EPR de Flamanville. « Un échec pour toute la filière électro-nucléaire française » selon Bruno Le Maire
▼▲ Caption (légende en anglais de la photo 1/5)
(From L to R) French Minister for the Ecological and Inclusive Transition Elisabeth Borne, French Finance and Economy Minister Bruno Le Maire, French energy giant EDF's CEO Jean-Bernard Levy and report head Jean-Martin Folz give a press conference to present a report concerning the construction of the EPR at the Flamanville nuclear plant, at the ministry of Economy, in Paris, on October 28, 2019.
▼▲ Données techniques de la photo 1/5
Prise de vue: Lundi 28 octobre 2019, à 10 h 33. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/5, ISO 2000, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 161 mots. Le Ministre de l’Économie a reçu ce lundi 28 octobre 2019 le rapport Folz, un audit sur les difficultés et les retards accumulés pour la construction de l’EPR de Flamanville.
Bruno Le Maire a affirmé que ce projet est « un échec pour toute la filière électro-nucléaire française » et prévient qu’il faudra « en tirer les leçons et conséquences ».
Le ministre a en effet décidé de rendre public le rapport qu’EDF a commandé à Jean-Martin Folz en juin 2019 sur la construction de l’EPR de Flamanville, soit trois mois avant l’annonce publique, le 9 octobre, d’un nouveau surcoût de 1,5 milliard d’euros et d’un report à 2023 de la mise en service du réacteur nucléaire, suite à un problème de soudures à refaire.
Un problème identifié officiellement dès début 2017, qu’EDF pensait pouvoir contourner.
L’Autorité de sûreté du nucléaire en a décidé autrement. Source.
Bruno Le Maire a affirmé que ce projet est « un échec pour toute la filière électro-nucléaire française » et prévient qu’il faudra « en tirer les leçons et conséquences ».
Le ministre a en effet décidé de rendre public le rapport qu’EDF a commandé à Jean-Martin Folz en juin 2019 sur la construction de l’EPR de Flamanville, soit trois mois avant l’annonce publique, le 9 octobre, d’un nouveau surcoût de 1,5 milliard d’euros et d’un report à 2023 de la mise en service du réacteur nucléaire, suite à un problème de soudures à refaire.
Un problème identifié officiellement dès début 2017, qu’EDF pensait pouvoir contourner.
L’Autorité de sûreté du nucléaire en a décidé autrement. Source.
► L'article complet : 318 mots avec un diaporama de 21 photos |
Created by stoupak • Last edit by jeff on Octobre 30th, 2019
Aucun commentaire pour le moment
Formulaire en cours de chargement...