Protesters wearing a yellow vest gather in front of "La Grande Arche de la Defense" (The Great Arc of the Defense), west of Paris, on April 6, 2019 during a demonstration by the 'Yellow Vests' (gilets jaunes) movement on the 21st consecutive Saturday. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 6 avril 2019, à 16 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 171 mots. Pour leur 21e samedi de mobilisation contre la politique sociale et fiscale du gouvernement, les « gilets jaunes » ont enregistré le 6 avril 2019 la plus faible mobilisation depuis le début du mouvement, selon le ministère de l’Intérieur, à deux jours du compte-rendu du grand débat national. À Paris, le principal cortège, parti de la place de la République, a rallié l’esplanade du quartier d’affaires de la Défense, à l’ouest. Les manifestants venus dénoncer « l’art de l’optimisation fiscale » se sont rassemblés sur les marches de la Grande arche avant de se disperser, dans le calme, en fin d’après-midi. « C’est la fin du système capitaliste. Il est mort. Nous le célébrons », a commenté sur place le chanteur Francis Lalanne, vêtu d’un gilet jaune. En chemin, quelques manifestants avaient brièvement tenté de descendre sur le périphérique, avant d’être rapidement repoussés par les forces de l’ordre à l’aide de tirs de gaz lacrymogène.
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Defacto, l’établissement public de gestion du quartier de La Défense, dans les Hauts-de-Seine, a présenté le vendredi 19 septembre 2014, un nouveau spectacle exceptionnel ayant pour cadre la Grande Arche. Baptisé « Ici… ailleurs », ce spectacle a transporté les spectateurs, à travers des projections monumentales et des feux d’artifices à couper le souffle, de l’Egypte à la Chine, en passant par la route de la Soie, l’Australie, l’Afrique, New York ou encore le Brésil.
Dans le quartier d’affaires de Paris-la Défense, plus de 200.000 mètres carrés de bureaux rutilants viennent d’être commercialisés d’un seul coup. Grâce aux trois nouvelles tours, Carpe Diem, qui joue la carte écologique et collecte la pluie pour arroser ses jardins suspendus, Eqho, qui surfe sur la mode du campus et en promet une version verticale et Majunga, qui choisit le luxe et offre « terrasse et patio à chaque étage, application iPhone dédiée et conciergerie 5 étoiles ». Problème, ces bijoux d’architecture et de technologie sont vides, comme le reste du réservoir de bureaux disponibles, soit plus de 400.000 mètres carrés représentant 4 ans de stocks. Selon la Cour des comptes, d’ici à 2018 émergeront encore 400.000 mètres carrés de bureaux si les tours D2, Air², Trinity, Phare ou Hermitage pointent leurs nez comme prévu. Un malheur n’allant jamais seul, l’offre de seconde main abonde. À l’image de la Coface qui a lâché l’été dernier sa tour éponyme pour aller à Bois-Colombes, libérant 30.000 mètres carrés. SFR a commencé à abandonner début novembre 2013 la tour Séquoia pour Saint-Denis, ajoutant 55.000 mètres carrés bientôt disponibles. La Société générale – qui garde ses tours jumelles et la tour Granite, dont elle est propriétaire – libère progressivement ses immeubles-satellites, comme la tour Pacific, au profit de son nouveau site à Val-de-Fontenay. Soit 53.000 mètres carrés de plus. Et GDF Suez menace de vider les lieux. Ce qui ferait encore 70.000 mètres carrés.
Depuis 2007, le code du patrimoine autorise l’affichage publicitaire sur les bâches recouvrant les échafaudages installés sur les monuments historiques. Une aubaine pour les annonceurs qui s’offrent régulièrement les facades des luxueux musées d’Orsay, du Louvre, ou encore le Palais de Justice comme support de publicité. Depuis peu, c’est au Quai des Orfèvres que trois iPhones colorés s’étalent sur une bâche de travaux en bord de Seine, entre la Préfecture de police et le tribunal de Grande Instance de Paris. Selon le décret, les recettes publicitaires doivent uniquement servir à financer les travaux engagés sur les monuments, et la surface publicitaire ne peut dépasser 50% de la surface totale de la bâche. JC Decaux, qui assure la location de cet espace, révèle sur ces brochures destinées à attirer les annonceurs qu’une publicité installée à cet endroit coûte, prix public brut, entre 290.000 et 390.000 euros par mois, selon la période de l’année.
Espace, voilà le nom du dernier spectacle qui était proposé, pour la troisième année consécutive, sur le parvis de la Défense, dans les Hauts-de-Seine, le vendredi 20 septembre 2013 en soirée par la société Defacto. Un spectacle pyrotechnique et en 3D, qui faisait partir à la découverte de l’espace et de ses mystères. La société Defacto, l’Etablissement public de gestion, d’animation et de promotion de La Défense, avait réalisé un appel à projet pour cette 3e, et c’est Espace, conçu par l’agence Les Petits Français, qui a été retenu. Pour ce thème, l’équipe s’est attaché les compétences de Christophe Galfard, docteur en physique théorique, reconnu pour sa capacité à transmettre son savoir scientifique et à le vulgariser. Le spectacle Espace, c’était plus de 40 minutes d’exploration inédite, allant des origines de notre univers à la conquête du ciel, en passant par l’apparition de la vie ou encore les mystérieux extraterrestres. Avec ses 11 tableaux, ses 32 vidéoprojecteurs, son écran d’eau de 18 mètres par 50 et son équipe technique et artistique de 60 personnes, ce spectacle en a mis plein la vue au public venu nombreux.