© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Dimanche 10 novembre 2013, à 13 h 04. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 17 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400e de s, ƒ/9, ISO 100. Flash: non
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Des membres de la communauté polonaise de Paris s’étaient donné rendez-vous le dimanche 10 novembre 2013 devant l’église Notre-Dame-de-l’Assomption, à Paris, pour manifester leur mécontentement du retrait du poème épique « Pan Tadeusz » des ouvrages enseignés dans les écoles polonaises, où sa lecture était jusqu’à présent obligatoire.
« Pan Tadeusz », écrit par le poète, écrivain et philosophe Adam Mickiewicz, raconte l’histoire d’un noble polonais au début du XIXe siècle, à une période où la Pologne-Lituanie avait déjà été divisée entre la Russie, la Prusse et l’Autriche. Le livre a été publié en juin 1834 à Paris, et est considéré par beaucoup, en Pologne, comme le dernier grand poème épique de la littérature européenne.
Les manifestants ont ensuite emprunté la place de la Concorde afin de rejoindre le monument à la mémoire de Mickiewicz, une sculpture d’Antoine Bourdelle érigée cours Albert 1er et donnée par la Pologne à la France.
« Pan Tadeusz », écrit par le poète, écrivain et philosophe Adam Mickiewicz, raconte l’histoire d’un noble polonais au début du XIXe siècle, à une période où la Pologne-Lituanie avait déjà été divisée entre la Russie, la Prusse et l’Autriche. Le livre a été publié en juin 1834 à Paris, et est considéré par beaucoup, en Pologne, comme le dernier grand poème épique de la littérature européenne.
Les manifestants ont ensuite emprunté la place de la Concorde afin de rejoindre le monument à la mémoire de Mickiewicz, une sculpture d’Antoine Bourdelle érigée cours Albert 1er et donnée par la Pologne à la France.
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