French CGT trade union General Secretary Philippe Martinez (C) joins a protest during a day of action to highlight the current economic and cultural difficulties being experienced across France as the coronavirus (Covid-19) pandemic continues on February 4, 2021, in Paris.
Prise de vue: Jeudi 4 février 2021, à 13 h 58. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 320, Compensation: -2/3. Flash: non
« Ce jeudi, nous affirmons, aux niveaux national et interprofessionnel, qu’il est impossible de mettre de côté les luttes actuelles pour l’emploi et l’amélioration des conditions de travail au nom d’une pseudo-unité nationale contre le Covid-19 », résumait dans L’Humanité le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez le 4 février 2021. « Bruno Le Maire nous dit que ce n’est pas le moment de faire un printemps social. Au contraire », ajoutait-il. Étudiants, énergéticiens, enseignants, soignants, intermittents du spectacle, de nombreuses professions se sont retrouvées jeudi sur ce mot d’ordre. La manifestation parisienne, forte de 20.000 participants selon la CGT, s’est ébranlée vers 14 h 30 de la place de la République en direction de celle de la Nation, derrière une banderole proclamant « emplois, salaires, temps de travail, retraites… relançons le social ». En tête du cortège, alors que 165 initiatives étaient recensées dans toute la France, M. Martinez a expliqué que des salariés craignaient de descendre dans la rue « parce qu’il y a le contexte sanitaire », mais « ce n’est pas pour ça que la colère et les mobilisations ne sont pas à la hauteur ». Source.
Teachers gathered in front of the Rectorate of Paris academy in Paris on December 10, 2018 to protest against the new reform of Education Minister J.-M. Blanquer. They are kneeling with hands over their head as a reminder of the arrest of the students of the Mantes-la-Jolie high school that took place a few days earlier. Banners reading 'High school and middle school Voltaire : staff on strike' and 'For the safeguard of the National education'.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 19 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1/3. Flash: non
Pour manifester leur désaccord avec la réforme Blanquer du lycée et du baccalauréat, des enseignants se sont rassemblé le 10 décembre 2018 devant les locaux du rectorat de Paris, en se mettant à genoux, les mains sur la tête, rappelant les conditions de l’arrestation quelques jours auparavant de 150 jeunes à Mantes-la-Jolie.
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A French teacher holds a sign reading "For a quality and equality education" during a demonstration against the reform of vocational education on September 27, 2018, in Paris. A far-reaching series of reforms to the training system was instituted by the Government in the last quarter of 2017, aimed at vocational training, apprenticeship and work-based training.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/10, ISO 320, Compensation: -1/3. Flash: non
Plusieurs centaines d’enseignants, représentant de nombreuses organisations syndicales, se sont rassemblés le 27 septembre 2018 place de la Sorbonne, à Paris, afin de manifester leur désaccord avec la réforme de l’enseignement professionnel. Dernier élément de la réforme du lycée, celle du lycée professionnel a été présentée par le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer le 28 mai 2018. Inspirée par le rapport Calvez – Marcon, la réforme pourrait accentuer la déprofessionnalisation de la filière, faisant notamment de la seconde professionnelle une année de tri et de préparation à l’apprentissage. L’enjeu de cette réforme est de première importance. L’enseignement professionnel porte depuis 20 ans un extraordinaire effort de démocratisation de l’éducation. Selon les décisions qui seront prises par Jean-Michel Blanquer, c’est l’avenir des jeunes des quartiers populaires qui s’ouvrira ou se refermera.
General Secretary of French workers' union CGT rail federation Laurent Brun (center), with French CFDT trade union leader Didier Aubert (left) and representative of the SUD Rail union Bruno Poncet (right), adresses protesters during a gathering of employees of the state-owned rail operator SNCF called by CGT, Unsa, SUD, and CFDT unions on May 3, 2018 in front of the Ecole Militaire (Military Academy) in Paris, near Eiffel Tower. French rail workers will begin on May 3 and May 4, 2018, their two-day strike over planned reforms.
EXTRAIT : 170 mots. Plusieurs centaines de cheminots étaient réunis jeudi 3 mai 2018 après-midi à Paris pour montrer au Premier ministre Édouard Philippe qu’ils « ne faiblissent pas », quatre jours avant d’être reçus à Matignon. Les fédérations CGT, Unsa, SUD, CFDT et FO avaient en effet appelé à des rassemblements devant l’École militaire à Paris et devant les préfectures en régions. Plusieurs centaines de manifestants — cheminots, étudiants, enseignants, électriciens, gaziers, postiers… — étaient présents au rendez-vous parisien, animé par des pétards, des fumigènes et de la musique. Un faux chèque d’un million d’euros a été remis symboliquement aux fédérations de cheminots par Jean-Marc Salmon, sociologue à l’origine de la cagnotte de soutien lancée par une trentaine d’artistes et intellectuels. « Votre grève soulève de grands espoirs dans le pays », a-t-il assuré au micro face aux manifestants qui l’ont applaudi. La cagnotte, dont le montant avoisinait les 975.000 euros jeudi, a été « prolongée jusqu’au 7 juin », a-t-il précisé l’AFP.
Students protest against a project of selection for the admission in French universities, on April 10, 2018 in front of the Sorbonne university in Paris. The growing student protest movement has irked Macron’s government, which is also grappling with strikes by rail staff in the first major test to his pro-business resolve to reshape the French economy and loosen labour rules in the state sector.
