Plusieurs centaines de personnes manifestaient samedi après-midi à Paris pour dénoncer le Ceta, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada, qui doit être signé le 27 octobre. Les manifestants étaient également mobilisés contre le Tafta (ou TTIP), projet d’accord de libre-échange avec les États-Unis, dont la portée serait beaucoup plus importante mais dont la conclusion n’est plus envisagée pour cette année.
Hundreds of people protest against the TAFTA and CETA trade deals in Paris on October 15, 2016. The demonstrators dressed as animals, waved banners and flags and shouted their dissatisfaction.
Le dimanche 13 avril 2014, Paris accueillait la première édition européenne de la Color Run, une course pas comme les autres. Lancé aux États-Unis, le concept est simple : à chaque kilomètre les coureurs vêtus de blancs se font asperger par des poudres colorées. Cette course, plus festive que sportive, s’étend sur cinq kilomètres et a une visée caritative puisque les gains des courses sont reversés à des associations. Les Color Runners sont partis de l’Hôtel de Ville entre 9 h 30 et 12 h 30 pour aller jusqu’au Trocadéro, où ils se sont réunis pour le « finisher festival », s’aspergeant encore de poudres colorées sur fond de musique electro. Les poudres utilisées sont composées de fécule de maïs à laquelle sont ajoutés des colorants alimentaires.
L’Américaine Erika Jones participait à sa troisième Finale et est certainement l’athlète de l’année dans sa catégorie. Médaillée de bronze lors de la Finale d’Edimbourg en 2010, elle tentait d’égaler sa victoire d’Istanbul en 2011. Cette saison, elle a obtenu trois médailles d’argent individuelles et est grimpée sur la plus haute marche du podium en double mixte à deux reprises et une fois par équipe. C’est cependant la Colombienne Usquiano qui s’est imposée 143 à 142 contre l’américaine. Née à Oklahoma, aux États-Unis, Erika Jones est diplômée de l’Université de Nebraska-Lincoln.
Photographier le départ d’un flèche (photo 1/9) est particulièrement difficile, les projectiles atteignant en compétition des vitesses comprises entre 280 et 300 km/h. A ces vitesses, la flèche parcourt 8 mètres en 1/10 de seconde, temps séparant deux déclenchements en rafale à 10 images par seconde. Réaliser ce type d’image relève donc essentiellement de la chance.