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La justice a ordonné sa démolition, en février 2020. Deux ans après, la maison en bois de Saint-Efflam, à Plestin-les-Grèves, est toujours debout, face à la mer. Ses propriétaires oscillent entre fatalité et optimisme. Leur seul espoir : que les défenseurs de l’environnement se satisfassent de la probable confirmation du jugement en appel.

Ce blog suit attentivement l'affaire de la maison en bois de Saint-Efflam. Le Télégramme aussi. Le quotidien publie en rubrique Plestin-les-Grèves un article de Jennifer Pinel qui fait le point. Il y a deux ans, le tribunal a ordonné la démolition de la bâtisse. Elle est toujours debout. Le tribunal d'appel n'a toujours pas clos l'instruction. Les propriétaires se réjouissent en l'occurrence de la lenteur de la justice. Mais ils ne doutent guère que la démolition sera confirmée. En attendant, ils profitent de la maison au maximum et quand ils ne peuvent y aller, ils la prêtent à des amis.

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