Totor & Jojo (1)
J'en ai déjà fait ici l'aveu contrit sinon repentant mais depuis la Communale, je développe une inexplicable Victorhugophobie. La faute à ses presque-veuves de marins bretons et de leur marmaille pleurnicharde ? À ces trop chères têtes blondes privées de confiture ? Est-ce dû aux sonores alexandrins brossant le tableau pompier des « lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil » ? Ou bien à Cosette balayant la cour pieds nus dans la neige tandis que l'autre colosse soulève des charrettes ? Va savoir d'où me vient cet irrationnel rejet de notre poète national à face de Père Noël… Quelques années plus tard, il a fallu l'intercession de Tonton Georges, de sa diction et de ses accords pour que je prête une oreille moins désinvolte à la grandiloquence du Panthéonisé :
C'est ciselé… On dirait du Brassens !
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