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Leader of France's Rassemblement National (RN) far-right political party Marine Le Pen (C) speaks during RN party's fair Fete du drapeau (Celebration of the flag), on September 23, 2018 in Mantes-la-Ville, outside Paris
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Devant environ 400 personnes à Mantes-la-Ville la présidente du Rassemblement national (RN) a voulu remobiliser sa base, le 23 septembre 2018, à huit mois des élections européennes. « Parce que nous sommes des dissidents, rien de nous sera épargné », a estimé Marine Le Pen lors d’une « fête du drapeau » organisée dans la seule ville d’Ile-de-France tenue par le RN. Cette manifestation faisait écho aux populaires fêtes BBR (bleu-blanc-rouge) organisées par son père Jean-Marie Le Pen jusqu’en 2006. « Chaque jour le système nous (sert) une persécution supplémentaire. Un jour une perquisition, un autre jour une mise en examen », a-t-elle énuméré, évoquant aussi les difficultés bancaires de son parti, dont certains comptes ont été clôturés par la Société générale. Marine Le Pen est mise en examen, ainsi qu’une quinzaine d’autres personnes, pour emplois fictifs présumés au Parlement européen. Dans le cadre de cette affaire, les juges ont saisi 2 millions d’euros d’aide publique dus au RN, craignant que le parti, très endetté, ne s’en serve pour rembourser ses emprunts et ne soit plus en mesure de payer d’éventuels dommages.
Plusieurs milliers de manifestants se sont réunis le dimanche 5 mars 2017, sous une pluie battante, place du Trocadéro à Paris où était organisé le rassemblement de soutien à François Fillon, candidat de la droite à la présidentielle. C’est par un mea culpa que l’ancien premier ministre a entamé son allocution d’une demi-heure durant laquelle il a modéré ses attaques sur la justice. « Je vous dois des excuses dont celle de devoir défendre devant vous mon honneur et celui de mon épou-
se », a-t-il débuté. « C’est par ma faute que le projet auquel je crois rencontre autant d’obstacles », a-t-il dit aussi en évoquant le recrutement de sa femme et ses « hésitations sur la manière de vous en parler ».
A l’issue d’une Marseillaise qui s’est déroulée sous le soleil revenu, Penelope Fillon est montée sur scène, un drapeau bleu-blanc-rouge à la main pour s’afficher aux côtés de son mari.
French presidential election candidate for the right-wing Les Republicains (LR) party Francois Fillon gives a speech during a rally at the Place du Trocadero, in Paris, on March 5, 2017. Embattled French conservative Francois Fillon told supporters to never give up the fight as he strives to stay in the presidential election race amid an expenses scandal. Fillon, who is to be charged over claims he gave his wife and children highly-paid fake parliamentary jobs, told the rain-drenched crowd he had been attacked by everyone in the campaign.
À partir du samedi 14 décembre 2013, la Tour Eiffel affiche pour trois nuits l’inscription « Nelson Mandela 1918-2013 » en lettres lumineuses de cinq mètres de haut, entourée de faisceaux lumineux aux couleurs du drapeau sud-africain. En Afrique du Sud, l’enterrement de Nelson Mandela aura lieu le dimanche 15 décembre à Qunu, son village d’origine. Cette illumination sera également visible le 16 décembre, journée de la réconciliation en Afrique du Sud. Cette initiative est mise en œuvre par l’Institut français et le National Arts Council d’Afrique du Sud, en partenariat avec la Ville de Paris et la Société d’Exploitation de la Tour Eiffel.
