by the families of the victims of alleged police brutality, LDH, the Mrap, CGT and FSU against police brutality, discrimination and racism in Paris on March 19, 2017.
Dix ans après les émeutes en banlieue, plusieurs milliers de personnes ont participé, le samedi 31 octobre 2015, à une « Marche de la dignité » dans les rues de Paris, dénonçant violences policières, racisme et humiliations. Une foule compacte, avec au premier rang des femmes, a commencé à défiler en début d’après-midi derrière une banderole « Marche de la dignité contre le racisme » en scandant « justice, réparations, unité ». Les manifestants, certains arrivés en bus de province, sont partis du quartier populaire de Barbès, dans le nord de la capitale, à l’initiative de la Marche des femmes pour la dignité (Mafed), collectif de femmes soutenues par la militante américaine des droits civiques Angela Davis et des dizaines de personnalités et d’associations luttant contre les discriminations.
Women hold banners saying Black lives matter, Gentrification = Colonization from the inside during a demonstration in Paris on October 31, 2015 to denunciate racism and police violence, ten years after the french riots.
Plusieurs milliers de personnes se sont réunies samedi 5 septembre 2015 après midi sur la place de la République, à Paris, pour un rendez-vous fixé en soutien aux migrants et réfugiés. Le rassemblement intitulé « Pas en notre nom » avait vocation à « montrer notre solidarité et marquer notre indignation » et « demander l’accueil des réfugiés et le respect de la dignité humaine de tous les migrants », selon l’une des pages Facebook initiant le mouvement. « Ouvrez les frontières ! », « Droit d’asile pour toute personne persécutée » ou encore « L’accueil pour moi c’est oui », pouvait-on lire sur des pancartes brandies par les manifestants. D’autres montraient la photo du petit Aylan Kurdi, un Syrien de trois ans retrouvé mort sur une plage de Turquie, une image qui a fait la « une » de nombreux quotidiens à travers le monde, suscitant une grande émotion.