Mon médecin traitant n’ayant pas reçu, au bout de 18 jours des résultats d’analyse qui m’avaient été promis pour 8 à 10 jours, je me suis rendu hier à la clinique de la Baie pour voir si le service de radiologie les avait reçus, sans penser qu’un samedi après-midi, ce service pouvait être fermé. Il l’était.
Au moment de repartir, le RAV4 m’a fait un refus de démarrer. Problème de batterie (elle a pourtant été changée en juillet) ou de démarreur ? J’ai bien ouvert le capot, mais bon, vous me connaissez ! Alors j’ai demandé à mes pieds de me conduire au garage Toyota, distant de trois bons kilomètres. Là, on ne pouvait rien faire pour moi (nous étions samedi) mais on m’a demandé si j’avais pensé à appeler l’assistance de mon assurance. Je n’y avais pas pensé ! Finalement j’ai décidé de retourner vers la voiture pour faire ce qui venait de m’être suggéré.
J’étais arrivé à environ 800 mètres de l’objectif, lorsqu’un camping-cariste s’est arrêté pour me demander s’il y avait un camping dans le secteur. J’ai d’abord pensé à celui de Primel-Trégastel, en Plougasnou. Mais c’est loin et il n’est pas certain qu’il soit encore ouvert fin septembre. C’est alors que m’est venue une idée lumineuse : vous m’aidez en m’emmenant jusqu’à la clinique et je vous aide en vous hébergeant sur mon terrain pour la nuit. Du donnant donnant, en quelque sorte. C’est ce qui fut fait. Pour l’anecdote, je précise que le monsieur du camping-car (un retraité qui avait travaillé dans la mécanique, m’a dit son épouse) a vite décelé le problème : un écrou de la cosse de batterie desserré. J’ai donc pu repartir et le beau camping-car Fleurette m’a suivi jusqu’à Kéradennec.
Mes invités, immatriculés dans la Manche, ont quitté le Kéradennec-Camping ce matin à 9 h 50, pour continuer leur tour de Bretagne.
Au moment de repartir, le RAV4 m’a fait un refus de démarrer. Problème de batterie (elle a pourtant été changée en juillet) ou de démarreur ? J’ai bien ouvert le capot, mais bon, vous me connaissez ! Alors j’ai demandé à mes pieds de me conduire au garage Toyota, distant de trois bons kilomètres. Là, on ne pouvait rien faire pour moi (nous étions samedi) mais on m’a demandé si j’avais pensé à appeler l’assistance de mon assurance. Je n’y avais pas pensé ! Finalement j’ai décidé de retourner vers la voiture pour faire ce qui venait de m’être suggéré.
J’étais arrivé à environ 800 mètres de l’objectif, lorsqu’un camping-cariste s’est arrêté pour me demander s’il y avait un camping dans le secteur. J’ai d’abord pensé à celui de Primel-Trégastel, en Plougasnou. Mais c’est loin et il n’est pas certain qu’il soit encore ouvert fin septembre. C’est alors que m’est venue une idée lumineuse : vous m’aidez en m’emmenant jusqu’à la clinique et je vous aide en vous hébergeant sur mon terrain pour la nuit. Du donnant donnant, en quelque sorte. C’est ce qui fut fait. Pour l’anecdote, je précise que le monsieur du camping-car (un retraité qui avait travaillé dans la mécanique, m’a dit son épouse) a vite décelé le problème : un écrou de la cosse de batterie desserré. J’ai donc pu repartir et le beau camping-car Fleurette m’a suivi jusqu’à Kéradennec.
Mes invités, immatriculés dans la Manche, ont quitté le Kéradennec-Camping ce matin à 9 h 50, pour continuer leur tour de Bretagne.
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