Il fera beau demain
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Il fera beau demain
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Paradisiaque
Merci à Colette pour l’illustration…
Mais je ne peux me décider à un commentaire tant il en serait de pertinents !
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On n’arrête pas le progrès !
Ah ! Les années ’70 ! L’apparition des sèche-mains électriques. Le mot d’ordre de l’époque était « hygiène » et certes, on a vu la disparition de ces peu ragoutants torchons multi usagers… et multi usages.
Mais… son efficacité était justement controversée, si bien qu’on a vu la notice d’emploi bien souvent complétée d’un graffiti éloquent :
1 – Enfoncer le bouton poussoir (pour les modèles « collector »)
2 – Frictionner vos mains sous le jet d’air chaud.
Et là, les rétrogrades invétérés ajoutaient sournoisement :
3 – Séchez-vous les mains sur votre pantalon.
Ce préambule pour en venir à un avatar des temps modernes de cet objet du progrès :
Le DryMe
Les anglicisants ne manqueront pas d’apprécier le subtil double sens du « sèche-moi, j’en rêve ! »
Cet indispensable instrument du bonheur s’affiche ces derniers temps dans tous les magazines. Si, si, vous l’avez vu… Mais comme le « créatif » du « visuel » à oublié la blonde pulpeuse en action dans sa douche, il faut en venir au « rédactionnel » pour apprendre que cette étrange chose n’est rien moins que l’extension du sèche-mains de jadis à un moderne « sèche corps ».
Et l’ « argumentaire » a été remis au goût du jour. Ce n’est plus l’hygiène que l’on pousse en avant mais, écologie oblige,
l’économie d’énergie
et l’on nous assène l’argument massue :
« Avec une consommation minimum, l'économie d'énergie par rapport à l'utilisation de serviettes est d'environ 90 %. Il s'inscrit dans une démarche écologique et respectueuse de l'environnement ». Texto !
J’ai bien peur que, d’ici peu, le souffle du Mistral ne soit taxé au titre de « l’impact carbone » !
Et pour finir, un clin d’œil à notre hygiénique sèche-mains :
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Le Designer fou gagne en notoriété
On cause de lui dans le poste et il se pare maintenant du titre de « Néotechnologue ».
Que vous soyez fan inconditionnel ou victime perpétuelle du Designer Fou, écoutez au moins les 13 premières minutes de cette émission, Vous vous sentirez moins seuls !
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Dies Irae
En cette circonstance, un mécréant primaire ironiserait facilement sur la passivité de la Mère de Jésus… Mais pouvait-elle décemment s’élever contre la volonté du Père qui avait déjà ordonné à son fils de chasser les marchands du Temple ?
« – Faut tout faire soi-même, Nom de Moi ! »
► Inondations Lourdes : pour certains hôteliers, la messe est dite pour l'été 2013
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Vous avez dit « assistés » ?
Drapeau orange l’autre jour sur la Plage de Bonnegrâce à Six-fours… Et pourtant… l’été est enfin arrivé… 34° sous abri, mer calme, brise légère… Pas d’aileron de requin à l’horizon, pas de méduses… Alors pourquoi cette mise en garde ?
Parce que la baignade est dangereuse.
L’eau n’est qu’à 21° et vous risquez l’hydrocution !
Paraîtrait même que désormais, pour éviter le procès, le restaurant sur la plage doit afficher pareille signalétique sur sa terrasse si la soupe de poisson est trop chaude !
Une petite révision avant les vacances
Drapeau vert : baignade surveillée sans dangers particuliers | Drapeau orange : baignade dangereuse, mais surveillée dans les zones délimitées | ||
Drapeau rouge : interdiction de se baigner sur l'ensemble de la plage | Drapeau jaune : nouvelle norme Baignade interdite (présence de méduses, pollution,…).Le drapeau jaune remplace le drapeau violet. | ||
Drapeau bleu : Plage "sélectionnée pure",drapeau de délimitation de la zone de bain surveillée | Drapeau violet : Baignade interdite (présence de méduses, pollution,…) | ||
Drapeau noir : vent de terre, danger de dérive de tout objet flottant vers le large (bouées, matelas pneumatiques, planche à voile,…) |
Note : Enfin l’on s’est décidé à abolir ce hideux drapeau violet qui jurait si fort à côté des si jolis Pavillons bleus !
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1re épreuve : Philosophie
Entraîné par l’actualité, Le Mot du Jour vous propose lui aussi matière à réflexion.
