French Junior Minister for Economy and Finance Agnes Pannier-Runacher (C) visits the stores near the Champs Elysées avenue to meet merchants whom activities or stores have been damaged during the "Yellow vests" protest of March 16, in Paris on March 20, 2019. On the shop-window, a graffiti against President Macron.
Prise de vue: Mercredi 20 mars 2019, à 10 h 34. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 29 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/6.3, ISO 1000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 198 mots. La secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances Agnès Pannier-Runacher a rencontré le mercredi 20 mars 2018 les commerçants des Champs-Élysées qui ont vécu les dégradations de samedi lors de la mobilisation des « gilets jaunes ». « J’ai pas mal d’employés qui ont un peu peur de venir, du coup je ferme tous les après-midis », confie une gérante de boulangerie à la secrétaire d’État. « Si on ferme l’après-midi, vu qu’on n’a plus les touristes, on a 1 500 euros en moins par semaine ». « On est fermé depuis lundi et on ne peut pas rouvrir », confie un garagiste. Il emmène Agnès Pannier-Runacher se rendre compte sur pièces. Il faut passer par derrière, traverser les caves de l’immeuble, du verre brisé jonche le sol. « Vous savez que vous pouvez bénéficier de chômage technique et d’un certain nombre de mesures ? », interroge la secrétaire d’État. « Il va falloir travailler sur l’animation du quartier, sur la réhabilitation de son image, redonner envie aux gens de venir le samedi sur les Champs-Élysées ». Source : www.francetvinfo.fr, lien à la fin de l'article complet.
The residents of the city of Choisy-le-Roi, in the South of Paris, demonstrate on September 18, 2018, in front of the city hall against the project to build in this city a district to prepare detained people for release from prison (Quartier de Préparation à la Sortie - QPS).
Le maire PCF de Choisy-le-Roi Didier Guillaume a réuni les habitants de la ville le 18 septembre 2018, devant l’ancienne mairie, afin de témoigner de l’opposition des Choisyens et de leurs élus au projet de QPS (quartier de préparation à la sortie) envisagé par le ministère de la Justice, un établissement fermé de 180 places destiné à accueillir des détenus en fin de peine. Une pétition lancée par le maire le 23 juin avait rassemblé près de 4 500 signatures en quinze jours. L’autre site en balance dans le Val-de-Marne se trouve dans la zone de la Ballastière nord à Limeil-Brévannes. Le maire de Choisy avait appris par l’Agence publique pour l’immobilier de la Justice (Apij) que le terrain envisagé est situé avenue Louis-Luc, en plein quartier du Port. Une friche entourée d’un hôtel et d’une résidence étudiante d’un côté, et d’une imprimerie de l’autre, avec des immeubles d’habitation en face.
La 3e édition de la Pride de Nuit a eu lieu dans le quartier du Marais, à Paris, le 23 juin 2017 en soirée, la veille de la Marche des Fiertés de Paris. L’an dernier, cette marche radicale alternative à la marche des fiertés s’en était prise au Parti socialiste, avec le slogan « PS, la fierté c’est pas son genre ».
Cette année le mot d’ordre est « Over the rainbow. Coalition des non conformes ». Une cinquantaine d’associations ont signé l’appel à manifester, qui dénonce le racisme, une évolution des droits insuffisante, la multiplication des violences physiques comme des discours haineux, l’instrumentalisation des luttes.
Several thousands of people demonstrate in Le Marais in Paris on the evening of June 23, 2017, on the eve of Paris Gay Pride.This Night Pride was organized by associations like Femmes en Lutte 93, Act-Up Paris or Strass, and denounces the lack of involvement of the Gay Pride on subjects such as emergency rule in France, immigration, precariousness.
Les 3e et 4e arrondissements étaient les premiers à organiser leur défilé. Ils ont été suivis le dimanche 22 février 2015 après-midi par le défilé du 13e arrondissement, plus grand quartier asiatique d’Europe, qui attire près de 200.000 spectateurs chaque année.
