Protesters wearing a yellow vest gather in front of "La Grande Arche de la Defense" (The Great Arc of the Defense), west of Paris, on April 6, 2019 during a demonstration by the 'Yellow Vests' (gilets jaunes) movement on the 21st consecutive Saturday. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 6 avril 2019, à 16 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 171 mots. Pour leur 21e samedi de mobilisation contre la politique sociale et fiscale du gouvernement, les « gilets jaunes » ont enregistré le 6 avril 2019 la plus faible mobilisation depuis le début du mouvement, selon le ministère de l’Intérieur, à deux jours du compte-rendu du grand débat national. À Paris, le principal cortège, parti de la place de la République, a rallié l’esplanade du quartier d’affaires de la Défense, à l’ouest. Les manifestants venus dénoncer « l’art de l’optimisation fiscale » se sont rassemblés sur les marches de la Grande arche avant de se disperser, dans le calme, en fin d’après-midi. « C’est la fin du système capitaliste. Il est mort. Nous le célébrons », a commenté sur place le chanteur Francis Lalanne, vêtu d’un gilet jaune. En chemin, quelques manifestants avaient brièvement tenté de descendre sur le périphérique, avant d’être rapidement repoussés par les forces de l’ordre à l’aide de tirs de gaz lacrymogène.
High school students demonstrate on their knees on December 11, 2018 in Paris, France, to protest against the different education reforms including the overhauls and stricter university entrance requirements. Images of dozens of high-school pupils kneeling with their hands behind their heads during mass round-ups sparked an outcry on December 7, 2018. Protests at some 280 schools have added to a sense of general revolt in France.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/9, ISO 6400, Compensation: -1/3. Flash: non
À Paris, une manifestation de lycéens et d’étudiants s’est formée le 11 décembre 2018 dans le Quartier Latin pour protester notamment contre la réforme du bac, la plateforme d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup et le service national universel (SNU). À coups de « Macron, t’es foutu, la jeunesse est dans la rue », le cortège s’est dirigé vers sa destination : le Ministère de l’Éducation Nationale. Sur la place Saint-Michel et à plusieurs autres reprises, les jeunes se sont tous agenouillés en solidarité avec les lycéens de Mantes-la-Jolie, dont les images à genoux, les mains liées ou derrière la tête, et parfois contre un mur. ont beaucoup circulé depuis leur interpellation. Après la vidéo polémique, deux tiers des jeunes interpellés ont écopé d’un rappel à la loi. Depuis, ces images sont devenues un symbole et beaucoup s’agenouillent lors des manifestations, pour marquer leur solidarité avec ces lycéens.
Blocage des lycées à Paris : un millier de manifestants dans la capitale
Lycéens et étudiants étaient dans la rue ce 11 décembre 2018 pour un « mardi noir ». Quelque 170 établissements étaient perturbés dans la matinée selon l’Éducation nationale, et des rassemblements forts de centaines de jeunes étaient prévus dans plusieurs villes de France. Ce mouvement, qui proteste notamment contre la réforme du bac, la plateforme d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup et le service national universel (SNU), est né la semaine dernière dans le sillage de la colère protéiforme des « gilets jaunes ». La veille, 450 établissements avaient été touchés, soit 10% des lycées en France, avec des blocages, barrages filtrants ou rassemblements devant leurs portes, selon les chiffres du ministère de l’Éducation. Cinq sites universitaires sont toujours fermés, avec un grief supplémentaire: la hausse des frais de scolarité pour les étudiants étrangers. Source.
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées dimanche 14 février 2016 à Paris en mémoire d’Ilan Halimi, jeune juif torturé à mort par le « gang des barbares » il y a dix ans. La foule était rassemblée devant le n° 229 du boulevard Voltaire, devant l’ancien emplacement de la boutique de téléphonie où travaillait le jeune homme, dont l’assassinat est devenu un symbole de la violence antisémite. Se sont notamment exprimés l’acteur Tony Harrisson, interprète du rôle de Youssouf Fofana dans le film « 24 jours » d’Alexandre Arcady, accompagné de l’actrice Rachel Kahn, ainsi que Nduwa Gershon, Président de la Fédération des juifs noirs.
