This picture taken on November 26, 2018, shows a luxurious residence located in avenue Gorges-Mendel, in the upscale residential 16th arrondissement of Paris, where one floor would have been used by Carlos Ghosn, chairman and CEO of France-based Renault, former chairman and former CEO of Japan-based Nissan, and chairman of Mitsubishi Motors. Carlos Ghosn was arrested by the special investigation squad of the Tokyo Public Prosecutors Office on November 19th, 2018, on suspicion of violating the Financial Instruments and Exchange Law. He is believed to have had a flat in Paris bought for him by the car firm and spent $17.8 million on homes in Rio de Janeiro and Beirut, it was alleged.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 125 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/6.3, ISO 2500, Compensation: -1/3. Flash: non
C’est au numéro 48 de la très luxueuse avenue Georges-Mendel, dans le 16e arrondissement de Paris, que se trouve le pied-à-terre parisien du Président directeur général du groupe Renault et désormais ancien PDG du groupe japonais Nissan et ancien président du conseil d’administration du groupe Mitsubischi Motors. Le 19 novembre 2018, Nissan annonce que Carlos Ghosn a été arrêté par la justice japonaise. Il est soupçonné d’abus de bien social par l’utilisation de biens de l’entreprise à des fins personnelles, notamment afin de rénover des villas lui appartenant aux Pays-Bas, en France, au Liban et au Brésil, de fraude fiscale, par la dissimulation d’une partie de ses revenus au fisc japonais, et de nombreuses autres malversations financières. Une filiale de Nissan aurait notamment financé à hauteur de 17,8 millions de dollars (15,6 millions d’euros) l’achat de luxueuses résidences dans quatre villes : Amsterdam, Paris, Rio de Janeiro et Beyrouth. Carlos Ghosn se serait rendu gratuitement à sa guise dans ces propriétés sans signaler cet avantage parmi ses revenus. Le 20 novembre 2018, le gouvernement français a acté son impossibilité de fait à gouverner le groupe Renault, et demandé une gouvernance intérimaire, sans pour autant demander à ce stade son exclusion du Conseil d’administration. Le conseil d’administration du constructeur japonais Mitsubishi Motors a par ailleurs annoncé lundi 26 novembre avoir révoqué son président Carlos Ghosn.
A view taken on January 10, 2018 shows the smoke produced by the fires in the basement of two buildings in Choisy-le-Roi, southern Paris, which obliged to evacuate two hundreds of residents. One firefighter was seriously injured in the fire, and some 120 firefighters and 60 vehicles were deployed.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mercredi 10 janvier 2018, à 11 h 42. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/4, ISO 100, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III, 205 mm.
EXTRAIT : 190 mots. C’est un vaste incendie qui a mobilisé pendant près de 10 heures ce mercredi quelque 120 sapeurs-pompiers et 57 engins à Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne. Le feu s’est déclaré peu après 4 heures du matin dans un box fermé du parking souterrain sur la place François-Mitterrand, près de la gare RER, avant de rapidement se propager. Un second foyer distinct et un troisième lié à la propagation de l’incendie ont été identifiés au petit matin. Si les deux départs de feu intriguent et laissent envisager la piste criminelle, « il est encore bien trop tôt pour tirer des conclusions sur les origines du feu », précisait un porte-parole des sapeurs-pompiers. (…) Un pompier, engagé « dans la phase d’attaque », c’est-à-dire dans les premières minutes de l’intervention, a été évacué en urgence après avoir été pris d’un violent malaise. (…) Deux autres soldats du feu ont été légèrement blessés, l’un brûlé au bras et le second au dos. En début de matinée, les quelque 250 habitants de la résidence située juste au-dessus du parking ont été évacués…
Située sur l’avenue de France, en face de la Bibliothèque François-Mitterrand, et composée de 70 appartements, Émerod se présente comme un bijou architectural signé Rudy Ricciotti. La résidence et l’immeuble de bureaux, aux façades ondulantes et aux légers reflets vert émeraude, prennent des allures de nid géant protégeant, en cœur d’îlot, un jardin paysager surmonté d’un bassin conçu tel un éden imaginaire. Le projet conçoit très naturellement sa forme d’îlot bâti et reprend les orientations urbaines du site, ses alignements comme les gabarits autorisés. Cependant, il est fragmenté par une faille qui ouvre une vue et une ligne solaire entre Nord-Est et Sud-Ouest. De façon secondaire, une faille de faible importance recoupe la partie haute de la façade Est. Ambiance Indiana Jones assurée ; des rayonnements solaires divers, selon les heures, pénètrent dans le cœur de cet îlot aux profondeurs irrégulières. L’irrégularité des acrotères participe à la variation permanente des ombres portées sur les façades opposées. Cette idée de faille donne naissance à un univers intérieur différent de ce qu’est un cœur d’îlot dans la tradition haussmannienne. Le cœur d’îlot est habité d’un jardin et d’un plan d’eau. Un éden imaginaire est proposé aux vues depuis les grandes baies vitrées des appartements qui s’ouvrent sur le jardin. Le plan d’eau prend sa source à une altitude secrète, inaccessible au public et viendra par un parcours finir à la hauteur de la rue intérieure reliant l’avenue de France au sud. Le jardin sera habité par une végétation arbustive haute, dense et d’un seul type. L’absence de variation d’essence a pour objectif l’idée d’accumulation et de nature révélée et non de jardin inspiré. Les vitrages du tertiaire, en cœur d’îlot, seront légèrement teintés en vert émeraude réfléchissant, afin d’amplifier par les reflets, « l’exotisme » du dispositif paysager. Celui-ci sera en outre structuré autour d’un plan d’eau, miroir démultipliant la spatialité de ce cœur d’îlot le jour, et diffusant ses reflets bleutés la nuit sur les façades. Sur les façades extérieures, le projet est contenu par une peau assemblée de façon organique afin de reconstituer l’image d’un nid d’oiseau à l’échelle du vorace ptérodactyle. La lisibilité nocturne du dispositif favorisera une mise en lumière en rupture avec les traditions commerciales et tertiaires.
Pour célébrer la Fête Nationale 2013, la ville de Choisy-le-Roi, dans le Val de Marne, a décidé pour la deuxième année consécutive de tirer le traditionnel feu d’artifice à partir d’une péniche immobilisée pour la circonstance au milieu du fleuve, le 13 juillet au soir. Seule commune du Val-de-Marne à être située sur les deux rives de la Seine, Choisy-le-Roi doit une large part de sa fortune au fleuve. C’est à cet endroit que la traversée est la plus commode et la plus fréquente dès le XIIIe siècle, c’est grâce au fleuve que Choisy devient une résidence princière et royale, c’est lui encore qui est à l’origine du développement industriel qui donnera naissance au Choisy actuel. Au vu de cette relation de la ville à l’eau, la commune a décidé récemment d’entreprendre plusieurs projets qui visent à modifier le rapport des habitants au fleuve, et à permettre une reconquête des bords de Seine.