Bob Sinclar était l’invité de la radio lilloise Contact, dans le cadre de l’émission « Électron libre », diffusée en direct depuis la Grand’ Place de Lille, le samedi 31 août 2013, durant la braderie. Bob Sinclar, de son vrai nom Christophe Le Friant, a sorti le 2 avril 2013 un nouvel album Paris By Night (A Parisian Musical Experience). Cet album comprend de nombreux morceaux qui contiennent des samples célèbres tels que « Far l’amore » de Raffaella Carrà, ou « Le Aventure Di Pinocchio » de Fiorenzo Carpi pour le titre « Groupie ».
Jusqu’à la Première Guerre mondiale, le nom de Vieux-Lille était attribué à toute la partie de la ville antérieure à l’agrandissement de 1858. Au cours de la Première Guerre mondiale, les alentours de la rue de Béthune, de la gare et de la rue du Molinel sont détruits et le Palais Rihour est incendié. Les zones détruites sont reconstruites selon les modes des années trente, Art déco autour de la rue du Molinel, néo-régionaliste rue Faidherbe et rue de Béthune.
Dans les années 1930 et 1950, la destruction du quartier populaire de Saint-Sauveur, pour faire place à un quartier modernisé autour du nouvel hôtel de ville d’Émile Dubuisson, fait du Vieux-Lille le dernier témoignage de l’architecture de la ville avant la révolution industrielle.
Le Nord du centre-ville reste alors la seule partie ancienne de Lille totalement « préservée ». Elle échappe en réalité à la modernisation et, de ce fait même, est de plus en plus délaissée par les habitants les plus favorisés. C’est probablement de cette époque que date le glissement du nom de « Vieux-Lille » vers ce seul périmètre.
Quartier d’immigrés et de familles jusque dans les années 1980, traînant une mauvaise réputation, il a échappé à un projet de voie rapide en son centre. Il a été au contraire restauré sous les mandats successifs de Pierre Mauroy et est devenu aujourd’hui un quartier commercialement très dynamique. On y trouve beaucoup de bars, restaurants, et boutiques diverses, notamment de luxe. Depuis sa réhabilitation, le prix de l’immobilier n’a cessé d’y augmenter, renouvelant presque entièrement sa population et entraînant un rapide embourgeoisement du quartier.
La braderie de Lille (Nord), le plus grand marché aux puces d’Europe, a ouvert ses portes pour deux jours le samedi 31 août 2013 et au moins deux millions de personnes étaient attendues durant tout le week-end, prêtes à jouer des coudes dans les rues de la ville, à la recherche de bonnes affaires. La braderie et ses 10.000 exposants réunis sur 100 km d’étals dans presque tout le centre de la capitale des Flandres se déroule traditionnellement le premier week-end de septembre.
Ce rendez-vous incontournable et multiséculaire débute officiellement le samedi à 14 h, à l’issue du semi-marathon et du 10 km, auxquels ont participé cette année près de 12.000 coureurs.
Le maire de Paris Bertrand Delanoë a inauguré dimanche la « Place de l’Hôtel de Ville – Esplanade de la Libération », nouveau nom du parvis de l’Hôtel de Ville, à l’occasion des commémorations célébrant le 69e anniversaire de la Libération de Paris, dans la nuit du 24 au 25 août 1944. La nouvelle dénomination, votée à l’unanimité par le Conseil de Paris le 22 avril, a été solennellement dévoilée par le maire socialiste au terme d’une cérémonie sur la place en l’honneur des combattants de la Libération, en présence du ministre délégué aux Anciens combattants Kader Arif. Un hommage particulier a été rendu au Conseil national de la Résistance, né il y a 70 ans sous l’égide de Jean Moulin, avec la projection d’un film. Étaient présentes la première adjointe de M. Delanoë, Anne Hidalgo, candidate PS à la mairie de Paris, ainsi que son adversaire UMP Nathalie Kosciusko-Morizet, petite-fille du résistant Jacques Kosciusko-Morizet.
