Protesters are blocked by the anti-riot police in the Avenue des Champs Elysées with the Arc de Triomphe on the background during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement, to protest against the rising costs of living they blame on high taxes, in Paris, on December 29, 2018. The yellow vests (gilets jaunes) movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against President's policies and top-down style of governing.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/4, ISO 4000, Compensation: -1/3. Flash: non
EXTRAIT : 215 mots Après un « acte VI » qui a peu mobilisé et au milieu des fêtes de fin d’année, le septième week-end de mobilisation des gilets jaunes a démarré timidement ce samedi 29 décembre 2018 alors que des rassemblements étaient organisés à Paris, Marseille, Lyon, Metz, Rouen, Nantes, Toulouse ou encore Bordeaux. Environ 12.000 gilets jaunes ont été recensés, selon les informations de LCI. La préfecture de police de Paris a dénombré 800 manifestants dans la capitale, à 18 heures. Le mouvement, qui dure depuis un mois et demi, a largement décru ces dernières semaines. (…) Mais pour une grande partie du mouvement, cette baisse est due aux fêtes avant une reprise très forte en janvier. À Paris, des centaines de gilets jaunes se sont rassemblés à la mi-journée devant le siège de BFMTV pour dénoncer le traitement de leur mouvement par la chaîne d’information en continu. Certains manifestants ont lancé des projectiles. Ils se sont ensuite dirigés vers le siège de France télévisions. Les tensions se sont poursuivies l’après-midi dans le XVe arrondissement. Comme dans d’autres villes, les gilets jaunes avaient choisi de ne pas dévoiler à l’avance leur action pour surprendre les forces de l’ordre notamment. (…) En fin de journée, des tensions étaient signalées place du Trocadéro. (source : www.huffingtonpost.fr)
Plusieurs milliers de manifestants se sont réunis le dimanche 5 mars 2017, sous une pluie battante, place du Trocadéro à Paris où était organisé le rassemblement de soutien à François Fillon, candidat de la droite à la présidentielle. C’est par un mea culpa que l’ancien premier ministre a entamé son allocution d’une demi-heure durant laquelle il a modéré ses attaques sur la justice. « Je vous dois des excuses dont celle de devoir défendre devant vous mon honneur et celui de mon épou-
se », a-t-il débuté. « C’est par ma faute que le projet auquel je crois rencontre autant d’obstacles », a-t-il dit aussi en évoquant le recrutement de sa femme et ses « hésitations sur la manière de vous en parler ».
A l’issue d’une Marseillaise qui s’est déroulée sous le soleil revenu, Penelope Fillon est montée sur scène, un drapeau bleu-blanc-rouge à la main pour s’afficher aux côtés de son mari.
French presidential election candidate for the right-wing Les Republicains (LR) party Francois Fillon gives a speech during a rally at the Place du Trocadero, in Paris, on March 5, 2017. Embattled French conservative Francois Fillon told supporters to never give up the fight as he strives to stay in the presidential election race amid an expenses scandal. Fillon, who is to be charged over claims he gave his wife and children highly-paid fake parliamentary jobs, told the rain-drenched crowd he had been attacked by everyone in the campaign.
À Paris, 7 000 personnes, selon la police, se sont rassemblées place du Trocadéro, samedi 21 janvier 2017, pour dire leur rejet de Donald Trump et défendre les droits des femmes. La foule a répondu présent à l’appel à manifester parti des États-Unis, et repris en France par une quarantaine d’associations féministes et des partis de gauche. Une majorité de femmes avait fait le déplacement, mais beaucoup d’hommes les accompagnaient. Ensemble, ils entonnaient un « They go low, we go high », en français « soyons au-dessus d’eux », avant que le cortège ne s’élance vers l’Ecole militaire. La plupart des slogans étaient écrits en anglais. « Avec son discours misogyne, j’ai peur que Trump autorise implicitement les hommes à se comporter comme lui », expliquait Alexandra, une trentenaire, toute de rose vêtue.
A woman holds a sign reading 'Thank you. We will miss you' in Paris on January 21, 2017 during a women's march in solidarity with women in the US marching against Trump.
Plusieurs centaines de ressortissants gabonais résidant en France ont manifesté le 10 septembre 2016 à Paris suite à la réélection contestée d’Ali Bongo. Après un rassemblement sur le parvis des droits de l’homme au Trocadéro, les manifestants se sont dirigés vers l’ambassade du Gabon à Paris, manifestant leur opposition aux résultats du vote et réclamant la reconnaissance de l’élection de l’opposant Jean Ping. Officiellement, Ali Bongo a été élu sur le fil, avec 6000 voix de plus que son adversaire. Pour pouvoir y arriver, il a fait le plein de voix dans son fief du Haut-Ogooué. Il y aurait obtenu 95,46 % des suffrages, avec un taux de participation de 99,93 %.
Protesters hold sign as people from the Gabonese community demonstrate on September 10, 2016 in Paris against Ali Bongo after the results of Gabon's disputed election. Questions are growing in Gabon over President Ali Bongo's disputed election win as EU observers said there had been a clear anomaly in the vote count in an area known to be his stronghold.
À l’occasion de la Journée Internationale de la Femme, la 6e édition de Toutes en moto invitait toutes les motardes pour un défilé à moto le dimanche 13 mars 2016 à Paris, Place du Trocadéro. Le monde de la moto est essentiellement masculin. Moins de 20% des motards sont… des motardes. Libres, déterminées, affranchies des convenances, audacieuses, actuelles… Emblématiques de notre époque, elles partagent leur passion avec leurs compagnons de route dans le respect et la solidarité mutuels, tout en conservant leur indépendance.
France. Paris. Women’s gathering motorcyclists for the Women’s day.
Depuis la destitution le 3 juillet 2013 du président islamiste égyptien Mohamed Morsi par l’ex-chef de l’armée et actuel président Abdel Fattah al-Sissi, ses partisans manifestent régulièrement pour réclamer son retour. À l’appel du collectif « Démocratie en Égypte » plusieurs dizaines de partisans de l’ex-président se sont rassemblées le vendredi 15 août 2014 à Paris place du Trocadéro. Les manifestants exhibaient notamment le « Rabia », un signe de la main devenu le symbole du massacre du square Rabaa Al-Adawiya en Égypte sur lequel s’était tenu une manifestation contre le coup d’État militaire à l’encontre du président Mohamed Morsi.
Le dimanche 13 avril 2014, Paris accueillait la première édition européenne de la Color Run, une course pas comme les autres. Lancé aux États-Unis, le concept est simple : à chaque kilomètre les coureurs vêtus de blancs se font asperger par des poudres colorées. Cette course, plus festive que sportive, s’étend sur cinq kilomètres et a une visée caritative puisque les gains des courses sont reversés à des associations. Les Color Runners sont partis de l’Hôtel de Ville entre 9 h 30 et 12 h 30 pour aller jusqu’au Trocadéro, où ils se sont réunis pour le « finisher festival », s’aspergeant encore de poudres colorées sur fond de musique electro. Les poudres utilisées sont composées de fécule de maïs à laquelle sont ajoutés des colorants alimentaires.