Dans le quartier d’affaires de Paris-la Défense, plus de 200.000 mètres carrés de bureaux rutilants viennent d’être commercialisés d’un seul coup. Grâce aux trois nouvelles tours, Carpe Diem, qui joue la carte écologique et collecte la pluie pour arroser ses jardins suspendus, Eqho, qui surfe sur la mode du campus et en promet une version verticale et Majunga, qui choisit le luxe et offre « terrasse et patio à chaque étage, application iPhone dédiée et conciergerie 5 étoiles ». Problème, ces bijoux d’architecture et de technologie sont vides, comme le reste du réservoir de bureaux disponibles, soit plus de 400.000 mètres carrés représentant 4 ans de stocks. Selon la Cour des comptes, d’ici à 2018 émergeront encore 400.000 mètres carrés de bureaux si les tours D2, Air², Trinity, Phare ou Hermitage pointent leurs nez comme prévu. Un malheur n’allant jamais seul, l’offre de seconde main abonde. À l’image de la Coface qui a lâché l’été dernier sa tour éponyme pour aller à Bois-Colombes, libérant 30.000 mètres carrés. SFR a commencé à abandonner début novembre 2013 la tour Séquoia pour Saint-Denis, ajoutant 55.000 mètres carrés bientôt disponibles. La Société générale – qui garde ses tours jumelles et la tour Granite, dont elle est propriétaire – libère progressivement ses immeubles-satellites, comme la tour Pacific, au profit de son nouveau site à Val-de-Fontenay. Soit 53.000 mètres carrés de plus. Et GDF Suez menace de vider les lieux. Ce qui ferait encore 70.000 mètres carrés.
Depuis 2007, le code du patrimoine autorise l’affichage publicitaire sur les bâches recouvrant les échafaudages installés sur les monuments historiques. Une aubaine pour les annonceurs qui s’offrent régulièrement les facades des luxueux musées d’Orsay, du Louvre, ou encore le Palais de Justice comme support de publicité. Depuis peu, c’est au Quai des Orfèvres que trois iPhones colorés s’étalent sur une bâche de travaux en bord de Seine, entre la Préfecture de police et le tribunal de Grande Instance de Paris. Selon le décret, les recettes publicitaires doivent uniquement servir à financer les travaux engagés sur les monuments, et la surface publicitaire ne peut dépasser 50% de la surface totale de la bâche. JC Decaux, qui assure la location de cet espace, révèle sur ces brochures destinées à attirer les annonceurs qu’une publicité installée à cet endroit coûte, prix public brut, entre 290.000 et 390.000 euros par mois, selon la période de l’année.
Jusqu’à la Première Guerre mondiale, le nom de Vieux-Lille était attribué à toute la partie de la ville antérieure à l’agrandissement de 1858. Au cours de la Première Guerre mondiale, les alentours de la rue de Béthune, de la gare et de la rue du Molinel sont détruits et le Palais Rihour est incendié. Les zones détruites sont reconstruites selon les modes des années trente, Art déco autour de la rue du Molinel, néo-régionaliste rue Faidherbe et rue de Béthune.
Dans les années 1930 et 1950, la destruction du quartier populaire de Saint-Sauveur, pour faire place à un quartier modernisé autour du nouvel hôtel de ville d’Émile Dubuisson, fait du Vieux-Lille le dernier témoignage de l’architecture de la ville avant la révolution industrielle.
Le Nord du centre-ville reste alors la seule partie ancienne de Lille totalement « préservée ». Elle échappe en réalité à la modernisation et, de ce fait même, est de plus en plus délaissée par les habitants les plus favorisés. C’est probablement de cette époque que date le glissement du nom de « Vieux-Lille » vers ce seul périmètre.
Quartier d’immigrés et de familles jusque dans les années 1980, traînant une mauvaise réputation, il a échappé à un projet de voie rapide en son centre. Il a été au contraire restauré sous les mandats successifs de Pierre Mauroy et est devenu aujourd’hui un quartier commercialement très dynamique. On y trouve beaucoup de bars, restaurants, et boutiques diverses, notamment de luxe. Depuis sa réhabilitation, le prix de l’immobilier n’a cessé d’y augmenter, renouvelant presque entièrement sa population et entraînant un rapide embourgeoisement du quartier.
Plusieurs milliers de personnes, 6.000 selon la police, ont défilé dimanche 23 juin 2013 à Paris contre le fascisme, une quinzaine de jours après la mort de Clément Méric, tué le 5 juin à Paris dans une rixe opposant antifascistes et militants d’extrême droite. Le cortège dense et hétéroclite s’est élancé vers 15 h de la place de l’Opéra, dans le 2e arrondissement de Paris, rassemblant des militants de partis politiques (NPA, Parti de Gauche), des groupes anarchistes, des associations (Attac, SOS homophobie) et des syndicats (Unef, CGT). Défilant derrière des banderoles proclamant « Le fascisme tue, l’islamophobie tue », ou représentant le visage de Clément Méric les manifestants ont scandé « Clément, Clément, antifa » ou « Pas de quartiers pour les fachos, pas de fachos dans nos quartiers ». Mais le rassemblement dépassait la simple revendication antifasciste, des affiches et banderoles dénonçant pêle-mêle l’islamophobie ou les actes homophobes. Vêtus de noir, une trentaine de manifestants ont déployé pendant quelques minutes une banderole sur la façade de l’Opéra fustigeant le fascisme, avant un défilé rythmé par des fumigènes et des pétards.