Alexis Corbière gazé et bousculé en marge du défilé des Gilets jaunes
▼▲ Données techniques de la photo 1/5
Prise de vue: Samedi 16 novembre 2019, à 14 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 26 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 6400. Flash: non
Résumé : 248 mots. Le député de La France insoumise Alexis Corbière assure qu’il a été pris à partie en marge du « parcours déclaré » des Gilets jaunes à Bastille à Paris, samedi 16 novembre 2019, à l’occasion de « l’acte 53 » du mouvement. Dans une vidéo publiée avec son tweet, on peut voir le député très énervé reprocher aux policiers leur comportement.
Selon lui, les CRS l’ont « d’abord bousculé », avant d’utiliser « du gaz lacrymo ». La vidéo, qui dure 23 secondes, s’arrête alors qu’un CRS demande à la personne en train de filmer de reculer. On ne voit pas les CRS s’en prendre à lui physiquement ou faire usage de gaz lacrymogène dans les images qui circulent (à l’exception de celles diffusées dans cet article – NDLR). Dans la foulée, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, lui a apporté son soutien à sa façon. « C’est cette milice qui provoque le désordre », a lancé sur Twitter l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Il va donc plus loin qu’Alexis Corbière en accusant les forces de l’ordre de l’avoir « frappé », alors que ce dernier n’en fait pas état dans son tweet initial.
Samedi en fin d’après-midi, la préfecture de police n’avait pas répondu aux accusations d’Alexis Corbière et de Jean-Luc Mélenchon, alors que des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu tout l’après-midi place d’Italie à Paris. Source
Selon lui, les CRS l’ont « d’abord bousculé », avant d’utiliser « du gaz lacrymo ». La vidéo, qui dure 23 secondes, s’arrête alors qu’un CRS demande à la personne en train de filmer de reculer. On ne voit pas les CRS s’en prendre à lui physiquement ou faire usage de gaz lacrymogène dans les images qui circulent (à l’exception de celles diffusées dans cet article – NDLR). Dans la foulée, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, lui a apporté son soutien à sa façon. « C’est cette milice qui provoque le désordre », a lancé sur Twitter l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Il va donc plus loin qu’Alexis Corbière en accusant les forces de l’ordre de l’avoir « frappé », alors que ce dernier n’en fait pas état dans son tweet initial.
Samedi en fin d’après-midi, la préfecture de police n’avait pas répondu aux accusations d’Alexis Corbière et de Jean-Luc Mélenchon, alors que des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu tout l’après-midi place d’Italie à Paris. Source
► L'article complet : 324 mots avec un diaporama de 13 photos |
Created by stoupak • Last edit by jeff on Novembre 28th, 2019
Aucun commentaire pour le moment
Formulaire en cours de chargement...