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Données techniques de cette photo. Prise de vue: Samedi 23 septembre 2017, à 14:23. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/20, ISO 10000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 20 mm.
Jean-Luc Mélenchon a réussi son pari. En réunissant plusieurs dizaines de milliers de personnes (150 000 selon les organisateurs, 30 000 selon la police), samedi 23 septembre 2017, à Paris, entre Bastille et République, pour sa « marche contre le coup d’État social », le chef de file de la France insoumise (LFI) se pose durablement comme la principale figure de l’opposition au président de la République Emmanuel Macron et à sa politique. Mais pas seulement. Il devient aussi le pôle autour duquel la
gauche pourrait se reconstruire.
Benoît Hamon, ancien candidat socialiste à la présidentielle, était présent avec son lieutenant Guillaume Balas. Dans un communiqué, le Mouvement du 1er juillet, lancé cet été par l’ancien député des Yvelines a néanmoins tenu à expliquer que « la participation aux initiatives de La France insoumise ne relève ni d’une alliance privilégiée ni d’un partenariat stratégique en vue d’un programme commun ou de la conquête du pouvoir ».
La France Insoumise (LFI) leftist party parliamentary group President Jean-Luc Melenchon (C) joins a protest organized in Paris on September 23, 2017 by La France Insoumise (LFI) leftist party in protest over President Emmanuel Macron's sweeping reforms of the labour code. The third in a series of nationwide protests comes a day after Macron signed his signature reforms into law using a fast-tracked procedure that avoided a lengthy parliamentary debate.
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Hamon manifeste avec Mélenchon « sans état d’âme »
Côte à côte, épaule contre épaule, mais tout de même pas main dans la main, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon ont défilé ensemble, samedi 23 septembre 2017 après-midi à Paris. Les deux anciens « rivaux » de la présidentielle, en désaccord pour incarner une candidature commune à gauche, marchaient d’un pas commun contre la réforme du code du travail initiée par le gouvernement Macron.
Benoît Hamon a ainsi défendu samedi sa présence au côté de Jean-Luc Mélenchon dans la manifestation contre « le coup d’État
social » à Paris, comme à celles organisées avant par la CGT: « Je suis là résolument et sans état d’âme », a déclaré au début de la manifestation, place de Bastille, celui qui a quitté le parti socialiste.
« J’ai décidé de rejoindre la manifestation organisée par La France insoumise parce que d’abord, je suis contre les ordonnances travail. J’aurais trouvé assez curieux au moment où ces ordonnances frappent des millions de Français que je commence à avoir des pudeurs à l’égard de tel ou tel mot d’ordre », a-t-il ajouté.
Former socialist presidential candidate now "First of July movement" (M1717) left wing movement leader Benoit Hamon (C) joins a protest organized in Paris on September 23, 2017 by La France Insoumise (LFI) leftist party in protest over President Emmanuel Macron's sweeping reforms of the labour code.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, même album.
Ouverture: ƒ/8
Appareil photo: Canon EOS-1D Mark III
Prise de vue: 5 octobre 2014
Focale: 155 mm
ISO: 400
Vitesse d’obturation: 1/400 s
Après le vote de la loi Taubira sur le mariage gay, la Manif pour tous organisée dimanche 5 octobre 2014 s’est trouvé de nouveaux arguments (GPA, PMA…). Mais si le discours a évolué, une polémique reste identique : le décompte du nombre de manifestants.
Si la manifestation de dimanche n’est pas celle qui a mobilisé le plus depuis le début du mouvement, elle remporte la palme du plus grand écart entre les estimations des organisateurs et de la police. Selon les premiers, le cortège a rassemblé 500 000 personnes à Paris, et 30 000 à Bordeaux. Pour la préfecture, en revanche, les manifestants n’étaient que 70 000 dans la capitale et 7 500 en Aquitaine. A Paris, le différentiel d’estimation est de 1 à plus de 7 (7,14 précisément), ce qui dépasse le précédent record établi le 26 mai 2013.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 21 avril 2013, à 16 h 48. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x ; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1000 s, f/7.1, ISO 640. Flash: non
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Sous un ciel bleu sans nuages, le cortège s’est ébranlé, en début d’après-midi, de la place Denfert-Rochereau, direction l’esplanade des Invalides.
La Marseillaise a retenti régulièrement. À l’instar d’une reprise, érigée en hymne du défilé, du célèbre titre d’Edith Piaf « Non, je ne regrette rien », devenu « Non, on ne lâchera rien ».
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 24 mars 2013, à 14 h 02. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM ; focale: 160 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800, f/9, ISO 640. Flash: non
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Alors que le projet de loi sera examiné au Sénat – et vraisemblablement voté – à partir du 4 avril, les organisateurs ont qualifié cette manifestation de « grande armée qui se lève », en référence à l’avenue du même nom qui remonte vers la place de l’Étoile, où avait lieu le rassemblement. Drapeaux au vent, bleu outremer, fuchsia, blancs, les manifestants ont été encadrés par quelque 8.000 bénévoles, reconnaissables à leur T-shirt jaune ou rouge, pour assurer accueil et sécurité.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 24 mars 2013, à 13 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/6.3, ISO 100. Flash: non
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– entre 300.000 selon la police et 1,4 million selon les organisateurs – s’étaient donné rendez-vous avenue de la Grande-Armée à Paris afin de manifester contre le projet de loi Taubira.
Frigide Barjot, porte-parole de l’association « La Manif pour tous », est arrivée tôt au pied de la grande scène installée pour la circonstance, alors que l’avenue s’était déjà considérablement remplie de manifestants.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 13 janvier 2013, à 15 h 43. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: Canon EF16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, f/3.2, ISO 125, 1/160 s. Flash: non
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Entre 340.000 et 800.000 personnes, selon la police ou les organisateurs, ont défilé le dimanche 13 janvier 2013 dans Paris contre le projet de mariage gay annoncé par le gouvernement. Il s’agit du plus grand rassemblement sur un sujet de société depuis celui pour la défense de « l’école libre » qui avait rassemblé au moins 850.000 personnes, de source policière, à Paris en 1984.
De son côté, le gouvernement assure qu’il ne reviendra pas sur son projet de loi. L’Élysée a immédiatement réagi en annonçant que cette manifestation « consistante » « exprime une sensibilité qui doit être respectée » mais qu’elle n’« empêchera pas le débat au Parlement », prévu dès le 29 janvier 2013.
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