« Je ne résiste pas au plaisir de lire la note dont Rousseau accompagne ses observations sur l’influence du climat sur le comportement. Il est inconcevable, écrit-il, à quel point l’homme est naturellement paresseux. On dirait qu’il ne vit que pour dormir, végéter, rester immobile. À peine peut-il se résoudre à se donner les mouvements nécessaires pour s’empêcher de mourir de faim. Rien ne maintient tant les sauvages dans l’amour de leur état que cette délicieuse indolence. Les passions qui rendent l’homme inquiet, prévoyant, actif ne naissent que dans la société. Ne rien faire est la première et plus forte passion de l’homme, après celle de se conserver. Si l’on se regardait bien, l’on verrait que même parmi nous c’est pour parvenir au repos que chacun travaille. C’est encore la paresse qui nous rend laborieux… »
Ce sujet a été emprunté à Philippe Meyer
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Fête des Pères
Une souris pour cadeau, pour la fête des pères !
L’idée n’est pas banale, voire un peu cavalière…
On me suppose encore le reflexe exercé
Pour dompter les ardeurs d’une jeune énervée !
Elle glisse sur le tapis, et sitôt qu’on la frôle
Saute d’un coin à l’autre, et je perds tout contrôle !
Pour la calmer il faut avoir la main experte,
D’un index soyeux titiller sa molette,
Si l’on sait, du majeur montrer la fermeté
Elle dévoile sans pudeur mille propriétés :
Choisir l’accès rapide, insérer plein de choses.
À ce jeu mon grand doigt va risquer l’ankylose !
Le soir, quand je la quitte et la laisse en repos
Il faut encore une fois la mettre sur le dos
Et la gratifier d’une caresse habile
Pour la passer sur off et préserver sa pile.
Mais déjà ça va mieux. Elle ne m’échappe plus.
Elle et moi, bons amis, libres de toute attache
On va faire plein de trucs connus et inconnus…
…Sans que j’aille toutefois me tuer à la tâche !
Merci !
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Le mot du Jour ramène sa science
Allez donc savoir comment on en arrive, après la tartiflette et avant l’ananas amélioré, à disserter sur les miles, les nœuds, la marine à voile et l’âge du capitaine… Et qu’alors je la ramène avec une science que l’honnêteté commande de restituer à son auteur.
« Blog » a un long destin cahoteux, dont la tangente numérique date d'une dizaine d'années. À sa genèse, il ne s'agissait que d'une simple pièce de bois (« log » en anglais). Les premiers marins jetaient un rondin par-dessus bord, à la poupe de leur bateau. En comptant le temps écoulé pour qu'il s'éloigne, ils estimaient ainsi la vitesse du navire.
Plus tard, les navigateurs affinèrent le système en reliant à une corde des pièces de bois à espaces réguliers. Les « logs » jetés à la mer permettaient de mesurer plus précisément l'allure du bateau. Les données collectées étaient soigneusement consignées sur un carnet de bord, un journal de logs. Le terme « log » s'écarte ainsi de son sens originel et commence sa seconde vie : il désigne dès lors les carnets de bord des capitaines aux longs cours. Au début du XXe siècle, les hommes partent à la conquête du ciel, et « log » gagne les airs sous la forme des journaux de bord des pilotes de l'aviation. Au milieu des années 1990, les nouveaux espaces à conquérir sont sur le réseau des réseaux : le Web. Les pionniers de la Toile (pour la plupart américains) y ouvrent des journaux personnels, à destination de la naissante communauté des internautes, des « web-logs ». De la contraction de ces deux termes naît le mot-valise « blog ».
Blog serait donc né outre-Atlantique. Une tache dans la langue française que la commission générale de terminologie et de néologie s'est efforcée, en vain, d'effacer.
Le 9 juin 2005, le ministère de l'éducation nationale publiait, sur son bulletin officiel, sa décision de remplacer « blog » par « bloc-notes », voire « bloc » pour sa forme abrégée.
Une décision tardive : les blogs francophones se comptaient déjà par millions, notamment grâce au succès qu'ils remportent encore auprès des adolescents. Les Québécois ont, pour leur part, préféré franciser l'existant : blog est devenu « blogue ».
Reste que les déclinaisons de ce qui n'était qu'une bûche au début de l'histoire sont nombreuses. « Bloguer » est devenu un verbe et « blogueur » un nom commun.
La « bloguitude » n'est plus très loin.
Eric Nunès - Le Monde du 04/04/2007
Bravo Annie ! C’était une Tartiflette d’anthologie !
(Sans bloague !)
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À la manière de la « Messe au Pendu » de Brassens
À première lecture j’ai cru à un inespéré recul de l’obscurantisme… Et puis… Ils bénissent bien les armes, les bateaux, les motos, les animaux… Pourquoi pas les zomos ?
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Vu à la télé
(pas à « 30 millions d’amis », hier à « C à vous »)
Une femme-de-garenne venant exposer ses « grandes joies et petits tracas » à avoir fait 12 petits… et déclarant n’avoir peut-être pas dit son dernier mot…
Eh ! Les Amis de la Nature !
Va falloir élargir votre banderole !
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