4 000 offres d’emploi ou de formation étaient proposées par 290 entreprises, collectivités ou associations, représentant 300 métiers. Dans le top 5 des secteurs qui recrutent : le commerce et la vente, le tertiaire (accueil, gestion, RH), l’hôtellerie-restauration mais aussi l’informatique et le numérique. « Il y a tout type de contrats et on embauche autant de jeunes diplômés que de bac + 2, + 5 ou +8 » assurait l’organisatrice. Le vrai plus du salon, c’est de garantir des rendez-vous en face-à-face avec des recruteurs.
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4 000 offres d’emploi ou de formation étaient proposées par 290 entreprises, collectivités ou associations, représentant 300 métiers. Dans le top 5 des secteurs qui recrutent : le commerce et la vente, le tertiaire (accueil, gestion, RH), l’hôtellerie-restauration mais aussi l’informatique et le numérique. « Il y a tout type de contrats et on embauche autant de jeunes diplômés que de bac + 2, + 5 ou +8 » assurait l’organisatrice. Le vrai plus du salon, c’est de garantir des rendez-vous en face-à-face avec des recruteurs.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mardi 10 octobre 2017, à 15 h 29. Appareil: Canon EOS-1D Mark III, 1/800 s, f/8, ISO 1000, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x, 240 mm.
EXTRAIT Des soignants aux enseignants, des ministères aux collectivités, les 5,4 millions d’agents du service public se mobilisaient en faisant grève et manifestant ce mardi 10 octobre 2017, pour protester contre des mesures « inacceptables » du gouvernement, à l’appel de tous leurs syndicats, une première depuis dix ans. Selon les premières estimations de la CGT, le mouve-
ment a rassemblé 400.000 manifestants dans toute la France, dont 45.000 à Paris. D’après la préfecture de police, il y en aurait eu 26.000 à Paris.
Suppressions de 120.000 postes d’ici à la fin du quinquennat, gel des rémunérations, rétablissement du jour de carence, remise en cause de leur statut…
Thousands of public sector workers march through Paris on October 10, 2017, as part of a nationwide strike organized by the country's nine major labor unions against the flagship labor reforms of French President Emmanuel Macron which plans to freeze pay, tighten rules for sick days and to cut 120,000 jobs in the public sector by 2022.
Les partis de gauches défilent… chacun sur leur trottoir
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mardi 10 octobre 2017, à 14 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/9, ISO 1250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 22 mm.
EXTRAIT C’est à un appel commun à toutes les centrales syndicales qu’ont défilé, ce mercredi, les fonctionnaires. Une première depuis dix ans, qui n’a pas manqué d’inspirer quelques instants l’opposition de gauche à Emmanuel Macron. France insoumise, Parti communiste, Mouvement du 1er juillet, et même – fur-
tivement – le Parti socialiste étaient dans la rue. Chacun sur leur trottoir, ils ont préféré ne pas traverser la chaussée pour se saluer. Ambiguë sur son soutien aux dernières manifestations contre les ordonnances à l’appel de la CGT, le PS avait, cette fois-ci, clairement relayé l’appel à se mobiliser…
La France Insoumise (LFI) leftist party's members of Parliament Eric Coquerel (R) meets former French presidential election candidate for the far-left New Anticapitalist Party (NPA) Philippe Poutou (L) during a demonstration in Paris, France, on October 10
Évry. Contre la baisse des dotations
Étaient notamment présents Nicolas Dupont-Aignan, député-maire d’Yerres, et Serge Dassault, sénateur et ancien maire de Corbeil-Essonnes.
Sur le site de Michel Stoupak : l’article.
► Page 1 : Évry. Contre la baisse des dotations
► Page 2 : Évry. Serge Dassault dans la rue
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 19 mai 2013, à 15 h 43. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160, f/6.30, ISO 400. Flash: non
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Selon l’association Droit au Logement et son emblématique porte-parole Jean-Baptiste Eyraud, ces logement pourraient être rendus disponibles par la réquisition des biens vacants appartenant à des propriétaires privés, et par la mise à disposition de ceux appartenant à l’État, aux entreprises publiques, aux HLM, aux collectivités. Pour démontrer l’importance du parc de logements, bureaux et locaux d’activités vacants dans Paris, les manifestants ont parcouru les rues de la Capitale en s’arrêtant devant des immeubles inoccupés, comme celui de l’ancien grand magasin La Samaritaine, fermé depuis 2005.
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