Paris' Mayor Anne Hidalgo (C) opens a new building for social housing in the sixteenth district of Paris, on January 31, 2019, and celebrates the funding of 100,000 social housing in Paris since the year 2001.
Prise de vue: Jeudi 31 janvier 2019, à 11 h 13. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -4/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 213 mots. C’était en 2001. En toute illégalité, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, avait imposé aux promoteurs immobiliers de réserver une part de logements sociaux dans les opérations résidentielles neuves. Quelques années plus tard, la pratique était banalisée, officialisée et intégrée au plan local d’urbanisme de la capitale. Le seul moyen pour des ménages modestes d’y habiter. À Paris, entre les loyers du secteur social, environ 7 euros par mètre carré par mois, et ceux du privé, l’écart est au moins du triple. Depuis 2014, Anne Hidalgo inaugure régulièrement des résidences locatives sociales. Au 45-47 avenue du Maréchal-Fayolle, dans un 16e arrondissement traditionnellement peu accueillant pour ce type de voisinage, elle a célébré ce jeudi 31 janvier 2019 le record de 100.000 logements financés depuis l’arrivée de la gauche à la mairie. « Financés ne veut pas dire construits, mais ils le seront, les opérations prennent du temps, plus de dix ans parfois, mais nous sommes pugnaces », précise Serge Contat, le directeur général de la RIVP, l’un des grands bailleurs de la ville. Le pourcentage de logements sociaux est ainsi passé de 13,1 % en 2001 à 20,5 % en 2017 sans que les Parisiens ne le remarquent : les immeubles sociaux ressemblent aux autres et se fondent dans le paysage. Source : www.lesechos.fr, lien à la fin de l'article complet.
Jobseekers talk with members of French Social Security recruitment departement at the "Paris pour l'emploi" (Paris for Employment) recruitment forum on March 6, 2018, at the Grande Halle de La Villette in Paris. The French Government announced in late 2017 the launch of a skills investment plan, PIC (Plan d’investissement compétences) for 2018 to 2022. The aim of the five-year plan is to train a million low qualified job seekers and a million young people furthest from the labour market.
EXTRAIT : 133 mots. Ce mardi 6 mars 2018, entre 10 000 et 15 000 jeunes jusqu’à 35 ans étaient attendus par 290 recruteurs sous la grande halle de la Villette pour le salon « Paris pour l’emploi des jeunes », proposé par la Ville de Paris. 4 000 offres d’emploi ou de formation étaient proposées par 290 entreprises, collectivités ou associations, représentant 300 métiers. Dans le top 5 des secteurs qui recrutent : le commerce et la vente, le tertiaire (accueil, gestion, RH), l’hôtellerie-restauration mais aussi l’informatique et le numérique. « Il y a tout type de contrats et on embauche autant de jeunes diplômés que de bac + 2, + 5 ou +8 » assurait l’organisatrice. Le vrai plus du salon, c’est de garantir des rendez-vous en face-à-face avec des recruteurs.
Dans les parcs parisiens, arbres, arbustes et plantes herbacées de toutes origines se parent à l’automne de couleurs vives, offrant un contraste visuel avec l’environnement de verre et de métal des architectures urbaines modernes.
Pour célébrer la Fête Nationale 2013, la ville de Choisy-le-Roi, dans le Val de Marne, a décidé pour la deuxième année consécutive de tirer le traditionnel feu d’artifice à partir d’une péniche immobilisée pour la circonstance au milieu du fleuve, le 13 juillet au soir. Seule commune du Val-de-Marne à être située sur les deux rives de la Seine, Choisy-le-Roi doit une large part de sa fortune au fleuve. C’est à cet endroit que la traversée est la plus commode et la plus fréquente dès le XIIIe siècle, c’est grâce au fleuve que Choisy devient une résidence princière et royale, c’est lui encore qui est à l’origine du développement industriel qui donnera naissance au Choisy actuel. Au vu de cette relation de la ville à l’eau, la commune a décidé récemment d’entreprendre plusieurs projets qui visent à modifier le rapport des habitants au fleuve, et à permettre une reconquête des bords de Seine.
Avec le concours de l’Agence des espaces verts de la Région (AEV), le parvis de l’hôtel de ville de Paris se transforme, du 15 juin au 12 juillet 2013, en un jardin éphémère. Certains y verront un retour de la nature en ville, d’autres une façon de se sentir en été un peu avant l’heure. « Les thèmes de cette année sont les nouveaux paysages et leur évolution dans la métropole depuis une dizaine d’années », explique Adélaïde Dupré de Pomarède, paysagiste à la Ville de Paris. En seulement quatre jours, ce nouveau décor s’est installé grâce à une équipe travaillant jour et nuit. Pour composer ce tableau, ont été disposées des herbes folles, ou des « mauvaises herbes » – afin d’illustrer celles qui s’immiscent dans la ville –, des herbes de friches et même de véritables arbres : érables, chênes, peupliers, bouleaux.