Alors que le secrétaire d’Etat aux Anciens combattants, Kader Arif, présidait, le dimanche 25 août 2013, le 69e anniversaire de la Libération de Paris sur le parvis de l’Hôtel de Ville, des Espagnols et sympathisants ont été autorisés, pour la deuxième fois consécutive, à déployer des drapeaux espagnols devant la plaque commémorant le parcours suivi par la 9e compagnie de la 2e DB du général Leclerc lors de la Libération de Paris. Le général avait lancé l’offensive le 24 août 1944 en donnant l’ordre d’entrer sans délai dans Paris au capitaine Dronne, chef de la 9e compagnie composée de 146 républicains espagnols et baptisée la Nueve. L’officier, passant par la porte d’Italie, avait foncé sur le centre de la ville à la tête de deux sections de cette compagnie et le premier véhicule de la Nueve est arrivé place de l’Hôtel de-Ville le 24 août 1944 peu après 20 heures. Rescapés de la guerre civile contre Franco, engagés dans l’armée de la France libre, les républicains espagnols de la Nueve libéreront ensuite l’Alsace et la Lorraine, se battront en Allemagne.
Sur les 146 qui avaient débarqué en Normandie, seuls 16 d’entre eux seront encore là pour pénétrer – les premiers – dans le nid d’aigle d’Hitler, à Berchtesgaden.
Une quinzaine de membres du mouvement raëlien ont manifesté le dimanche 25 août 2013 à Paris, en retirant leur t-shirt pour défendre l’égalité entre les hommes et les femmes et le droit au topless pour tous. Une marche entre la place Saint-Michel et le quai de Corse, pour laquelle la préfecture de Police de Paris n’avait pas spécialement autorisé de seins nus sur la voie publique. Reconnaissables à leur pendentif, une svastika montée sur une étoile de David, les Raëliens avaient néanmoins enlevé le haut pour la manif, gardant pour les hommes, un haut de maillot de bain, pour les femmes un soutien-gorge. Une démarche soutenue par l’association Go Topless, fondée en 2007 par Raël, leader spirituel du mouvement raëlien après qu’une New Yorkaise ait été condamnée à une amende pour avoir fait du topless. La philosophie raëlienne explique que la vie sur Terre a été créée par une civilisation extraterrestre très avancée scientifiquement, composée de femmes et d’hommes, ayant créé l’être humain à leur image, seins inclus.
Une centaine de personnes ont manifesté le samedi 24 août 2013 sur l’esplanade des Invalides, au centre de Paris, en face du ministère des Affaires étrangères, pour dire « A bas l’armée » et réclamer le retour au pouvoir du président islamiste déchu Mohamed Morsi. Mohamed Morsi, premier chef de l’Etat élu démocratiquement en Egypte, issu des rangs des Frères musulmans, a été renversé et arrêté le 3 juillet 2013 par l’armée égyptienne, dirigée par le général Abdel Fattah al-Sissi. Les manifestants, hommes, femmes voilées pour la plupart, et enfants, brandissaient des drapeaux égyptiens mais aussi quelques syriens et algériens, des photos de victimes des violences, des portraits du président déchu et un slogan sur fond jaune : « Silence kills ».
Pourtant, c’était promis, plus de photos pendant trois semaines de vacances « au vert », c’est-à-dire loin de l’agitation parisienne, des manifestations, de la politique, des peoples, du show bizz. Et bien non, cela aurait quand même été dommage de passer à côté de ces petits riens qui font toute la beauté de nos campagnes, dont voici quelques aperçus. En France, pour l’Insee, une commune est dite rurale quand elle n’atteint pas le seuil de 2 000 habitants. Ces communes rurales regroupent 25,3 % de la population française. D’autres critères peuvent être pris en compte statistiquement pour définir l’espace rural, comme la part de l’emploi alloué aux activités primaires ou le manque d’accès à certains équipements. Plus de 39 % de la population française (22,8 millions de personnes) habitent en zones rurales ou en zones péri-urbaines. Après un lent déclin au XXe siècle, l’espace rural connaît a nouveau un dynamisme démographique.