C'est le week-end des 5 et 6 octobre 2013 que s’est couru à l’hippodrome de Longchamp, à Paris, la 92e édition du Qatar Prix de l’Arc de Triomphe. Un rendez-vous unique avec les meilleurs jockeys et chevaux de la planète. 60.000 spectateurs à Longchamp, plus d’1 milliard de téléspectateurs dans le monde… Le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe est une course unique, qui rassemble les meilleurs purs-sangs mondiaux âgés de 3 ans et plus et considérée comme l’une des plus prestigieuses courses de chevaux au monde. Treize courses dont huit finales mondiales se déroulaient sur les deux jours, avec comme point d’orgue le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe, couru sur 2 400 mètres et doté cette année de 4,8 millions d’euros. La pouliche française Trêve, montée par Thierry Jarnet, a remporté très facilement ce 92e prix, devant le grandissime favori nippon Orfèvre et privé comme l’an dernier le Japon d’un premier sacre dans l’épreuve reine du galop. Les quelque 6.000 supporteurs japonais, certains vêtus de kimonos traditionnels, ont pourtant affiché beaucoup d’enthousiasme dans les tribunes, agitant drapeaux et bannières en l’honneur des deux chevaux japonais engagés, Orfèvre et Kizuna.
La pouliche française Trêve, montée par Thierry Jarnet, a remporté très facilement dimanche 6 octobre 2013 le 92e prix de l’Arc de Triomphe devant le grandissime favori nippon Orfèvre et privé comme l’an dernier le Japon d’un premier sacre dans l’épreuve reine du galop. Orfèvre, qui avait échoué d’un rien l’an passé, a de nouveau dû se contenter de la deuxième place en dépit du soutien bruyant de milliers de Japonais présents à Longchamp. Les quelque 6.000 supporteurs japonais, certains vêtus de kimonos traditionnels, ont pourtant affiché beaucoup d’enthousiasme dans les tribunes, agitant drapeaux et bannières en l’honneur des deux chevaux japonais engagés, Orfèvre et Kizuna. Pilotée par Thierry Jarnet en remplacement de l’Italo-Américain Lanfranco Dettori, blessé, Trêve s’est détachée à 150 mètres du but pour s’imposer de cinq franches longueurs dans un temps de 2' 32" 4, sans battre le record de la piste détenu par l’Allemande Danedream (2’ 24" 49). La remise des prix était placée sous le parrainage de l’acteur Christophe Lambert.
Pacifistes, militants de gauche, pro-Assad, Kurdes : quelques centaines de personnes se sont retrouvées le 8 septembre 2013, place Saint-Michel à Paris, pour protester contre une éventuelle action militaire en Syrie. Le cortège, dans lequel se trouvaient des portraits du président Bachar al-Assad, et des drapeaux de la Russie et du mouvement chiite libanais Hezbollah, a rejoint le Panthéon en fin d’après-midi.
Alors que le secrétaire d’Etat aux Anciens combattants, Kader Arif, présidait, le dimanche 25 août 2013, le 69e anniversaire de la Libération de Paris sur le parvis de l’Hôtel de Ville, des Espagnols et sympathisants ont été autorisés, pour la deuxième fois consécutive, à déployer des drapeaux espagnols devant la plaque commémorant le parcours suivi par la 9e compagnie de la 2e DB du général Leclerc lors de la Libération de Paris. Le général avait lancé l’offensive le 24 août 1944 en donnant l’ordre d’entrer sans délai dans Paris au capitaine Dronne, chef de la 9e compagnie composée de 146 républicains espagnols et baptisée la Nueve. L’officier, passant par la porte d’Italie, avait foncé sur le centre de la ville à la tête de deux sections de cette compagnie et le premier véhicule de la Nueve est arrivé place de l’Hôtel de-Ville le 24 août 1944 peu après 20 heures. Rescapés de la guerre civile contre Franco, engagés dans l’armée de la France libre, les républicains espagnols de la Nueve libéreront ensuite l’Alsace et la Lorraine, se battront en Allemagne.
Sur les 146 qui avaient débarqué en Normandie, seuls 16 d’entre eux seront encore là pour pénétrer – les premiers – dans le nid d’aigle d’Hitler, à Berchtesgaden.
Une centaine de personnes ont manifesté le samedi 24 août 2013 sur l’esplanade des Invalides, au centre de Paris, en face du ministère des Affaires étrangères, pour dire « A bas l’armée » et réclamer le retour au pouvoir du président islamiste déchu Mohamed Morsi. Mohamed Morsi, premier chef de l’Etat élu démocratiquement en Egypte, issu des rangs des Frères musulmans, a été renversé et arrêté le 3 juillet 2013 par l’armée égyptienne, dirigée par le général Abdel Fattah al-Sissi. Les manifestants, hommes, femmes voilées pour la plupart, et enfants, brandissaient des drapeaux égyptiens mais aussi quelques syriens et algériens, des photos de victimes des violences, des portraits du président déchu et un slogan sur fond jaune : « Silence kills ».
