L’intersyndicale réclame une hausse générale des rémunérations de 6 %. Très loin de la volonté de la direction. À l’issue des négociations annuelles obligatoires, celle-ci a fait ratifier une augmentation de 1 % par deux syndicats représentatifs, mais largement minoritaires : la CFE-CGC et la CFDT. Une « aumône » – aux dires des syndicats – qui ne passe pas.
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L’intersyndicale réclame une hausse générale des rémunérations de 6 %. Très loin de la volonté de la direction. À l’issue des négociations annuelles obligatoires, celle-ci a fait ratifier une augmentation de 1 % par deux syndicats représentatifs, mais largement minoritaires : la CFE-CGC et la CFDT. Une « aumône » – aux dires des syndicats – qui ne passe pas.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Dimanche 17 décembre 2017, à 15 h 29. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/250 s, f/8, ISO 1250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés le 17 décembre 2017 place du Châtelet, à Paris, en soutien à la Palestine et contre Israël et la décision du président Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l’État hébreu.
Une décision historique et unilatérale qui a suscité la colère des Palestiniens, une vague de critiques de la part de la communauté internationale et la crainte d’une nouvelle Intifada au Proche-Orient.
Protest in Paris, place du Châtelet, on December 17, 2017, in support of Palestine, against Israel and the US President Donald Trump's decision to recognise Jerusalem as the capital of Israel.
Sur le site de Michel Stoupak : l'article,
© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 21 décembre 2013, à 17 h 12. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: TS-E17mm f/4L ; focale: 17 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/30e de s, ƒ/6.3, ISO 500. Flash: non
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Depuis peu, c’est au Quai des Orfèvres que trois iPhones colorés s’étalent sur une bâche de travaux en bord de Seine, entre la Préfecture de police et le tribunal de Grande Instance de Paris. Selon le décret, les recettes publicitaires doivent uniquement servir à financer les travaux engagés sur les monuments, et la surface publicitaire ne peut dépasser 50% de la surface totale de la bâche.
JC Decaux, qui assure la location de cet espace, révèle sur ces brochures destinées à attirer les annonceurs qu’une publicité installée à cet endroit coûte, prix public brut, entre 290.000 et 390.000 euros par mois, selon la période de l’année.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 14 avril 2013, à 16 h 45. Appareil: Leica M9 Digital Camera. Objectif: Super-Elmar-M 18mm f/3.8 ; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/60 de s, f/6.7, ISO 800. Flash: non
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Dans quelques semaines, ce décor digne d’un musée du XVIIIe siècle aura fait place nette. Une bonne partie du mobilier et de la décoration devra avoir disparu avant la fermeture de l’établissement à la fin du mois d’avril, échéance au-delà de laquelle le bâtiment sera mis en sommeil pour un toilettage en profondeur de deux ans. Parmi les 500 lots proposés, représentant 3.500 pièces, le bar sculpté par César en 1982 est sans conteste la vedette de la vente, avec une mise de départ estimée entre 10.000 et 12.000 euros. Les fauteuils conçus par Sonia Rykiel, estimés à 1 200 euros chacun et la console en cristal du designer Philippe Starck devraient aussi se tailler un franc succès, malgré le montant fixé pour cette dernière : entre 12.000 et 15.000 euros. Mais de nombreuses pièces sont disponibles à des prix plus abordables. Citons les lustres en verre de Murano, entre 300 et 400 euros, les shakers du bar, à 200 euros, des lots de linge de toilette siglés Crillon, entre 200 et 300 euros ou des services en porcelaine, entre 300 et 400 euros. Et, à défaut de mieux, restent toujours les uniformes de groom, de concierge ou de portier, entre 200 et 300 euros pièce.
La vente, confiée à la maison Artcurial, Briest – Poulain – F. Tajan, aura lieu du 18 au 22 avril 2013.
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