C’est au numéro 48 de la très luxueuse avenue Georges-Mendel, dans le 16e arrondissement de Paris, que se trouve le pied-à-terre parisien du Président directeur général du groupe Renault et désormais ancien PDG du groupe japonais Nissan et ancien président du conseil d’administration du groupe Mitsubischi Motors.
Le 19 novembre 2018, Nissan annonce que Carlos Ghosn a été arrêté par la justice japonaise. Il est soupçonné d’abus de bien social par l’utilisation de biens de l’entreprise à des fins personnelles, notamment afin de rénover des villas lui appartenant aux Pays-Bas, en France, au Liban et au Brésil, de fraude fiscale, par la dissimulation d’une partie de ses revenus au fisc japonais, et de nombreuses autres malversations financières. Une filiale de Nissan aurait notamment financé à hauteur de 17,8 millions de dollars (15,6 millions d’euros) l’achat de luxueuses résidences dans quatre villes : Amsterdam, Paris, Rio de Janeiro et Beyrouth. Carlos Ghosn se serait rendu gratuitement à sa guise dans ces propriétés sans signaler cet avantage parmi ses revenus.
Le 20 novembre 2018, le gouvernement français a acté son impossibilité de fait à gouverner le groupe Renault, et demandé une gouvernance intérimaire, sans pour autant demander à ce stade son exclusion du Conseil d’administration. Le conseil d’administration du constructeur japonais Mitsubishi Motors a par ailleurs annoncé lundi 26 novembre avoir révoqué son président Carlos Ghosn.
Le 19 novembre 2018, Nissan annonce que Carlos Ghosn a été arrêté par la justice japonaise. Il est soupçonné d’abus de bien social par l’utilisation de biens de l’entreprise à des fins personnelles, notamment afin de rénover des villas lui appartenant aux Pays-Bas, en France, au Liban et au Brésil, de fraude fiscale, par la dissimulation d’une partie de ses revenus au fisc japonais, et de nombreuses autres malversations financières. Une filiale de Nissan aurait notamment financé à hauteur de 17,8 millions de dollars (15,6 millions d’euros) l’achat de luxueuses résidences dans quatre villes : Amsterdam, Paris, Rio de Janeiro et Beyrouth. Carlos Ghosn se serait rendu gratuitement à sa guise dans ces propriétés sans signaler cet avantage parmi ses revenus.
Le 20 novembre 2018, le gouvernement français a acté son impossibilité de fait à gouverner le groupe Renault, et demandé une gouvernance intérimaire, sans pour autant demander à ce stade son exclusion du Conseil d’administration. Le conseil d’administration du constructeur japonais Mitsubishi Motors a par ailleurs annoncé lundi 26 novembre avoir révoqué son président Carlos Ghosn.
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