French far-right Rassemblement National (RN) party president Marine le Pen (C) meets people as she visits the 2019 Agriculture fair on February 28, 2019 in Paris.
Prise de vue: Jeudi 28 février 2019, à 10 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 25 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/7.1, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 220 mots. En visite au Salon de l’Agriculture le samedi 23 février 2019, Emmanuel Macron avait plaidé pour une Europe qui retrouve sa « souveraineté alimentaire », en promettant une Politique agricole commune « réinventée » qui assure la « souveraineté alimentaire, environnementale et industrielle » de l’Europe. Marine Le Pen avait alors dénoncé des « mensonges éhontés ». Une accusation répétée ce jeudi lors de son passage au Salon de l’Agriculture. « Il en est où le plan Marshall de 5 milliards pour l’agriculture, et le plan Ambition bio ? Ça en est où toutes ces belles promesses ? », s’est-elle interrogée devant la presse. Avec Emmanuel Macron, « c’est le chaos et la baisse des aides de la PAC », a-t-elle insisté. « Emmanuel Macron va-t-il ‘Alstomiser’ l’agriculture française », a-t-elle interrogé. Alors que la France et l’Allemagne soutenaient la fusion du Français Alstom et de l’Allemand Siemens, Bruxelles a rejeté en ce début d’année cette union. Une décision qui avait réjoui la députée du Pas-de-Calais. Pour Marine Le Pen, une « Alstomisation » livrerait l’agriculture française aux « prédateurs » de toute sorte : les « prédateurs du bas », avec la loi EgAlim et la hausse des marges dans la grande distribution et les « prédateurs du haut », avec « les sommes faramineuses » versées à l’Union européenne. Source : boursorama.com, lien à la fin de l'article complet.
People take part in a demonstration on January 06, 2017 in Paris to commemorate the killing on January 9, 2013 at the Kurdish Information Centre in Paris of the three top Kurdish activists Sakine Cansiz, Fidan Dogan and Leyla Soylemez. Données techniques de cette photo.Prise de vue: Samedi 6 janvier 2018, à 10 h 20. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/8, ISO 2000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 93 mots. Plusieurs milliers de Kurdes ont manifesté samedi 6 janvier 2018 à Paris pour réclamer « vérité » et « justice » sur l’assassinat en 2013 dans la capitale française de trois militantes kurdes, dénonçant le « silence » des autorités françaises sur cette affaire. « Erdogan, assassin ! » a scandé à de nombreuses reprises la foule au lendemain même de la visite à Paris du président turc Recep Tayyip Erdogan, qui a été reçu par le président français Emmanuel Macron. Ce défilé dans les rues de Paris a réuni des manifestants venus de plusieurs pays européens, en particulier d’Allemagne…
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Au moins 15.000 Kurdes venus de toute l’Europe ont manifesté bruyamment samedi 12 janvier 2013 à Paris pour dire leur indignation après l’assassinat de trois militantes liées au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), insistant sur la nécessité de poursuivre les négociations de paix. Au même moment que ses opposants kurdes, Ankara a relayé une exigence analogue, sommant Paris d’élucider le triple meurtre de Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Soylemez, tuées de plusieurs balles dans la tête au centre d’information du Kurdistan dans le centre de Paris jeudi 10 janvier 2013. La préfecture de police a chiffré à 15.000 le nombre des manifestants, les organisateurs évoquant « plus de 50.000 » participants. Vêtus de couleurs sombres en signe de deuil, les manifestants se sont mis en marche gare de l’Est sous la pluie et une nuée de drapeaux dont beaucoup à l’effigie d’Abdullah Ocalan, le leader du PKK emprisonné en Turquie. Nombre d’entre eux portaient des foulards jaunes, rouges et verts aux couleurs du drapeau kurde et brandissaient les portraits des trois victimes. Les manifestants ont afflué à Paris depuis la Suisse, la Belgique, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne, mais surtout l’Allemagne. Dominique Voynet, maire de Montreuil, a défilé en tête de cortège.