La décision du tribunal concernant la possible démolition de la maison Bourdin, à Plestin-les-Grèves, sera finalement rendue le 27 février.
Dans son édition de mardi, Le Télégramme a publié un intéressant entretien d'Olivier Lozachmeur, docteur en droit public et spécialiste de la loi Littoral, avec Dominique Morvan.
Le cas de la maison en bois de Saint-Efflam, en Plestin-les-Grèves, y est notamment évoqué. Olivier Lozachmeur ne sait pas que le tribunal de Saint-Brieuc va, le jour-même de la parution, reporter une nouvelle fois sa décision. Mais il estime que « Pour la loi Littoral, certains élus jouent avec le feu ». Il constate : « Certains élus tentent le coup en se disant “pas vu, pas pris”, comme on le fait tous en brûlant un stop. Ils donnent un permis : s’il y a un recours, tant pis, et s’il n’y en a pas, tant mieux ».
S'agissant de la maison de Saint-Efflam, Le juriste fait part de ses craintes : « À Plestin-les-Grèves, on connaît le problème depuis longtemps. Il n’y avait pas de conséquences jusqu’alors mais, aujourd’hui, les associations demandent la démolition d’une maison. C’est relativement rare, mais j’ai un peu peur pour cette famille que la destruction soit ordonnée. Malheureusement, ça tombe sur elle. Elle a été imprudente, mais c’est aussi la faute de la mairie ». Jugement le 27 février.
Le cas de la maison en bois de Saint-Efflam, en Plestin-les-Grèves, y est notamment évoqué. Olivier Lozachmeur ne sait pas que le tribunal de Saint-Brieuc va, le jour-même de la parution, reporter une nouvelle fois sa décision. Mais il estime que « Pour la loi Littoral, certains élus jouent avec le feu ». Il constate : « Certains élus tentent le coup en se disant “pas vu, pas pris”, comme on le fait tous en brûlant un stop. Ils donnent un permis : s’il y a un recours, tant pis, et s’il n’y en a pas, tant mieux ».
S'agissant de la maison de Saint-Efflam, Le juriste fait part de ses craintes : « À Plestin-les-Grèves, on connaît le problème depuis longtemps. Il n’y avait pas de conséquences jusqu’alors mais, aujourd’hui, les associations demandent la démolition d’une maison. C’est relativement rare, mais j’ai un peu peur pour cette famille que la destruction soit ordonnée. Malheureusement, ça tombe sur elle. Elle a été imprudente, mais c’est aussi la faute de la mairie ». Jugement le 27 février.
Sources
► « Pour la loi Littoral, certains élus jouent avec le feu »
► Le tribunal reporte sa décision pour la maison menacée de Plestin-les-Grèves
Autres articles
► Mardi 24.04.2018. Plestin-Les-Grèves : la maison en bois de Saint-Efflam menacée de démolition
► Lundi 18.11.2019. Au tribunal, le 3 décembre. Ça chauffe pour la maison en bois de Saint-Efflam !
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