C’est devenu une image mythique du 14 juillet. Dimanche, à 10 h 36 précises, la patrouille de France a tracé dans le ciel parisien le drapeau bleu-blanc-rouge, survolant l’alignement de la Grande Arche, de l’Arc de Triomphe puis la tribune officielle. Les moyens aériens se sont succédé avant que ne commence le défilé au sol. Si l’on en croit le compte Twitter officiel de la patrouille, les avions ont défilé en formation « Big Nine », avant de prendre la direction du Mont-Ventoux à l’occasion du Tour de France. À bord d’un alphajet se trouvait un invité de marque : Michel Drucker. Pilote d’hélicoptère et colonel de réserve de l’armée de l’air, il avait déjà été parrain de la Patrouille en 1990.
L’usage du drapeau arc-en-ciel est une tradition ancienne commune à de nombreuses cultures. Il évoque généralement la paix, la diversité et l’harmonie. Aujourd’hui, le drapeau arc-en-ciel est principalement connu comme celui de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transsexuelle (LGBT) : il comporte alors six bandes de couleurs différentes. Le premier drapeau arc-en-ciel utilisé comme symbole du mouvement LGBT a été conçu et réalisé par le graphiste et militant politique américain Gilbert Baker, alors âgé de 27 ans, pour la Gay and Lesbian Freedom Day Parade de San Francisco le 25 juin 1978. L’origine du drapeau n’est pas établie : il a été suggéré qu’il aurait été inspiré par la chanson « Over the rainbow » chantée dans le film « Le magicien d’Oz » par l’actrice Judy Garland ou destiné à représenter par la diversité des couleurs la diversité des orientations sexuelles. Gilbert Baker a aussi peut-être été inspiré par le « drapeau des races » utilisé sur les campus américains dans les années 1960 et qui comportait cinq bandes horizontales de couleurs différentes. Lors de la marche organisée en novembre suivant pour protester contre l’assassinat de Harvey Milk, le premier élu ouvertement gay de San Francisco, la Paramount Flag Company produit des versions à sept bandes car le rose n’était alors pas disponible industriellement. Par la suite, Gilbert Baker fait également supprimer le turquoise, pour maintenir un nombre pair de couleurs pour une décoration de Market Street : le drapeau compte alors six bandes (rouge, orange, jaune, vert, bleu, violet) et devient définitif. Aujourd’hui, le drapeau arc-en-ciel LGBT a acquis une renommé mondiale.
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Au moins 15.000 Kurdes venus de toute l’Europe ont manifesté bruyamment samedi 12 janvier 2013 à Paris pour dire leur indignation après l’assassinat de trois militantes liées au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), insistant sur la nécessité de poursuivre les négociations de paix. Au même moment que ses opposants kurdes, Ankara a relayé une exigence analogue, sommant Paris d’élucider le triple meurtre de Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Soylemez, tuées de plusieurs balles dans la tête au centre d’information du Kurdistan dans le centre de Paris jeudi 10 janvier 2013. La préfecture de police a chiffré à 15.000 le nombre des manifestants, les organisateurs évoquant « plus de 50.000 » participants. Vêtus de couleurs sombres en signe de deuil, les manifestants se sont mis en marche gare de l’Est sous la pluie et une nuée de drapeaux dont beaucoup à l’effigie d’Abdullah Ocalan, le leader du PKK emprisonné en Turquie. Nombre d’entre eux portaient des foulards jaunes, rouges et verts aux couleurs du drapeau kurde et brandissaient les portraits des trois victimes. Les manifestants ont afflué à Paris depuis la Suisse, la Belgique, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne, mais surtout l’Allemagne. Dominique Voynet, maire de Montreuil, a défilé en tête de cortège.