Une dizaine de sites touchés par la mobilisation contre la réforme des règles d’accès à la fac, quatre universités entièrement bloquées, la manifestation de ce mardi 10 avril 2018 dans le quartier de la Sorbonne intervenait dans un contexte tendu. Destiné à protester contre la loi promulguée le 8 mars 2018 qui demande pour la première fois aux universités de classer les candidatures des bacheliers, le rassemblement a réuni plusieurs centaines d’étudiants mais également des enseignants et des cheminots.
Employee of the French state owned railway company SNCF holds a flare during a demonstration in front of the Gare de l’Est train station on April 3, 2018 in Paris, on the first day of a two day strike by railway workers. Staff at state rail operator SNCF walked off the job from 7.00 pm (1700 GMT) on April 2, the first in a series of walkouts affecting everything from energy to garbage collection. The rolling rail strikes, set to last until June 28, are being seen as the biggest challenge yet to the President's sweeping plans to shake up France and make it more competitive.
EXTRAIT : 135 mots. Plusieurs centaines de personnes ont défilé mardi 3 avril 2018 à Paris mais aussi dans plusieurs villes en soutien aux cheminots, au premier jour d’une grève au long cours contre la réforme de la SNCF. À Paris, les manifestants, en majorité des cheminots de SUD-Rail et de FO, mais aussi des étudiants, des agents hospitaliers, des enseignants et des salariés d’Air France, sont partis de la gare de l’Est en direction de la gare Saint-Lazare, sur fond de fumigènes, pétards et sirènes. Le premier jour de mobilisation contre la réforme de la SNCF s’est traduit mardi par la présence d’un TGV sur huit en moyenne, et un train régional sur cinq, beaucoup d’usagers ayant dû se rabattre sur des solutions alternatives comme le bus ou le covoiturage.
Teachers, parents and students carry a coffin as a symbol of the death of the French national Education at the base of the Pantheon in Paris, on March 24, 2018, during a demonstration to protest against French government's string of reforms, including changes to the final high school exams and university admissions, budgets cuts and for priority education in public schools.
Poussées par le collectif Manducation 94 constitué d’enseignants de tous niveaux, de parents et élèves, plusieurs dizaines de personnes se sont rendues le 24 mars 2018 au pied du Panthéon pour y déposer un cercueil contenant la dépouille de l’Éducation nationale, dont le caractère national et égalitaire est appelé à une disparition prochaine, selon les participants, faute de moyens alloués à l’école, de la maternelle à la fac, mais aussi plus globalement à la « casse » du service public.
Protesters shout slogans and hold banners as they take part in a demonstration against a French government's proposed reform of university applications and a project to reform the French baccalaureate high school exit exam on February 6, 2018, in Paris.
Des syndicats lycéens, étudiants et enseignants ont appelé à une nouvelle journée de mobilisation, mardi 6 février 2018, pour demander le retrait de la réforme de l’accès à l’université et du projet d’un nouveau baccalauréat. L’objectif était d’« amplifier » la mobilisation commune lancée jeudi 1er février, avec un faible succès. Vingt mille manifestants y avaient pris part, selon les organisateurs, dont dix mille à Paris. Mais la préfecture n’avait dénombré que deux mille quatre cents personnes défilant dans la capitale.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mardi 10 octobre 2017, à 15 h 29. Appareil: Canon EOS-1D Mark III, 1/800 s, f/8, ISO 1000, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x, 240 mm.
EXTRAIT Des soignants aux enseignants, des ministères aux collectivités, les 5,4 millions d’agents du service public se mobilisaient en faisant grève et manifestant ce mardi 10 octobre 2017, pour protester contre des mesures « inacceptables » du gouvernement, à l’appel de tous leurs syndicats, une première depuis dix ans. Selon les premières estimations de la CGT, le mouve-
ment a rassemblé 400.000 manifestants dans toute la France, dont 45.000 à Paris. D’après la préfecture de police, il y en aurait eu 26.000 à Paris. Suppressions de 120.000 postes d’ici à la fin du quinquennat, gel des rémunérations, rétablissement du jour de carence, remise en cause de leur statut…
Thousands of public sector workers march through Paris on October 10, 2017, as part of a nationwide strike organized by the country's nine major labor unions against the flagship labor reforms of French President Emmanuel Macron which plans to freeze pay, tighten rules for sick days and to cut 120,000 jobs in the public sector by 2022.
Les partis de gauches défilent… chacun sur leur trottoir
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mardi 10 octobre 2017, à 14 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/9, ISO 1250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 22 mm.
EXTRAIT C’est à un appel commun à toutes les centrales syndicales qu’ont défilé, ce mercredi, les fonctionnaires. Une première depuis dix ans, qui n’a pas manqué d’inspirer quelques instants l’opposition de gauche à Emmanuel Macron. France insoumise, Parti communiste, Mouvement du 1er juillet, et même – fur-
tivement – le Parti socialiste étaient dans la rue. Chacun sur leur trottoir, ils ont préféré ne pas traverser la chaussée pour se saluer. Ambiguë sur son soutien aux dernières manifestations contre les ordonnances à l’appel de la CGT, le PS avait, cette fois-ci, clairement relayé l’appel à se mobiliser…
La France Insoumise (LFI) leftist party's members of Parliament Eric Coquerel (R) meets former French presidential election candidate for the far-left New Anticapitalist Party (NPA) Philippe Poutou (L) during a demonstration in Paris, France, on October 10