A woman shirtless with the body covered with inscription « Don’t sell out laicité » gestures as she takes part in a "Femen type" of protest action, during a march near the Gare du Nord, in Paris, on November 10, 2019, to protest against Islamophobia, at the call of several anti-racist activists and collectives.
Prise de vue: Dimanche 10 novembre 2019, à 13 h 31. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 28 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/7.1, ISO 6400. Flash: non
Résumé : 185 mots À peine partie de la Gare du Nord à Paris, la marche contre l’islamophobie a connu un accroc ce dimanche 10 novembre 2019. Une femme seins nus a fait irruption dans le cortège. « Ne bradons pas la laïcité », avait-elle écrit sur son corps. La scène a été capturée par plusieurs caméras de téléphone. On y voit la jeune fille ôter sa chemise bleue pour révéler sa poitrine et le message qu’elle y a inscrit, levant les deux poings en l’air et déclenchant des cris autour d’elle. Un cercle s’est rapidement formé autour d’elle, certains manifestants empêchant les autres s’approcher. Sur des images partagées par un journaliste de la RTS, on peut apercevoir le service d’ordre de la marche tentant de l’exfiltrer et créant une barrière entre la militante et les manifestants. « La tension est retombée, pas d’agressivité », écrit le journaliste Alexandre Habay, qui rapporte que selon certains, la police était attendue. Contrairement aux apparences et à ce qui a été initialement relayé sur les réseaux sociaux, la militante n’appartient cependant pas aux Femen. Source.
Greta Thunberg (C, with a white placard), the Swedish 16-year-old climate activist and the figurehead of the movement "Youth for Climate" takes part in a demonstration of students in front of the Paris Opera on February 21, 2019, to demand concrete measures to politicians to counter the global warming.
Prise de vue: Vendredi 22 février 2019, à 13 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, Program AE, 1/1000 sec, f/5.6, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 120 mots. Un millier de jeunes se sont rassemblés vendredi 22 février 2019 à Paris, autour de l’adolescente suédoise et égérie du climat Greta Thunberg, pour la deuxième journée d’une mobilisation française des jeunes pour le climat, jusqu’alors timide. Étaient présentes notamment les adolescentes belges Kyra Gantois et Anuna de Wever, visages du mouvement climat en Belgique, ou Ysee Parmentier, une collégienne venue du Tarn-et-Garonne. Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants ont défilé, portant des pancartes « le futur commence ici », « Sauve la Terre, mange un lobbyiste », « Water is coming » et scandant les slogans « on est plus chaud que le climat » ou « rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Source : https://www.lemonde.fr, lien à la fin de l'article complet.
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A member of the L214 association protests in front a butcher shop during the 18th Paris Veggie Pride on September 22, 2018 in Paris. The Paris Veggie Pride is held with the aim of questioning the legitimacy of killing animals for consumption and to defend the rights of people refusing to eat animals.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/7.1, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 169 mots. C’est peu connu mais cela fait 18 ans qu’une poignée de militants organise tous les ans à Paris, une manifestation dénommé « Veggie Pride » et destinée à faire connaître le courant de pensée antispéciste, réfutant toute hiérarchie entre les êtres humains et les animaux. Mais alors qu’ils n’étaient que quelques dizaines dans les années 2000, ils étaient 1500 l’année dernière et pourraient bien être plusieurs milliers pour l’édition 2018 qui a lieu comme l’un des moments forts du festival antispéciste installé place de la République jusqu’au 23 septembre 2018 au soir. Si la Veggie Pride se veut pacifique, les bouchers, fromagers ou poissonniers sont inquiets à cause des nombreux incidents ces dernières semaines contre leurs commerces. (…) Fin mars, une militante vegan de la cause animale qui avait publié un message injurieux à l’égard d’un boucher tué dans un supermarché à Trèbes lors d’un attentat djihadiste, a été condamnée à sept mois de prison avec sursis pour « apologie du terrorisme ».
Dix ans après les émeutes en banlieue, plusieurs milliers de personnes ont participé, le samedi 31 octobre 2015, à une « Marche de la dignité » dans les rues de Paris, dénonçant violences policières, racisme et humiliations. Une foule compacte, avec au premier rang des femmes, a commencé à défiler en début d’après-midi derrière une banderole « Marche de la dignité contre le racisme » en scandant « justice, réparations, unité ». Les manifestants, certains arrivés en bus de province, sont partis du quartier populaire de Barbès, dans le nord de la capitale, à l’initiative de la Marche des femmes pour la dignité (Mafed), collectif de femmes soutenues par la militante américaine des droits civiques Angela Davis et des dizaines de personnalités et d’associations luttant contre les discriminations.
Women hold banners saying Black lives matter, Gentrification = Colonization from the inside during a demonstration in Paris on October 31, 2015 to denunciate racism and police violence, ten years after the french riots.
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Au moins 15.000 Kurdes venus de toute l’Europe ont manifesté bruyamment samedi 12 janvier 2013 à Paris pour dire leur indignation après l’assassinat de trois militantes liées au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), insistant sur la nécessité de poursuivre les négociations de paix. Au même moment que ses opposants kurdes, Ankara a relayé une exigence analogue, sommant Paris d’élucider le triple meurtre de Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Soylemez, tuées de plusieurs balles dans la tête au centre d’information du Kurdistan dans le centre de Paris jeudi 10 janvier 2013. La préfecture de police a chiffré à 15.000 le nombre des manifestants, les organisateurs évoquant « plus de 50.000 » participants. Vêtus de couleurs sombres en signe de deuil, les manifestants se sont mis en marche gare de l’Est sous la pluie et une nuée de drapeaux dont beaucoup à l’effigie d’Abdullah Ocalan, le leader du PKK emprisonné en Turquie. Nombre d’entre eux portaient des foulards jaunes, rouges et verts aux couleurs du drapeau kurde et brandissaient les portraits des trois victimes. Les manifestants ont afflué à Paris depuis la Suisse, la Belgique, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne, mais surtout l’Allemagne. Dominique Voynet, maire de Montreuil, a défilé en tête de cortège.