Paris. Ceremony marking the 10th anniversary of the death of Ilan Halimi, a 23-years-old Jewish Frenchman murdered on February 13, 2006, on February 13, 2016 boulevard Voltaire, in Paris. Halimi was murdered after he was kidnapped and tortured for three weeks by a gang in a Paris suburb.
Paris a dévoilé le mardi 9 février 2016 à 20 h 24 le logo de sa campagne olympique. L’image symbole pour la candidature aux Jeux olympiques a été projetée sur l’Arc de Triomphe, signant le coup d’envoi d’une semaine de révélations qui culminera le 17 février par l’envoi du dossier de candidature au CIO. Les rares initiés qui étaient dans la confidence s’accordaient à trouver le logo « magnifique », « élégant ». Quoi qu’il en soit, le secret avait été bien gardé et la mise en scène bien huilée autour de sa présentation. Depuis 19 h, des tweets de soutien à Paris 2024 étaient projetés sur l’Arc de Triomphe, dessinant progressivement le logo pixelisé de la candidature. Sous la pluie, les Parisiens étaient invités à se masser en haut des Champs-Elysées pour signifier leur indispensable soutien au projet.
The logo for Paris as a candidate for the 2024 Olympics Games is projected onto the Arc de Triomphe in Paris on February 9, 2016
Le feu d’artifice du 14 juillet 2013 de la Ville de Paris a été confié cette année à la société Fêtes et Feux, qui a su enflammer le Champs de Mars de plus de 25.000 projectiles et de 4.000 bombes de gros calibres… C’est un feu d’artifice de 35 minutes aux couleurs de la France, avec pour thème « Liberté, Egalité, Fraternité » qui a éclairé le symbole de la capitale. Un spectacle exaltant, auquel même la lune s’était conviée.
L’usage du drapeau arc-en-ciel est une tradition ancienne commune à de nombreuses cultures. Il évoque généralement la paix, la diversité et l’harmonie. Aujourd’hui, le drapeau arc-en-ciel est principalement connu comme celui de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transsexuelle (LGBT) : il comporte alors six bandes de couleurs différentes. Le premier drapeau arc-en-ciel utilisé comme symbole du mouvement LGBT a été conçu et réalisé par le graphiste et militant politique américain Gilbert Baker, alors âgé de 27 ans, pour la Gay and Lesbian Freedom Day Parade de San Francisco le 25 juin 1978. L’origine du drapeau n’est pas établie : il a été suggéré qu’il aurait été inspiré par la chanson « Over the rainbow » chantée dans le film « Le magicien d’Oz » par l’actrice Judy Garland ou destiné à représenter par la diversité des couleurs la diversité des orientations sexuelles. Gilbert Baker a aussi peut-être été inspiré par le « drapeau des races » utilisé sur les campus américains dans les années 1960 et qui comportait cinq bandes horizontales de couleurs différentes. Lors de la marche organisée en novembre suivant pour protester contre l’assassinat de Harvey Milk, le premier élu ouvertement gay de San Francisco, la Paramount Flag Company produit des versions à sept bandes car le rose n’était alors pas disponible industriellement. Par la suite, Gilbert Baker fait également supprimer le turquoise, pour maintenir un nombre pair de couleurs pour une décoration de Market Street : le drapeau compte alors six bandes (rouge, orange, jaune, vert, bleu, violet) et devient définitif. Aujourd’hui, le drapeau arc-en-ciel LGBT a acquis une renommé mondiale.
Prise de vue: Dimanche 9 décembre 2012, à 15 h 05. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: Zeiss Distagon T* 2.8/15 ZE ; focale: 15 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/7.1, ISO 5000. Flash: non
Du 8 décembre 2012 au 29 janvier 2013, l’église de la Madeleine présente comme chaque année une crèche de Noël revisitée par un artiste contemporain. C’est le styliste Gaëtan Duthu qui imagine cette année une crèche inspirée d’un passage de l’évangile de saint Luc : « et soudain, il se joignit une multitude de l’armée céleste… » (Luc 2, 8-14). Le résultat est pour le moins étonnant car très contemporain, le numérique et les nouvelles technologies y étant très présents. Sur une création de 11 mètres de long, l’artiste propose une crèche symbole de notre société, qui ne cesse de multiplier les moyens de communications.