Greta Thunberg (C, with a white placard), the Swedish 16-year-old climate activist and the figurehead of the movement "Youth for Climate" takes part in a demonstration of students in front of the Paris Opera on February 21, 2019, to demand concrete measures to politicians to counter the global warming.
Prise de vue: Vendredi 22 février 2019, à 13 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, Program AE, 1/1000 sec, f/5.6, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 120 mots. Un millier de jeunes se sont rassemblés vendredi 22 février 2019 à Paris, autour de l’adolescente suédoise et égérie du climat Greta Thunberg, pour la deuxième journée d’une mobilisation française des jeunes pour le climat, jusqu’alors timide. Étaient présentes notamment les adolescentes belges Kyra Gantois et Anuna de Wever, visages du mouvement climat en Belgique, ou Ysee Parmentier, une collégienne venue du Tarn-et-Garonne. Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants ont défilé, portant des pancartes « le futur commence ici », « Sauve la Terre, mange un lobbyiste », « Water is coming » et scandant les slogans « on est plus chaud que le climat » ou « rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Source : https://www.lemonde.fr, lien à la fin de l'article complet.
Youths, mostly high school and college students, demonstrate near the French Ministry for Ecology in Paris on February 15, 2019 to protest against climate change, part of a Europe-wide movement that has seen walkouts in Belgium, Great-Britain, Germany, and Sweden.
Prise de vue: Vendredi 15 février 2019, à 14 h 06. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 25 mm. Exposition: Auto, program AE, 1/250 sec, f/2.8, ISO 125, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 156 mots. Plus de 200 jeunes ont manifesté vendredi 15 février 2019 à Paris contre l'« inaction climatique » du gouvernement, une première mobilisation timide comparée aux milliers d’élèves ayant défilé en Belgique ou au Royaume-Uni. À l’appel de l’adolescente suédoise Greta, 16 ans, qui chaque vendredi depuis des mois sèche les cours pour aller protester devant le parlement suédois, des écoliers et étudiants descendent dans la rue une fois par semaine dans de nombreuses villes du monde. Mais le mouvement n’avait pas encore gagné la France. Vendredi, à l’appel d’un collectif d’étudiants d’Ile-de-France, des dizaines de jeunes portant des pancartes « Sauve un panda, taxe un banquier » ou « moins de riches, plus de ruches » se sont assis devant le ministère de la Transition écologique, bloquant la circulation. La secrétaire d’État à la Transition écologique Brune Poirson est sortie à la rencontre des jeunes massés devant son ministère.
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées le 19 février 2017 place de la République, à Paris, afin de dénoncer la corruption de la classe politique, sur fond de scandale d’emplois fictifs présumés dans lequel est empêtré François Fillon. Les manifestants sont venus avec des pancartes en nombre mais aussi des casseroles, symboles des affaires traînées par les politiques. L’événement a rassemblé rapidement plus de 11.000 personnes sur Facebook. Cette mobilisation a surpris l’organisateur Vincent Galtier, photographe, sans étiquette politique. « Je pensais qu’on serait 30, 40. Ça a pris très vite ». C’est en regardant
la conférence de presse de François Fillon qu’il a eu envie de faire quelque chose. « Ça a ravivé ce que j’avais pu ressentir pendant l’affaire Cahuzac. Je me suis dit que ce n’était plus possible d’avoir ce problème de représentation, ça fragilise trop la confiance entre les citoyens et la classe politique. Certains élus n’ont plus la légitimité de nous représenter », explique-t-il. La demande de manifestation a été déposée à la préfecture de Paris mardi, avec des membres de « Nuit Debout ». « Je n’avais jamais fait de telles démarches et je me suis rapproché d’eux car je savais qu’ils avaient l’habitude », raconte Vincent Galtier.
People hold up signs as they participate in a protest against political corruption at Place de la Republique in Paris, France on February 19, 2017. The anti-corruption demonstrations are taking place across France.
Plusieurs milliers de personnes, kurdes en majorité, ont manifesté dimanche 11 octobre 2015 après-midi à Paris, au lendemain de l’attentat meurtrier d’Ankara, pour dénoncer la « politique de guerre » du régime turc. Dans le cortège entre la place de la République et Châtelet, dans le centre de la capitale, flottaient un drapeau kurde géant, des bannières de différents mouvements politiques kurdes et des pancartes noires proclamant: « Les martyrs de la révolution ne meurent jamais », « Erdogan assassin, Europe complice » et « AKP + Daech = attentat Ankara ». L’attentat le plus meurtrier de l’histoire de la Turquie a fait au moins 95 morts samedi. Une manifestation avait déjà réuni un millier de prokurdes samedi à Paris. Ils étaient plus nombreux dimanche, sous le mot d’ordre « Non à la politique de guerre et de terreur de l’État turc ». « On vient démontrer notre solidarité avec les peuples qui souffrent en Turquie et au Moyen-Orient. C’est un attentat contre les forces progressistes, contre la paix, contre ceux qui veulent faire de la Turquie et du Moyen-Orient une région stable », a déclaré Yekbun Eksen, du Conseil démocratique kurde. « On dénonce aussi la politique d’Erdogan qui se sert de la haine et de la terreur comme bases de son pouvoir ».
A Kurdish woman holds pictures of the suicide bomb attack’s site in Ankara which occurred on October 10, 2015, during a rally organised by the Kurdish Democratic Council of France in support of the victims, in Paris, on October 11, 2015. Turkey woke in mourning after at least 95 people were killed by suspected suicide bombers at a peace rally of leftist and pro-Kurdish activists in Ankara.
Plusieurs milliers de personnes se sont réunies samedi 5 septembre 2015 après midi sur la place de la République, à Paris, pour un rendez-vous fixé en soutien aux migrants et réfugiés. Le rassemblement intitulé « Pas en notre nom » avait vocation à « montrer notre solidarité et marquer notre indignation » et « demander l’accueil des réfugiés et le respect de la dignité humaine de tous les migrants », selon l’une des pages Facebook initiant le mouvement. « Ouvrez les frontières ! », « Droit d’asile pour toute personne persécutée » ou encore « L’accueil pour moi c’est oui », pouvait-on lire sur des pancartes brandies par les manifestants. D’autres montraient la photo du petit Aylan Kurdi, un Syrien de trois ans retrouvé mort sur une plage de Turquie, une image qui a fait la « une » de nombreux quotidiens à travers le monde, suscitant une grande émotion.
« Des légumes, pas du bitume, non aux expulsions ». C’est derrière cette banderole qu’une cinquantaine de manifestants ont protesté samedi 26 octobre 2013 après-midi à quelques centaines de mètres du ministère de l’Ecologie, à Paris, contre le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Brandissant des pancartes « Non à l’Ayraultport », « Résiste oiseau », et ou « Vive la solidarité des arbres », les manifestants étaient rassemblés pour « réamorcer la mobilisation » « alors qu’il y a « une menace d’expulsion de la ferme de Bellevue », a expliqué Claire Lecornec, membre du collectif NNDL. La Cour d’appel de Rennes a confirmé cette semaine l’expulsion d’agriculteurs occupant la ferme de Bellevue vouée à la destruction sur le site du projet d’aéroport. Les manifestants ont indiqué protester également contre le projet de gigantesque campus universitaire sur le plateau de Saclay, à 25 km au sud de Paris. L’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, dont la concession a été attribuée au groupe Vinci, devait initialement être mis en service en 2017 pour remplacer l’actuel aéroport de Nantes Atlantique. Les travaux préparatoires ont déjà pris un an de retard.