A protester holds a placard reading "Freedom to Alexei Navalny" during a rally in support of jailed opposition leader Alexei Navalny in place du Trocadéro, in Paris on January 23, 2021. Navalny, 44, was detained last Sunday upon returning to Moscow after five months in Germany recovering from a near-fatal poisoning with a nerve agent and later jailed for 30 days while awaiting trial for violating a suspended sentence he was handed in 2014.
Prise de vue: Samedi 23 janvier 2021, à 14 h 57. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitese, 1/200 sec, f/4, ISO 320, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 157 mots. Alors que plus d’un millier de personnes étaient arrêtées en Russie lors des manifestations en soutien à Alexeï Navalny, le principal opposant à Vladimir Poutine, plusieurs centaines de manifestants se sont donné rendez-vous place du Trocadéro à Paris, le 23 janvier 2021, pour témoigner de leur soutien à l’opposant. Cette contestation s’organise à quelques mois des législatives prévues pour l’automne, sur fond de chute de popularité du parti au pouvoir. Comme en 2019, la police russe a interpellé cette semaine, en amont des mobilisations, des alliés de premier plan d’Alexeï Navalny dont deux ont été condamnés vendredi à de courtes peines de prison. En région, plusieurs coordinateurs de son mouvement ont été arrêtés après avoir appelé à manifester samedi. Fin août, Alexeï Navalny était tombé gravement malade en Sibérie et avait été hospitalisé en urgence à Berlin, victime, selon lui, d’un empoisonnement des services secrets russes à un agent neurotoxique.
The residents of the city of Choisy-le-Roi, in the South of Paris, demonstrate on September 18, 2018, in front of the city hall against the project to build in this city a district to prepare detained people for release from prison (Quartier de Préparation à la Sortie - QPS).
Le maire PCF de Choisy-le-Roi Didier Guillaume a réuni les habitants de la ville le 18 septembre 2018, devant l’ancienne mairie, afin de témoigner de l’opposition des Choisyens et de leurs élus au projet de QPS (quartier de préparation à la sortie) envisagé par le ministère de la Justice, un établissement fermé de 180 places destiné à accueillir des détenus en fin de peine. Une pétition lancée par le maire le 23 juin avait rassemblé près de 4 500 signatures en quinze jours. L’autre site en balance dans le Val-de-Marne se trouve dans la zone de la Ballastière nord à Limeil-Brévannes. Le maire de Choisy avait appris par l’Agence publique pour l’immobilier de la Justice (Apij) que le terrain envisagé est situé avenue Louis-Luc, en plein quartier du Port. Une friche entourée d’un hôtel et d’une résidence étudiante d’un côté, et d’une imprimerie de l’autre, avec des immeubles d’habitation en face.
Pro-life demonstrators take part in a ‘March for life’ demonstration in Paris on January 21, 2018 against abortion, assisted reproduction and euthanasia. As the government prepares a consultation on the 2011 bioethics law that could see assisted reproduction permitted for lesbian couples and single women, the protesters called for it to be made stricter. Prise de vue: Dimanche 21 janvier 2018, à 14 h 35. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/9, ISO 2000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 100 mots. Ce dimanche 21 janvier 2018, trois jours après l’ouverture des États généraux de la bioéthique, les participants de la Marche pour la vie ont réaffirmé leur opposition à la PMA et à toute forme d’euthanasie, dénonçant la « banalisation » de l’IVG et prônant « une politique de santé digne de ce nom visant à diminuer les 220.000 avortements annuels » en France. Initiée par un collectif d’associations « En marche pour la vie », qui réunit notamment « Choisir la vie », la fondation Jérôme Lejeune, « Renaissance catholique » ou les « Survivants », la « Marche pour la vie » dénonce la « banalisation » de l’IVG.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Samedi 23 septembre 2017, à 14:23. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/20, ISO 10000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 20 mm.
Jean-Luc Mélenchon a réussi son pari. En réunissant plusieurs dizaines de milliers de personnes (150 000 selon les organisateurs, 30 000 selon la police), samedi 23 septembre 2017, à Paris, entre Bastille et République, pour sa « marche contre le coup d’État social », le chef de file de la France insoumise (LFI) se pose durablement comme la principale figure de l’opposition au président de la République Emmanuel Macron et à sa politique. Mais pas seulement. Il devient aussi le pôle autour duquel la
gauche pourrait se reconstruire. Benoît Hamon, ancien candidat socialiste à la présidentielle, était présent avec son lieutenant Guillaume Balas. Dans un communiqué, le Mouvement du 1er juillet, lancé cet été par l’ancien député des Yvelines a néanmoins tenu à expliquer que « la participation aux initiatives de La France insoumise ne relève ni d’une alliance privilégiée ni d’un partenariat stratégique en vue d’un programme commun ou de la conquête du pouvoir ».
La France Insoumise (LFI) leftist party parliamentary group President Jean-Luc Melenchon (C) joins a protest organized in Paris on September 23, 2017 by La France Insoumise (LFI) leftist party in protest over President Emmanuel Macron's sweeping reforms of the labour code. The third in a series of nationwide protests comes a day after Macron signed his signature reforms into law using a fast-tracked procedure that avoided a lengthy parliamentary debate.
