Dessiné par Gilles Clément, le jardin du Musée du Quai Branly, fait partie intégrante du musée.
Jardin buissonnant abrité de la rumeur du quai par une haute palissade de verre, il s’étend sur 18.000 m² et donne au flâneur une impression de foisonnement. Chênes, érables, rosiers, roseaux, magnolias et graminées : la majorité des espèces plantées sont des végétaux issus des milieux tempérés. Seule unité dans ce foisonnement, la couleur blanche des espèces qui fleurissent au printemps ou à l’été : cerisiers du Tibet, magnolias de Soulange, hydrangea, anémone du Japon, luzule, muguet.
Tag: "chêne"
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Sur le site de Michel Stoupak : l'article
© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 30 juin 2013, à 14 h 14. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: non renseigné ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500e de s, ƒ/8, ISO 100. Flash: non
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dans une présentation différente
Avec le concours de l’Agence des espaces verts de la Région (AEV), le parvis de l’hôtel de ville de Paris se transforme, du 15 juin au 12 juillet 2013, en un jardin éphémère. Certains y verront un retour de la nature en ville, d’autres une façon de se sentir en été un peu avant l’heure.
« Les thèmes de cette année sont les nouveaux paysages et leur évolution dans la métropole depuis une dizaine d’années », explique Adélaïde Dupré de Pomarède, paysagiste à la Ville de Paris. En seulement quatre jours, ce nouveau décor s’est installé grâce à une équipe travaillant jour et nuit. Pour composer ce tableau, ont été disposées des herbes folles, ou des « mauvaises herbes » – afin d’illustrer celles qui s’immiscent dans la ville –, des herbes de friches et même de véritables arbres : érables, chênes, peupliers, bouleaux.
« Les thèmes de cette année sont les nouveaux paysages et leur évolution dans la métropole depuis une dizaine d’années », explique Adélaïde Dupré de Pomarède, paysagiste à la Ville de Paris. En seulement quatre jours, ce nouveau décor s’est installé grâce à une équipe travaillant jour et nuit. Pour composer ce tableau, ont été disposées des herbes folles, ou des « mauvaises herbes » – afin d’illustrer celles qui s’immiscent dans la ville –, des herbes de friches et même de véritables arbres : érables, chênes, peupliers, bouleaux.
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