Hamon manifeste avec Mélenchon « sans état d’âme »
Côte à côte, épaule contre épaule, mais tout de même pas main dans la main, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon ont défilé ensemble, samedi 23 septembre 2017 après-midi à Paris. Les deux anciens « rivaux » de la présidentielle, en désaccord pour incarner une candidature commune à gauche, marchaient d’un pas commun contre la réforme du code du travail initiée par le gouvernement Macron. Benoît Hamon a ainsi défendu samedi sa présence au côté de Jean-Luc Mélenchon dans la manifestation contre « le coup d’État
social » à Paris, comme à celles organisées avant par la CGT: « Je suis là résolument et sans état d’âme », a déclaré au début de la manifestation, place de Bastille, celui qui a quitté le parti socialiste. « J’ai décidé de rejoindre la manifestation organisée par La France insoumise parce que d’abord, je suis contre les ordonnances travail. J’aurais trouvé assez curieux au moment où ces ordonnances frappent des millions de Français que je commence à avoir des pudeurs à l’égard de tel ou tel mot d’ordre », a-t-il ajouté.
Former socialist presidential candidate now "First of July movement" (M1717) left wing movement leader Benoit Hamon (C) joins a protest organized in Paris on September 23, 2017 by La France Insoumise (LFI) leftist party in protest over President Emmanuel Macron's sweeping reforms of the labour code.
Plusieurs centaines de ressortissants gabonais résidant en France ont manifesté le 10 septembre 2016 à Paris suite à la réélection contestée d’Ali Bongo. Après un rassemblement sur le parvis des droits de l’homme au Trocadéro, les manifestants se sont dirigés vers l’ambassade du Gabon à Paris, manifestant leur opposition aux résultats du vote et réclamant la reconnaissance de l’élection de l’opposant Jean Ping. Officiellement, Ali Bongo a été élu sur le fil, avec 6000 voix de plus que son adversaire. Pour pouvoir y arriver, il a fait le plein de voix dans son fief du Haut-Ogooué. Il y aurait obtenu 95,46 % des suffrages, avec un taux de participation de 99,93 %.
Protesters hold sign as people from the Gabonese community demonstrate on September 10, 2016 in Paris against Ali Bongo after the results of Gabon's disputed election. Questions are growing in Gabon over President Ali Bongo's disputed election win as EU observers said there had been a clear anomaly in the vote count in an area known to be his stronghold.
Gérée par la gauche depuis 17 ans, la première région de France est finalement tombée cinq ans plus tard dans l’escarcelle de la droite et de Valérie Pécresse. Qui devient à cette occasion la première femme à la tête de la région Ile-de-France. Valérie Pécresse, 48 ans, est une ancienne ministre, ex-maître de requête au Conseil d’Etat, chef de l’opposition en Ile-de-France et députée des Yvelines. Conseillère à l’Elysée en 1997, elle devient ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche en 2007. A ce titre, elle mène l’une des réformes phares du quinquennat de Nicolas Sarkozy, celle de l’autonomie des universités. Elle reste quatre ans dans cette fonction, puis est nommée, en 2011, ministre du Budget et de la réforme de l’Etat et devient porte-parole du gouvernement. Née le 14 juillet 1967 à Neuilly-sur-Seine, Valérie Pécresse a obtenu son baccalauréat à 16 ans, a fait HEC puis l’ENA. Elle a récemment démissionné de la fonction publique pour se consacrer à une campagne électorale lancée très tôt.
Pour la 21e année, une pyramide de chaussures se dresse place de la Bastille, à Paris. Organisée par l’ONG Handicap International dans plusieurs villes de France, cette démonstration vise à sensibiliser l’opinion aux ravages des armes explosives et manifester l’opposition aux bombardements de civils. Deux traités ont déjà été signés par le passé, celui d’Ottawa qui interdit les mines antipersonnelles, en 1997, et celui d’Oslo, en 2008, qui prohibe les bombes à sous-munitions.
Une centaine de maires ruraux ont fait part de leur opposition à la réforme territoriale en participant à un rassemblement devant le Conseil constitutionnel, samedi 18 avril 2015. Parmi leurs doléances figurait notamment une disposition phare de la loi NOTRe, qui impose aux communes de se regrouper en intercommunalités d’au moins 20.000 habitants. Durant ce rassemblement est intervenue Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique.
A hundred of rural mayors have expressed their opposition to the territorial reform by participating in a rally in front of the Constitutional Council, Saturday, April 18, 2015, with the presence of the Minister of Decentralization and Public Service
Sur le site de Michel Stoupak : l’article, sur demotix : l’album.
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La communauté catholique polonaise de Paris s’est mobilisée le dimanche 19 mai 2013 pour le maintien des émissions d’une chaîne de télévision de l’opposition. Cette télévision, c’est TV Trwam, une chaîne catholique à la ligne conservatrice appartenant à la fondation Lux Veritatis gérée par l’ordre des moines rédemptoristes, et non autorisée par le KRRiT, l’autorité polonaise des médias, à émettre sur le nouveau réseau numérique terrestre. Cette décision risque de priver la frange catholique conservatrice de la population de la seule chaîne de télévision où ses opinions sont représentées. Mises à part TV Trwam et Radio Maryja, la station de radio de la fondation Lux Veritatis, presque toutes les grandes stations de radio et de télévision appartiennent en effet à trois grands groupes médiatiques liés au pouvoir en place ou qui le soutiennent ouvertement. C‘est donc la seule chaîne de télévision dont les programmes d’information sont très critiques à l’égard du gouvernement, les autres chaînes préférant s’en prendre à l’opposition conservatrice. TV Trwam était la seule télévision à retransmettre en direct les journées mondiales de la jeunesse de Madrid dans une Pologne où environ 95 % des habitants appartiennent à des familles de tradition catholique et où plus de 40 % des gens vont régulièrement à la messe du dimanche. Après avoir assisté à un office religieux en l’église Notre-Dame de l’Assomption, principale église polonaise de Paris, les manifestants se sont rendus sous une pluie diluvienne sur l’esplanade des Invalides, devant la plaque commémorative en hommage au syndicat polonais Solidarnosc.